Zoom
Trash
Related:
» Qu’est-ce que l’autorité? La rumeur du monde bruisse d’un certain désaveu de la politique de l’enfant-roi. L’heure est à l’émergence des « mamans tigres » si l’on en croit le débat ouvert en Amérique par la publication du livre d’Amy Chua : Hymne guerrier d’une maman tigre (Battle Hymn of the Tiger Mother, Penguin). Elle est donc à la redécouverte des vertus de l’autorité, en pédagogie semble-t-il plus qu’en politique. Et parce que sous le beau mot d’autorité, on peint ce qui en est la négation absolue, (discipline militaire, mobilisation de punitions sévères, la plus grotesque étant quatre ans d’anniversaire supprimés), il m’a paru intéressant de proposer ce modeste rappel des significations. Précaution salutaire car la société moderne est tellement étrangère à quelque chose comme l’autorité qu’elle est sans doute devenue inapte à restituer la nature d’une expérience correspondant à d’autres conditions historiques de vie politique. Analyse de la notion A première vue la réponse est simple. Conclusion : Partager :
Soi (psychologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Soi. Soi signifie dans l'acception courante la personne, ou l'individu qui se désigne lui-même. Carl Gustav Jung utilise le mot Soi pour distinguer une personne au-delà de ce qu'elle en perçoit (cette perception étant le Moi). Ce concept du Soi est utilisé en psychologie et en psychanalyse avec des nuances d'acceptions en fonction des courants de pensée. C'est en particulier un des piliers de la psychologie analytique et de la psychologie sociale. « le Soi est la donnée existant a priori dont naît le Moi. En tant que totalité, le Soi est nécessairement paradoxal : toute qualité qui lui est attribuée s'y voit accompagnée de son opposé : seule la capacité de direction de la conscience du Moi permet la différenciation entre les contraires, et révèle donc cet aspect paradoxal du Soi, plus précisément de la conscience que l'on peut en avoir. Winnicott distingue le vrai self et le faux self Portail de la psychologie
Éthique de la psychologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Comme la médecine, la psychologie est une profession qui répond a des règles strictes, pour le respect des patients autant que des praticiens. Code de déontologie des psychologues[modifier | modifier le code] Le code de déontologie des psychologues a été rédigé le . Trois organisations principales sont signataires : L'AEPU[1], l'ANOP[2], la SFP[3]. Il n'a pas de validité juridique et ne protège donc pas davantage les usagers contre les abus de conduite du psychologue que les psychologues contre les abus de pouvoir de leur hiérarchie. En réalité, la connaissance du droit commun permet au psychologue de garantir un service de qualité. Éthique et thérapie[modifier | modifier le code] En plus des prescriptions du Code de Déontologie, concernant le respect du patient dans sa singularité, le psychothérapeute est tenu de se conformer à une éthique primordiale pour son patient aussi bien que pour le respect de son propre métier. - Qualité des soins.
s forum • Comparatif Antivirus gratuits 2010 Test Blocage URL Malicieuses Voici le premier test qui consiste à tester l'efficacité de protection des antivirus contre les malwares qui se propagent par des URLS, ceci inclut : 90% des URLS testées sont des exploits sur des sites WEB et la majorité qui suit sont des Virus MSN et des Faux Codecs.Avant de continuer nous allons faire un petit Zoom sur le fonctionnement des exploits sur des sites WEB afin que vous compreniez bien la problématique qui se pose quant à la protection contre ces menaces et les difficultés qui en découlent.Je vous conseille donc, pour ceux qui ne savent pas de quoi on parle, de lire d'abord le lien des exploits puis ce qui suit. Le principe des exploits sur des sites WEB est d'hacker un grand nombre de sites WEB légitimes afin de provoquer lors des visites, des connexions vers des sites WEB malicieux qui tirent parti de vulnérabilités présentes sur l'ordinateur (exploit) de l'internaute afin de télécharger et exécuter automatiquement un malware (payload/dropper).
Expérience de Milgram Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Reconstitution de l'expérience de Milgram (extrait)[1] L’expérimentateur (E) amène le sujet (S) à infliger des chocs électriques à un autre participant, l’apprenant (A), qui est en fait un acteur. L'expérience de Milgram est une expérience de psychologie réalisée entre 1960 et 1963 par le psychologue américain Stanley Milgram. Les résultats ont suscité beaucoup de commentaires dans l’opinion publique mais la méthode utilisée a fait naître critiques et controverses chez des psychologues et des philosophes des sciences. Déroulement de l'expérience[modifier | modifier le code] Fac-similé de l'annonce L'objectif réel de l'expérience est de mesurer le niveau d'obéissance à un ordre même contraire à la morale de celui qui l'exécute. L'université Yale à New Haven faisait paraître des annonces dans un journal local pour recruter les sujets d'une expérience sur l'apprentissage. Les réactions aux chocs sont simulées par l'apprenant.
Autorité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Notion[modifier | modifier le code] Autoritarisme[modifier | modifier le code] Au point de vue démarche, l'autoritarisme correspond à l'attitude de la personne qui contraint physiquement et/ou psychiquement les personnes qu'elle commande. Légitimité[modifier | modifier le code] L'autorité ne correspond pas à une qualité intrinsèque, mais à une attribution ou une conférence qui légitime le pouvoir de commander et d'être obéi. L'autorité d'un magistrat tient de la Loi, ainsi que de sa fonction au sein de la justice (règlement, structure). Pouvoir[modifier | modifier le code] L'autorité correspond à une valeur reconnue et attribuée ou conférée ; elle diffère donc du pouvoir. Commandement et obéissance[modifier | modifier le code] Le commandement est l'action et l'objet de la personne qui commande, c'est-à-dire qui donne un ordre. Ce bien-fondé est évalué selon les désirs individuels et les jugements personnels d'ordre public.
Généralités sur la notion d'influence On ne peut parler de l’influence sociale sans traiter de la notion de norme. En effet, malgré la diversité de nos actions et pensées, celles-ci sont en fait incroyablement régulées … La plupart de nos comportements sont très encadrés. Voir le chapitre sur les normes Dans son sens large, on peut définir l’influence sociale comme suit :« L’influence sociale concerne les processus par lesquels les individus et les groupes façonnent, diffusent et modifient leurs modes de pensées et d’actions lors d’interactions sociales réelles ou symboliques. » Dès le début du siècle, avec la psychologie des foules de Le Bon, on observe deux influences théoriques contradictoires. La première approche insiste sur l’imitation et les ressemblances entre les gens pour expliquer les phénomènes collectifs et individuels. Les recherches sur l’influence identifient une source et une cible, un message, son contenu et son support. On distingue habituellement deux types d’influence : Le postulat de base est le suivant:
Sante mentale, ethique et internet, limites de la liberte L'anonymat "positif":L'anonymat est ce qui permet de pouvoir s'exprimer avec le moindre "risque" pour soi-même ou pour ses proches.Il est évident que si j'exprime ma souffrance, que j'exprime par exemple souffrir d'un trouble schizophrène, tout en précisant mon nom, mes coordonnées, et que je suis pilote chez Air France (c) ou juge d'instruction, il est possible que cela puisse avoir quelques retentissements forts négatifs dans ma vie (exemples non "contractuels"). En tout les cas, il est probable que cela ne va pas faciliter l'expression de mes sentiments.Bref, pour se dire, se raconter, exprimer du "JE", l'anonymat sur Internet est une très belle chose, qui permet de sortit de l'isolement et de soulager des souffrances . Peut-on parler encore de liberté d'expression, alors même que l'on s'arroge un tel pouvoir sans avoir à subir la moindre conséquence de ses actes ? Une règle d'or devrait être: "Je parle de moi, je demeure anonyme si je le désire !"" De la modération des forums psys ?
Histoire : Etude sur les lépreux au Moyen Age EVENEMENT : Bériac, (Françoise), histoire des lépreux au Moyen Age. Une société d'exclus, Paris, 1988, 279p, Imago. Françoise Bériac est professeur d'histoire médiévale à l'université Michel de Montaigne-Bordeaux III. Ouvrage de synthèse (avec références à beaucoup d'études inédites ou peu accessibles) sur la lèpre, les lépreux et les léproseries, alors que les livres antérieurs sur le sujet traitaient plutôt les aspects juridiques et institutionnels (J. Dans la première partie, sont examinées les questions relatives à la médecine théorique avec d'abord une présentation succincte des connaissances actuelles sur la lèpre et sur les deux formes médiévales de la lèpre (lépromateuse & tuberculoïde). En conclusion : à partir de la fin du XIIIe la lèpre reflue (lentement avec parfois des reprises), les institutions d'assistance entrent en crise voire en décadence (léproseries et hôpitaux deviennent souvent des bénéfices ecclésiastiques). Ecrire à son auteur :Arago21@aol.com
SOUMISSION A L’AUTORITE STANLEY MILGRAM Origine : a)Méthodologie b)Cheminement de la pensée a)Prévisions de comportement b)Expériences c)Témoignages d)Explications e)Objections à la méthode 1. Ce type d’attitude est finalement banal. Cette fois cependant, la situation m’a interpellée car elle mettait en jeu des sommes d’argent faramineuses. C’est dans cet esprit que j’ai commencé des recherches bibliographiques sur les thèmes du pouvoir et de l’autorité. Les réponses apportées à ces questions par Stanley Milgram sont inquiétantes. 3. Etudiant en science politique jusqu’en 1954, il décide par la suite de se lancer dans une thèse en psychologie sociale à l’université de Harvard. Une autre de ses théories le rendra célèbre : celle « du petit monde ». 5. Les résultats inquiétants et inattendus auxquels il est parvenu ont cependant nécessité une refonte de sa problématique. - A quel niveau de choc pensez-vous que vous vous seriez arrêtés ? Proximité de la victime
Autorité parentale en France Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En droit français, l'autorité parentale est un ensemble de droits mais également de devoirs, que les parents ont à l'égard de leurs enfants mineurs. L'autorité parentale est mise en œuvre par la loi sous la forme de l'autorité parentale conjointe[1]. En 1970, elle a remplacé, en droit français, la « puissance paternelle » qui assurait l'exclusivité de l'autorité du père sur les enfants (l'autorité absolue du mari sur la femme s'appelait « puissance maritale »). Présentation[modifier | modifier le code] L'autorité parentale, quand elle est reconnue ne devient jamais pour autant un droit absolu et illimité : elle s'arrête là où commencent les Droits de l'Enfant, notamment l'introduction et les articles entre les parents, sur l’organisation de la vie (vie scolaire, sportive, culturelle, traitements médicaux, vacances…) permettre les échanges avec l’autre parent dans le respect du cadre de vie de chacun, mais aussi avec les grands-parents.
Concept de groupe Un groupe peut être définit comme deux personnes ou plus qui vont, pendant un temps, interagir, s’influencer mutuellement et se percevoir comme un « nous ». Ainsi, un groupe de personnes dans une file d’attente d’un supermarché par exemple n‘est pas considéré comme un groupe. Les psychologues sociaux parlent d’agrégat pour qualifier cet ensemble de personnes. On parle de groupe si les critères suivants sont réunis : Il existe différents types de groupe : les groupes familiaux, d’amis, de travail… Les auteurs, tel que Cooley dès 1909, différentient : Les groupes primaires : petit groupe de personnes entretenant des relations intimes et régulières. On différentie aussi : Les recherches s’intéressent surtout aux groupes restreints pour des raisons pratiques. Référence: Ouvrage dirigé par P.Gosling "Psychologie sociale" Tome1 "L'individu et le groupe"
Droite(s) extrême(s) - Blog LeMonde.fr Les femmes aiment les hommes nouveaux - L'homme simple Coral Herrera Gomez déclare son amour pour les hommes « révisés » Article original paru en espagnol le 5 septembre 2013 sur le Blog du journal El Pais. Traduction et adaptation par L’Homme Simple J’aime les hommes nouveaux. Ils me fascinent. Je connais leur existence depuis l’élaboration de ma thèse de doctorat. style="display:inline-block;width:728px;height:90px" data-ad-client="ca-pub-6088205124888161" data-ad-slot="7084496739"> Cette nouvelle passion est peut-être une extension de mon complexe d’Oedipe. Il a aimé élever ses filles et nous a éduquées pour que nous soyons des femmes indépendantes et travailleuses. Mon amour est immense pour ce père si beau, si féministe. Ils ne croient pas que je leur appartiens En apprenant à le connaître, j’en suis devenue éperdument amoureuse. Pour moi, c’est un luxe de partager la vie de ce type d’homme parce qu’on peut avoir des conversations profondes. Et ils sont avec moi jusqu’à ce qu’ils ne le soient plus. Ils sont encore peu nombreux.