Tortues de Bristol Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Comportement[modifier | modifier le code] Les tortues repéraient les sources de lumière de faible intensité dans les environs et tournaient autour d'elles. Elles pouvaient contourner les obstacles et éviter les sources de lumière plus vives qui avaient pour effet de les brûler, mais lorsque leurs batteries commençaient à faiblir, elles étaient, au contraire, attirées par une source lumineuse pour y puiser leur énergie. En plus, elles étaient dotées d'un système d'identification de la lumière avec le son de telle sorte que la reproduction simultanée de ces deux signaux à plusieurs reprises les entraîne à réagir au son seul, par association du son avec la lumière. C'était la reproduction du fonctionnement du réflexe conditionné, jusque là propriété exclusive de la vie. L'invention des tortues électroniques incita de nombreux chercheurs à développer la vie artificielle. Lien externe[modifier | modifier le code] Portail de la robotique
Robotique et informatique, une histoire parallèle Ayant suivi l’histoire de la micro-informatique depuis ses débuts, j’ai toujours fait un parallèle entre le monde de la robotique humanoïde et celui de l’informatique. Je me suis donc lancé dans une sorte d’exercice de style… N’y voyez pas de quelconques vaticinations, mais envisagez plutôt cette présentation comme une petite parenthèse amusante… ENIAC (université de Pennsylvanie) — 1946 L’ENIAC (Electronic Numerical Integrator Analyser and Computer) fut le premier ordinateur électronique utilisant le principe de Turing. Programmable et reprogrammable à volonté, il utilisait dix-sept mille quatre cent soixante-huit tubes à vide. Wabot-1 (université de Waseda) — 1973 Wabot-1 ne fut pas le premier robot de l’histoire, loin de là, mais le premier de type humanoïde à échelle proche. Wabot-1 – 1973 Cray-1 (Cray) — 1976 Le Cray-1 fut qualifié de superordinateur. Cray-1 – 1976 Asimo (Honda) — 2000 Asimo – 2000 Cyber 205 (Control Data Corporation) — 1981 Cyber 205 – 1981 Partner (Toyota) — 2005
Les Automates Jaquet-Droz - MAHN Ces trois célèbres automates, l'Ecrivain, le Dessinateur et la Musicienne, ont été réalisés à La Chaux-de-Fonds entre 1768 et 1774 par Pierre Jaquet-Droz (1721-1790), horloger et mécanicien, Henri-Louis (1752-1791) son fils, et Jean-Frédéric Leschot (1746-1824). Après un long périple dans les cours d'Europe, les Jaquet-Droz vendirent les trois automates à des impressarii puis à des collectionneurs qui continuèrent à les promener en Europe. En 1906, les automates ont été acquis par la Société d'histoire et d'archéologie du Canton de Neuchâtel, grâce à un subside de la Confédération et à la générosité de donateurs anonymes. Après une tournée triomphale en Suisse, les trois automates sont remis en don à la Ville de Neuchâtel en 1909 pour être conservés au Musée d'art et d'histoire.
Automates Jaquet-Droz Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les trois automates Jaquet-Droz Parmi les nombreux automates réalisés par la famille Jaquet-Droz, les automates Jaquet-Droz désignent trois pièces fabriquées (la quatrième est aujourd'hui perdue) par Pierre Jaquet-Droz, son fils Henri-Louis Jaquet-Droz et Jean-Frédéric Leschot entre 1767 et 1774 : la musicienne, le dessinateur et l'écrivain. Les trois automates sont parfaitement fonctionnels ; ils peuvent être admirés au Musée d'Art et d'Histoire de Neuchâtel en Suisse, et une démonstration de leur fonctionnement est faite le premier dimanche de chaque mois. Les trois automates furent exhibés à partir de 1774, à La Chaux-de-Fonds, puis eurent une vie de nomades, furent vendus et perdus plusieurs fois, avant d'être achetés par la Société d'Histoire et d'Archéologie de Neuchâtel en 1906 pour 75 000 francs or, et offerts au musée d'où ils ne sont pratiquement plus sortis. La musicienne[modifier | modifier le code] La musicienne Le dessinateur
Robot Unimates en 1961 chez GM en fonderie sous pression - Fonderie - Le blog technologie de la fonderie Le premier robot industriel fut installé pour le déchargement d'une machine à mouler sous pression chez General Motors aux Etats-Unis en 1961 pour sortir des pièces. Naissance du terme "robot"Le mot robot dérive du terme Tchèque Robota qui signifié travail compulsif.Le mot robot apparut pour la première fois en 1921 dans la pièce de théâtre "R.U.R." (Rossum's Universal Robots) mis en scène par le dramaturge tchèque Karel Capek. Premier brevet en 1954Le premier robot industriel remonte à 1954 quand George Devol déposa un brevet. Première apllication en 1961La première compagnie de fabrication de robot, Unimation Inc. , fut créée aux états unis par Joseph Engelberger en 1956. Premier robot Unimates en fonderie sous pression en 1961 chez GM La direction de GM à l'époque ne diffusa pas l'information car les créateurs du robots avaient prévenus qu'il s'agissait d'une technologie expérimentale qui risquait de ne pas fonctionner. source :
Evolution des robots - Technologie 3ème Quelles évolutions ont connu les robots ? Depuis l'antiquité les hommes tentent de créer des machines fonctionnant seules. D'abord mécaniques, ces machines ont ensuite utilisé les progrès de l'électricité puis de l'électronique et de l'informatique pour constituer aujourd'hui une discipline à part entière: la robotique. Histoire des robots en 4 minutes par lemondefr Au Japon Asimo est le fruit d'années de recherche. Document ressource : Création d'une frise chronologique sur l'évolution des robots: Repérer parmi les docs 1 à 5 du document ressource les dates importantes de l'évolution des robots ainsi que l'invention et le nom de l'inventeur ( Rechercher sur internet les éléments manquants).Pour chaque date, rechercher sur internet une image soit de l'inventeur soit de l'invention au format jpg et l'enregistrer dans votre dossier perso.Suivre le lien en cliquant sur l'image ci-dessous: Les différentes applications des robots : Ressource :
Les relations des Japonais avec les robots datent du XVIIe siècle Les poupées automates à la mode à l’époque d’Edo Poupée automate serveur de thé : il porte le gobelet de thé sur la soucoupe. On a du mal à imaginer que cette poupée au visage si doux et aux magnifiques vêtements cache un mécanisme. Les karakuri ningyô sont des poupées automates à ressort qui furent très à la mode pendant la période d’Edo. L’automate serveur de thé en est le modèle le plus connu : quand on pose un gobelet de thé sur la soucoupe qu’il tient à deux mains, il marche à pas glissé, avec de petits mouvements de tête, jusque devant l’invité. Le dangaeri ningyô est un acrobate qui descend les escaliers en faisant la culbute, grâce à un système à mercure qui fait varier le centre de gravité. On les appelle tous des zashiki karakuri ou « poupées automates de chambre ». Néanmoins, ces dernières années, les zashiki karakuri attirent de nouveau les regards. Dangaeri Ningyo (poupée acrobatique) : elle descend un escalier par une série de culbutes. M.
Le métier à tisser Jacquard L'origine de l'invention L'ancêtre de la plupart des ordinateurs "mécaniques" est une invention française : le métier à tisser Jacquard. Joseph Jacquard était le fils d'un tisseur de soie Lyonnais, et hérita de l'entreprise de son père, mais celle-ci allait mal, et fit bientôt banqueroute. Le succès L'invention faillit disparaître dès sa naissance, détruite par les tisseurs traditionnels qui craignaient de perdre leur emploi au profit de cette machine. Une chaine de cartes perforées d'un métier à tisser Jacquard La postérité dans l'informatique Et lorsque, dans les années 1830, Charles Babbage cherchait une solution pour commander son Analytical Engine, le premier engin à introduire les concepts modernes de l'informatique, il trouva la réponse dans les métiers à tisser Jacquard, et leurs cartes perforées.