Robot Unimates en 1961 chez GM en fonderie sous pression - Fonderie - Le blog technologie de la fonderie Le premier robot industriel fut installé pour le déchargement d'une machine à mouler sous pression chez General Motors aux Etats-Unis en 1961 pour sortir des pièces. Naissance du terme "robot"Le mot robot dérive du terme Tchèque Robota qui signifié travail compulsif.Le mot robot apparut pour la première fois en 1921 dans la pièce de théâtre "R.U.R." (Rossum's Universal Robots) mis en scène par le dramaturge tchèque Karel Capek. La pièce décrivait des robots humanoïdes détruisant leur créateurs humains, thème repris depuis dans la science fiction moderne. Premier brevet en 1954Le premier robot industriel remonte à 1954 quand George Devol déposa un brevet. Première apllication en 1961La première compagnie de fabrication de robot, Unimation Inc. , fut créée aux états unis par Joseph Engelberger en 1956. Premier robot Unimates en fonderie sous pression en 1961 chez GM Les successeurs d'Unimation Inc.Westinghouse racheta Unimation Inc. à Engelberger pour 107 million de dolars en 1983.
Tortues de Bristol Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Comportement[modifier | modifier le code] Les tortues repéraient les sources de lumière de faible intensité dans les environs et tournaient autour d'elles. L'invention des tortues électroniques incita de nombreux chercheurs à développer la vie artificielle. Lien externe[modifier | modifier le code] Texte illustré sur Machina Speculatrix les premières tortues de Grey Walter Portail de la robotique Isaac Asimov Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Isaac Asimov Isaac Asimov en 1965. Œuvres principales Biographie[modifier | modifier le code] Enfance russe[modifier | modifier le code] Issu d’une famille juive, fils de Judah Asimov et de Anna Rachel Berman, Isaac naquit à Petrovitchi — près de Smolensk, en Russie — à une date inconnue, entre le 4 octobre 1919 et le 2 janvier 1920 (c’est à cette date-ci qu'il célébrait son anniversaire, adulte)[2]. Éducation et carrière[modifier | modifier le code] À la maison, à Brooklyn, les parents ne parlaient russe que quand « ses grandes oreilles ne devaient pas entendre »[5] : il n'apprit donc jamais la langue. Asimov se définit comme un enfant prodige. Ses études furent assez brillantes pour lui permettre, grâce à une bourse, d’entrer à l’université Columbia. Parallèlement, il commença à écrire de la science-fiction et vit sa première nouvelle, Marooned Off Vesta (Au large de Vesta), publiée en 1939. Vie privée et carrière[modifier | modifier le code]
1739 Le canard de Jacques de Vaucanson - Histoire des automates et des robots Notre curiosité du jour est un canard mécanique en cuivre doré, capable de boire, de manger, de digérer et même de déféquer. Un mécanisme programmable lui permet également de cancaner et de barboter comme un véritable oiseau aquatique. Il a été fabriqué en 1738 par l'ingénieur grenoblois Jacques de Vaucanson (1709-1782). Une exposition lui ai consacrée au Musée Dauphinois jusqu'au 31 décembre 2011. Dans ses Chroniques à travers l’Allemagne et la Suisse (Berlin et stettin, 1783, I, p. 284), Ch.
Le métier à tisser Jacquard L'origine de l'invention L'ancêtre de la plupart des ordinateurs "mécaniques" est une invention française : le métier à tisser Jacquard. Joseph Jacquard était le fils d'un tisseur de soie Lyonnais, et hérita de l'entreprise de son père, mais celle-ci allait mal, et fit bientôt banqueroute. Pour gagner sa vie, il commença à restaurer de vieux métiers à tisser. Le succès L'invention faillit disparaître dès sa naissance, détruite par les tisseurs traditionnels qui craignaient de perdre leur emploi au profit de cette machine. Une chaine de cartes perforées d'un métier à tisser Jacquard La postérité dans l'informatique Et lorsque, dans les années 1830, Charles Babbage cherchait une solution pour commander son Analytical Engine, le premier engin à introduire les concepts modernes de l'informatique, il trouva la réponse dans les métiers à tisser Jacquard, et leurs cartes perforées.
labos Je suis resté un grand enfant. Alors, imaginez ma tête le soir de Noël, déballant de cette boîte une espèce d'insecte argent et jaune d'une quarantaine de centimètres de long... Me voici en présence de l'un des quatre B.I.O-Bugs, nouvelle génération de "jouets intelligents" de WowWee (division jouet de Hasbro), distribué en France par la firme Meccano depuis mai dernier. B.I.O pour "Bio-mechanical Integrated Organisms", et Bug pour cafard. Poussez le bouton situé sous la carapace sur "on" et vous verrez ce truc commencer à déambuler et à mener sa vie sans rien demander à personne. réclamer sa nourriture, baguenaudant lentement, encore trop jeune pour combattre d'autres B.I.O-Bugs. Si vous mettez deux B.I.O-Bugs dans une pièce (je n'ai pas pu résister, je suis allé en racheter un autre, un rouge baptisé "Le prédateur"), ils échangeront des informations à travers des signaux infrarouges et en se palpant mutuellement les antennes. Mon "prédateur" est un combattant. faire reculer.
Les trois automates (1768-1774) L'Ecrivain, le Dessinateur et la Musicienne réalisés par Pierre Jaquet-Droz et Henri-Louis Jaquet-Droz 04.03.2014 | Dans cet article je vais vous présenter cette petite marque Suisse assez méconnue et deux de leurs modèles. « Zeitwinkel » signifie en allemand « angle horaire », une mesure qui sert à calculer l’« heure locale vraie », c’est-à-dire l’heure mesurée en un certain lieu avec un cadran solaire. Automates Jaquet-Droz Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les trois automates Jaquet-Droz Parmi les nombreux automates réalisés par la famille Jaquet-Droz, les automates Jaquet-Droz désignent trois pièces fabriquées (la quatrième est aujourd'hui perdue) par Pierre Jaquet-Droz, son fils Henri-Louis Jaquet-Droz et Jean-Frédéric Leschot entre 1767 et 1774 : la musicienne, le dessinateur et l'écrivain. Les trois automates sont parfaitement fonctionnels ; ils peuvent être admirés au Musée d'Art et d'Histoire de Neuchâtel en Suisse, et une démonstration de leur fonctionnement est faite le premier dimanche de chaque mois. On peut les considérer comme de lointains ancêtres des robots modernes. Les trois automates furent exhibés à partir de 1774, à La Chaux-de-Fonds, puis eurent une vie de nomades, furent vendus et perdus plusieurs fois, avant d'être achetés par la Société d'Histoire et d'Archéologie de Neuchâtel en 1906 pour 75 000 francs or, et offerts au musée d'où ils ne sont pratiquement plus sortis.
Canard digérateur Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Schéma hypothétique de l'appareil digestif du canard de Vaucanson Le Canard Digérateur est un automate canard créé par Jacques de Vaucanson en 1738. Alors que les canards ne peuvent pas digérer du grain de céréales, ce canard mécanique cherchait à montrer comment il est possible de les métaboliser et de déféquer. Description[modifier | modifier le code] Photo du mécanisme du canard mécanique Histoire de l'automate[modifier | modifier le code] affiche L’automate est d'abord exposé en 1744 au Palais-Royal. Cet automate est acheté en 1840 par Georges Tiets, mécanicien[4], mais il brûle en 1879 lors de l'incendie du musée de Nijni Novgorod. Une copie est actuellement visible au musée dauphinois à Grenoble. Voir aussi[modifier | modifier le code] Cloaca, l'œuvre contemporaine de Wim Delvoye. Bibliographie[modifier | modifier le code] Notes[modifier | modifier le code]
Jacques de Vaucanson Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jacques Vaucanson Jacques Vaucanson[1][réf. incomplète], né le à Grenoble et mort le à Paris, est un inventeur et mécanicien français. Il a inventé plusieurs automates. Biographie[modifier | modifier le code] Le mécanisme du canard mécanique de Vaucanson. Jacques Vaucanson est le dixième enfant d’une famille de gantiers de Grenoble. Il commence par réparer les horloges et les montres de son quartier. Il tente de reproduire mécaniquement les principales fonctions de l’organisme humain, encouragé par les chirurgiens Claude-Nicolas Le Cat et François Quesnay qui souhaitent de cette façon mieux comprendre ces fonctions. À partir de 1733 ou 1735 et jusqu’en 1737 ou 1738, il construit son premier automate, le flûteur automate, qui joue de la flûte traversière. Son deuxième automate est lui aussi un joueur de flûte et de tambourin, de taille humaine, habillé en berger provençal. Œuvre[modifier | modifier le code] Hommages[modifier | modifier le code]
Ambassade du Japon au Maroc - Culture et Education - Manifestations culturelles passées Manifestations culturelles passées Conférence et Démonstration sur les "Karakuri-Ningyô", automates traditionnels japonais Chahakobi-ningyô (automate serveur de thé) Tamaya Shôbei, 9e du nom présentées par : SUEMATSU Yoshikazu (professeur à l'Université de Nagoya) TAMAYA Shôbei, 9e du nom (créateur de karakuri-ningyo) Dimanche 25 janvier 2004 à 15h30 au Centre Culturel de l'Agdal, à Rabat Lundi 26 janvier 2004 à 19h00 au Complexe Socio-Culturel Touria Sekkat de Maârif, à Casablanca En collaboration avec l'Arrondissement Urbain de Maârif et le Centre Culturel de l'Agdal, l'Ambassade du Japon a organisé deux séances de conférence-démonstration sur les "Karakuri-Ningyô" (automates traditionnels japonais), le dimanche 25 janvier 2004 à Rabat et le lundi 26 à Casablanca. La manifestation s'est déroulée en deux parties : une conférence donnée par le Professeur SUEMATSU Yoshikazu et une démonstration présentée par le Maître TAMAYA Shôbei. La démonstration a été réalisée avec les zashiki-ningyô.
Cog (project) Cog was a project at the Humanoid Robotics Group of the Massachusetts Institute of Technology. It was based on the hypothesis that human-level intelligence requires gaining experience from interacting with humans, like human infants do. This in turn required many interactions with humans over a long period. Because Cog's behavior responded to what humans would consider appropriate and socially salient environmental stimuli, the robot was expected to act more human. This behavior also provided the robot with a better context for deciphering and imitating human behavior. This was intended to allow the robot to learn socially, as humans do. As of 2003, all development of the project had ceased. Today Cog is retired to the Massachusetts Institute of Technology museum. To study theories of cognitive science and artificial intelligence (AI). Another motivation for building humanoid robotic systems is that a machine with a human-like form may have more human-like interactions with people.
Pascaline Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Blaise Pascal est l'inventeur de la machine à calculer[1],[2]. Initialement dénommée machine d’arithmétique, elle devint roue pascaline puis enfin pascaline[3]. C'est en 1642, à l'âge de dix-neuf ans, qu'il en conçut l’idée[4], voulant soulager la tâche de son père qui venait d’être nommé surintendant de la Haute-Normandie par le cardinal de Richelieu et qui devait remettre en ordre les recettes fiscales de cette province[5] ; elle permettait d’additionner et de soustraire deux nombres d'une façon directe et de faire des multiplications et des divisions par répétitions. C'est en 1645, après trois ans de recherche et cinquante prototypes, que Pascal présenta sa première machine en la dédiant au chancelier de France, Pierre Séguier[6]. La pascaline fut la seule machine à calculer opérationnelle au XVIIe siècle[11] car elle utilisait des rouages à lanterne que Pascal avait miniaturisés pour sa machine. Abaques[modifier | modifier le code]
Horloge d'al-Jazari Les Arabes traduisirent avec soin tous les traités grecs en particulier ceux d'Archimède et de Héron d'Alexandrie en ce qui concerne les machines hydrauliques. Le savant al-Jazri vécut 25 ans au service du Sultan Nasir al-Din Mahmoud, gouverneur de Diyar Bakr en Mésopotamie. Il gagna gloire et renommée avec la publication de son traité sur les automates recensant les machines construites au cours des siècles précédents. L'horloge offerte à Charlemagne en 807 par les ambassadeurs d‘Haroun-al-Raschid (766-809) devait ressembler à celle qu'il y décrit. Texte complet d'Eginhard