Robotique et informatique, une histoire parallèle Ayant suivi l’histoire de la micro-informatique depuis ses débuts, j’ai toujours fait un parallèle entre le monde de la robotique humanoïde et celui de l’informatique. Je me suis donc lancé dans une sorte d’exercice de style… N’y voyez pas de quelconques vaticinations, mais envisagez plutôt cette présentation comme une petite parenthèse amusante… ENIAC (université de Pennsylvanie) — 1946 L’ENIAC (Electronic Numerical Integrator Analyser and Computer) fut le premier ordinateur électronique utilisant le principe de Turing. Programmable et reprogrammable à volonté, il utilisait dix-sept mille quatre cent soixante-huit tubes à vide. Wabot-1 (université de Waseda) — 1973 Wabot-1 ne fut pas le premier robot de l’histoire, loin de là, mais le premier de type humanoïde à échelle proche. Wabot-1 – 1973 Cray-1 (Cray) — 1976 Le Cray-1 fut qualifié de superordinateur. Cray-1 – 1976 Asimo (Honda) — 2000 Asimo – 2000 Cyber 205 (Control Data Corporation) — 1981 Cyber 205 – 1981 Partner (Toyota) — 2005
Evolution des robots - Technologie 3ème Quelles évolutions ont connu les robots ? Depuis l'antiquité les hommes tentent de créer des machines fonctionnant seules. D'abord mécaniques, ces machines ont ensuite utilisé les progrès de l'électricité puis de l'électronique et de l'informatique pour constituer aujourd'hui une discipline à part entière: la robotique. Histoire des robots en 4 minutes par lemondefr Au Japon Asimo est le fruit d'années de recherche. Document ressource : Création d'une frise chronologique sur l'évolution des robots: Repérer parmi les docs 1 à 5 du document ressource les dates importantes de l'évolution des robots ainsi que l'invention et le nom de l'inventeur ( Rechercher sur internet les éléments manquants).Pour chaque date, rechercher sur internet une image soit de l'inventeur soit de l'invention au format jpg et l'enregistrer dans votre dossier perso.Suivre le lien en cliquant sur l'image ci-dessous: Les différentes applications des robots : Ressource :
Qu'est-ce que l'intelligence artificielle ? (IA) L’intelligence artificielle couvre un vaste champ d’application et de recherche ; de ce fait, il est difficile d’en donner une définition unique. Définition : L’intelligence artificielle est un ensemble de techniques et de procédés qui permettent à des algorithmes de fournir des réponses à des problèmes comme reconnaître une adresse, traduire un texte, conduire une voiture, toute sorte de taches que la puissance de calcul maintenant disponible permet de réaliser pour l’homme. Les applications possibles sont multidisciplinaires et visent à mettre au point des solutions qui résolvent certains problèmes pour les humains en étant plus rapides ou plus précis. L’intelligence artificielle en éducation : Les apports possibles en éducation peuvent ainsi permettre de prolonger les stratégies pédagogiques de l’enseignant notamment en apportant des outils d’aide à la décision. En éducation, l’intelligence artificielle peut accompagner l’enseignant pour : Pour aller plus loin :
Algorithmes et Intelligence Artificielle (IA) Publicités ciblées Vous faites une recherche sur un modèle de voiture et vous rendez même sur certains sites de la marque. Comme par hasard, quelques temps plus tard des publicités pour ces modèles, ou des concurrents mais le plus souvent des voitures vous sont proposées sur des sites n'ayant à priori rien à voir avec l'automobile. Les spécialistes de la publicité ciblée suivent à la trace votre empreinte numérique pour mieux vous comprendre… et vous faire consommer. L'IP Tracking Vous surfez sur Internet à la recherche d'un vol pour les Seychelles. Et cela est d'autant plus étonnant que votre compagne, elle confirme que sur son ordinateur à elle, l'ancien prix est toujours accessible… Ici encore, un algorithme va proposer un prix différent selon des critères établis. Pour lutter contre ce phénomène, appelé IP tracking et qui consiste à relever votre adresse IP lors de vos recherches, il vaut mieux utiliser la navigation privée et un moteur de recherche de type Ixquick ou Qwant.
Intelligence artificielle Intelligence artificielle L'intelligence artificielle (IA) est un ensemble de théories et de techniques visant à réaliser des machines capables de simuler l'intelligence humaine[1]. Les applications de l'IA comprennent notamment les moteurs de recherche, les systèmes de recommandation, l'aide au diagnostic médical, la compréhension du langage naturel, les voitures autonomes, les chatbots, les outils de génération d'images, les outils de prise de décision automatisée, les programmes compétitifs dans des jeux de stratégie et certains personnages non-joueurs de jeu vidéo[3]. Depuis l'apparition du concept, les finalités, les enjeux et le développement de l'IA suscitent de nombreuses interprétations, fantasmes ou inquiétudes, que l'on retrouve dans les récits ou films de science-fiction, dans les essais philosophiques[4] ainsi que parmi des économistes. Avant les années 2000, d'autres définitions sont proches de celle de Minsky, mais varient sur deux points fondamentaux[7] : — Nick Bostrom
Histoire de l'intelligence artificielle L'histoire de l'intelligence artificielle (IA) débute dans l'Antiquité, avec des histoires, mythes et rumeurs d'êtres artificiels conçus par des maîtres artisans. Des philosophes et scientifiques tels que Leibniz ont plus tard tenté de formaliser le processus de la pensée humaine. Mais c'est après la seconde guerre mondiale et l'invention des ordinateurs programmables que l'IA prend son essor. L'intelligence artificielle, nommée ainsi par John McCarthy, est établie en tant que discipline scientifique lors de la conférence de Dartmouth en 1956. L'IA a connu des périodes d'enthousiasme, notamment dans les années 1980 avec les systèmes experts, mais aussi deux périodes de désillusion et de gel des financements appelées « hivers de l'IA » (de 1974 à 1980, et de 1987 à 1993)[1]. La conférence de Dartmouth en 1956 a mis en avant terme « intelligence artificielle » (proposé par John McCarty), et a établi l'intelligence artificielle en tant que discipline de recherche à part entière[5].
Dossier : l’Intelligence Artificielle, entre espoirs et dangers pour l’Homme - Hello Future C’était la vedette de la deuxième édition du salon Viva Technology, en juin 2017 à Paris : l’intelligence artificielle. Pas surprenant car, comme l’a noté Stéphane Richard, le PDG d’Orange, lors d’un « keynote », « l’intelligence artificielle est entrée dans une nouvelle dimension, grâce aux progrès du deep learning (apprentissage profond) qui lui ont permis de devenir une technologie beaucoup plus fiable ». Et d’illustrer son propos par deux chiffres : 75 %, c’était en 2011 le taux de reconnaissance d’objets dans une image ; on est aujourd’hui à 97 %, « même si la lumière est pauvre ou l’image floue ». Comme Stéphane Richard l’a souligné, « cette tâche est réalisée par l’IA avec un résultat bien meilleur et une rapidité supérieure à ce que peut effectuer n’importe quel opérateur humain ». Pour le patron d’Orange, « nous sommes à un moment décisif de l’histoire en termes de rythme d’innovation et de potentiel disruptif dans tous les secteurs ». Deep learning et machine learning.
Brève histoire de l'intelligence artificielle Sous le terme intelligence artificielle (IA) on regroupe l’ensemble des “théories et des techniques mises en œuvre en vue de réaliser des machines capables de simuler l'intelligence.” Cette pratique permet à l’Homme de mettre un système informatique sur la résolution de problématiques complexes intégrant de la logique. D’une façon plus commune, lorsque l’on parle d’intelligence artificielle, on entend aussi par là des machines imitant certains traits de l’Homme. L'intelligence artificielle avant 2000 Preuve que ce n’est pas une science d’aujourd’hui, les premières traces de l’IA remontent à 1950 dans un article d’Alan Turing intitulé “Computing Machinery and Intelligence” dans lequel le mathématicien explore le problème de définir si une machine est consciente ou non. Dans la même catégorie Dès le milieu des années 60, la recherche autour de l’IA sur le sol américain était principalement financée par le Département de la Défense. En 1974 arrive une période appelée le « AI Winter ».