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Quatre nouveaux leviers marketing pour séduire la génération Y

Quatre nouveaux leviers marketing pour séduire la génération Y
Séduire la génération Y, ces jeunes adultes de 18 à 35 ans n'est pas une sinécure ! "Pour les faire sortir de chez eux et de derrière leur écran il faut une vraie bonne raison", confie Martine Ghnassia, directrice du planning stratégique et de la communcation à l'Ifop. Car la génération Y a tendance à vivre depuis chez elle : avec un écran connecté on peut presque tout faire depuis chez soi. Symptômatique : l'événement Redbull Stratos a été suivi, liké, partagé plusieurs millions de fois sans sortir de chez soi et de sa bulle connectée ! Quelques pistes pour séduire cette "cible" réputée particulièrement difficile. Adopter leurs icônes : "Montrez à la cible que la marque a bien compris l'univers cultutrel dans lequel le jeune adulte était baigné", préconise Martine Ghnassia. Autre exemple Sephora aux Etats-Unis a lancé une ligne de maquillage inspiré du personnage Hello Kitty. Surfer sur leurs gestuelles spécifiques. Se caler sur leur rythme de vie rapide instantané où tout se superpose.

Mais qui sont les "shoppeuses" ? Unibail-Rodamco1 a lancé, en partenariat avec Ipsos, un Observatoire du Shopping pour mieux comprendre les shoppeuses. Le shopping est défini comme le fait de se rendre en magasin pour se promener ou pour faire des achats, en dehors des courses alimentaires courantes. " En créant ce 1er Observatoire du Shopping, nous avons souhaité mieux comprendre nos clientes, leurs comportements en matière de shopping, leurs aspirations et ce, afin de leur proposer des innovations au plus proche de leurs besoins et de leurs envies. Le plaisir quand même 72% des Françaises reconnaissent qu'elles " se sentent bien " quand elles font du shopping. Aujourd'hui, ce plaisir s'obtient majoritairement sous trois conditions : Enfin, les Françaises accordent un crédit plaisir plus important aux réseaux physiques qu'au circuit Internet seul. 33% d'entre elles désignent les centres commerciaux comme étant leur lieu de shopping préféré. Les 7 familles de shoppeuses La perfectionniste Le shopping, ça se travaille !

Les jeunes diplômés rament aussi pour trouver un job EcoDigest71% des diplômés d'écoles de commerce ou d'ingénieurs sont en poste. 71 % Crédit Photo : Shutterstock 71 % 71% des diplômés d'écoles de commerce ou d'ingénieurs sont en poste. L'enquête porte effectivement sur les diplômés des écoles d'ingénieurs, d'écoles de commerce, et de masters universitaires. Des profils qu'on pense habituellement plutôt protégés par le chômage et courtisés par les entreprises. En cette période de rétablissement très lent de l'économie en France, il faut croire que personne n'est à l'abri des difficultés. Recherche d'emploi L'Apec indique ainsi que 62% des jeunes ont trouvé un poste un an après l'obtention de leur diplôme. 28% cherchent encore, tandis que les 10% qui sortent d'un CDD sont en quête d'un autre emploi. Il y a plus inquiétant encore. À quoi attribuer cette situation ? Vous avez aimé cet article ?

Le shopping côté homme 11 juin 2014 - Pour la deuxième année consécutive, Unibail-Rodamco publie les résultats de son Observatoire du Shopping, une étude qui suit les évolutions des pratiques et des attentes des Français en matière de shopping. La vague 2014 de l’Observatoire s’intéresse plus particulièrement aux hommes, une population peu étudiée sous l’angle du shopping, un territoire envisagé traditionnellement du côté des femmes. Les hommes de 2014 sont-ils aussi impliqués que les femmes dans le shopping ? Quelles sont leurs principales attentes ? Premier enseignement de la vague 2014 : les hommes fréquentent autant que les femmes les lieux de shopping, centres commerciaux en tête. En ce qui concerne leurs préférences d’achat, les priorités qu’ils expriment sont souvent proches de celles des femmes. Une autre dimension les rapproche des femmes : l’achat d’impulsion. Car une spécificité du shopping masculin réside précisément dans l’attachement que les hommes expriment à l’égard des valeurs de maîtrise.

Génération Z XEnvoyer cet article par e-mail Génération Z XEnvoyer cet article par e-mailGénération Z Management Les générations se suivent et ne se ressemblent pas Lucides mais idéalistes, en quête de liberté mais aussi de réassurance, solidaires mais sélectifs, plus à l'aise dans l'échange virtuel que dans le contact direct… La génération Z, ces natifs des années 1990, offre un portrait fait d'aspirations contradictoires et de valeurs paradoxales. Celle d'individus gouvernés par l'affect, dans l'entreprise comme ailleurs. Des mois, des années même que l'on nous parle de la génération Y, que des manuels de RH et des coachs en management décryptent leur mode de fonctionnement, leurs valeurs, leurs attentes. Plus jeune, cela va sans dire, puisqu'il s'agit des natifs des années 1991-1999, et surtout, plus complexe. “Ils sont extrêmement informés, conscients des réalités de l'entreprise et du monde du travail tout autant que des risques encourus par la planète. Pour Nathalie Damery, le risque est réel.

Les comportements d'achat du nouveau consommateur, un défi pour les marques Les fondements de cette nouvelle ère ? Un consommateur malin, éduqué, dont le parcours d’achat commence souvent en ligne, pour finir dans un magasin physique. Un consommateur qui, avant d’accéder au produit, synchronisera sa réflexion sur du multi-device : PC, Mobile, Tablette, médias classiques, articles de presse, bouche à oreille… avis consommateurs. Un nuage de sources qu’il maîtrise, lui rendant clair cette dimension multicanal, et….opaque pour le marqueteur.Ainsi, en dépit de ces faits, le consommateur s’est retrouvé en périphérie des réflexions marketing des marques, dont les efforts se sont concentrés sur les stratégies produits «push» on-line. Les mentalités sont pourtant en train de changer.La vérité est bien dans la création de valeur ajoutée entre le on-line & le off-line : l’ère est aujourd’hui à une combinaison habile du «click», et du «mortar»... Nouveaux comportements d’achat =Multiplicité de points de contact L’acheteur privilégie encore les achats en boutique

L'évolution des habitudes d'achat des Français entre 2012 et 2013 Le commerce actuel est omniprésent, résultant de la multiplication des points d'achat mais aussi de l'évolution des comportements des consommateurs. Afin de continuer à comprendre ces changements, Ipsos a réalisé la seconde édition de l'étude Omniretail pour CA Com, au sujet de l'évolution des habitudes d'achat des Français entre 2012 et 2013. Florilège des principaux résultats de ce sondage, effectué auprès d'un échantillon de 1013 personnes, représentatives de la population française, âgées de 15 ans et plus, du 5 au 8 avril 2013. Les magasins physiques : toujours chouchous des français Les Français disposent aujourd'hui d'une multitude de points d'achat : les points d'achat physiques, les points d'achat web, les points d'achat mobiles, les points d'achat TV connectée, ainsi que les points d'achat drive. Les achats online gagnent du terrain 49% des Français (vs 44% en 2012) ont acheté un produit neuf ou d'occasion depuis un site internet en 2013. La tablette : nouveau canal d'achat

Infographie : Le parcours d'achat des Français L'Ifop a identifié 5 étapes fondamentales du processus d'achat : la motivation d'achat, la prise d'informations, la comparaison, l'achat et le paiement. Wincor Nixdorf, en partenariat avec l'Ifop, a interrogé les Français afin d'identifier de quelles façons la pluralité de canaux modifie l'ensemble de leur parcours d'achat. Les canaux d'achat mis à la disposition des consommateurs ne cessent de se diversifier : m-commerce, e-commerce, magasins traditionnels...Dans ce contexte l'étude mesure l'impact de cette multiplicité de canaux sur chacune des 5 étapes fondamentales du processus d'achat : la motivation d'achat ; la prise d'informations ; la comparaison ; l'achat ; le paiement. Enquête réalisée par questionnaire auto-administré en ligne auprès d'un échantillon de 1 000 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, du 17 au 22 avril 2014. En savoir plus sur Offremedia.com

Le consommateur moyen a définitivement disparu "2013, un consommateur caméléon" . A l'occasion de son dernier Media Morning, Kantar Worldpanel a fait le point, la consommation en France. Le contexte de l'année n'a pas été favorable à la consommation : des à-coups dans l'évolution du PIB en volume (-0,2% pour le 1er trimestre, +0,5% pour le 2ème, -0,1% au 3ème) ; une météo chaotique (hiver maussade, printemps le plus froid depuis 1987, bel été) ; hausse du chômage... "L'envie de dépenser n'est toujours pas au rendez-vous et la perception de leur pouvoir d'achat par les ménages est globalement plus négative au second trimestre", constate Gaëlle Le Floch, strategic insight director, en poursuivant : les arbitrages se poursuivent dans de nombreux secteurs hors-alimentaires. Les PGC sont épargnés ("il faut manger pour vivre" pour reprendre la première partie de a maxime de Socrate !). Au cumul annuel 3 ème trimestre : les catégories qui s'en sortent le mieux sont : - le liquide (+0,9% en volume ; +3,8% en valeur)

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