Pierre Bourdieu : « Maîtres du monde, savez-vous ce que vous faites? » -11/10/1999 - le mhm e ne vais pas me donner le ridicule de décrire l'état du monde médiatique devant des personnes qui le connaissent mieux que moi; des personnes qui sont parmi les plus puissantes du monde, de cette puissance qui n'est pas seulement celle de l'argent, mais celle que l'argent peut donner sur les esprits. Ce pouvoir symbolique qui, dans la plupart des sociétés, était distinct du pouvoir politique ou économique, est aujourd'hui réuni entre les mains des mêmes personnes, qui détiennent le contrôle des grands groupes de communication, c'est-à-dire de l'ensemble des instruments de production et de diffusion des biens culturels. Mais l'essentiel est que les préoccupations commerciales, et en particulier, la recherche du profit maximal à court terme s'imposent de plus en plus et de plus en plus largement à l'ensemble des productions culturelles. C'est là qu'il faudrait commencer à poser des questions.
Revues.org : portail de revues en sciences humaines et sociales Sociocratie, l’intelligence collective dans la gouvernance | L’utilisation des processus et des outils de la Sociocratie dynamise la coopération et le développement de l’intelligence collective au sein d’une entreprise ou d’une organisation. La participation de tous est recherchée pour donner du sens à l’activité d’une organisation et pour harmoniser l’implication des professionnels. Le fonctionnement de l’entreprise en pyramide, selon un organigramme classique, reste efficace pour l’action. La Sociocratie est un terme inventé par Auguste Comte au début du XIXe siècle. Une explication de la Sociocratie sous forme de carte (BM Chiquet) « Actuellement, pour une entreprise qui baigne dans l’intelligence multiple, il en existe une dizaine d’autres qui pataugent dans une culture de conflits et de folie” (Karl Albrecht) Cette entrée a été publiée dans gouvernance, avec comme mot(s)-clef(s) Sociocratie.
La révolution Bourdieu - Fondation Copernic La mort de Pierre Bourdieu, le 23 janvier dernier, a déclenché un concert d’hommages posthumes qui tranche avec les critiques que lui avait values son engagement aux côtés du mouvement social. Willy Pelletier revient sur le parcours d’un intellectuel qui, par sa pratique sociologique comme par ses prises de position, fut toujours l’allié des victimes de toutes les formes de domination. Avec le décès de Pierre Bourdieu, tous ceux qui œuvrent à la critique sociale perdent un allié. Un allié dans l’ordre de la pratique, tant Bourdieu contribua, depuis 1995, à donner davantage d’échos aux luttes contre l’économisme libéral, cette croyance ordinaire des dominants de toute espèce. Dans le dialogue Bourdieu disait simplement : on a raison de se révolter, il y a de bonnes raisons pour se révolter. Les processus de domination Le monopole de la politique Ce que l’histoire a fait, n’a cessé de répéter Bourdieu, l’histoire peut le défaire.
@rchiveSIC :: Accueil Libre arbitre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Arbitre. Le libre arbitre est la faculté qu’aurait l'être humain de se déterminer librement et par lui seul, à agir et à penser, par opposition au déterminisme ou au fatalisme, qui affirment que la volonté serait déterminée dans chacun de ses actes par des « forces » qui l’y nécessitent. « Se déterminer à » ou « être déterminé par » illustrent l’enjeu de l’antinomie du destin ou de la « nécessité » d'un côté et du libre arbitre de l'autre. Le principe d'incertitude, la théorie du chaos, voire les théorèmes d'incomplétude de Gödel, ont, selon certains, apporté des éléments nouveaux à ce débat, sans pour autant le trancher. Histoire[modifier | modifier le code] Origine augustinienne du concept[modifier | modifier le code] Saint Augustin fut l'un des premiers à méditer le concept de libre arbitre (portrait imaginaire par Botticelli, v. 1480). d’où vient que nous agissons mal ? Critiques[modifier | modifier le code]
Bourdieu, un homme de contre-pouvoirs - Autres Alors que commence la publication de ses cours, la critique de l'Etat par le sociologue PIerre Bourdieu reste d'une urgente actualité. Retour sur la pensée d'un esprit très critique. L'Etat ? « Un jeu dans lequel tout le monde se ment et ment à d'autres en sachant qu'ils se mentent. » L'homme officiel ? « Un ventriloque qui parle au nom de l'Etat. » Ainsi le subversif Pierre Bourdieu achevait-il, au Collège de France, son cours du 1er février 1990, Sur l'Etat, aujourd'hui coédité par Le Seuil et Raisons d'agir. “Quand je remplis un formulaire administratif - nom, prénom, date de naissance -, je comprends l'Etat.” Sur l'Etat se donne surtout comme la route de crête de la pensée (politique) de Bourdieu, déchiffreur par excellence des mécanismes de domination, dynamiteur des ordres établis. « Mais ceux que Bourdieu ne cesse d'appeler les profanes, ce sont les citoyens justement ! Bourdieu dynamite les apparences, les illusions, déconstruit ce que considérons comme allant de soi.
Socio-logos. Revue de l'association française de sociologie La suspicion, une protection ou une perversité ? - François Paul-Cavallier La suspicion, une protection ou une perversité ? Notre société se veut chaque jour plus sécuritaire, elle se cherche des moyens plus sécurisés. On tend vers l’illusion que le risque zéro est possible. François PAUL-CAVALLIER Formateur en psychologie