Grégory Capra: La bigorexie, ou la dépendance au sport
Grégory Capra - Coach sportif La bigorexie est une conduite addictive liée au sport. Une personne qui en souffre affirme ne plus pouvoir se passer de sport, et se sentir mal si elle est obligée de ne pas pratiquer. 1. Bigorexie : quelle est l'explication de ce symptôme compulsif ? On pourrait l'expliquer de manière chimique : le sport entraîne une libération d'endorphines, source d'un bien-être physique. Mais cela ne peut suffire pour tout expliquer. Ce n'est pas forcément évident, puisque tout le monde peut ressentir le plaisir de la libération d'endorphines, tout le monde apprécie d'augmenter son estime de soi, et personne ne peut affirmer être totalement comblé affectivement ni se sentir magnifiquement beau dans sa tête ou dans le regard des autres ! On estime que pour un amateur au-delà de 10h de sport par semaine avec une envie irrépressible de continuer voir d’augmenter l’activité sportive un risque de dépendance apparaît. 2. 3. Article rédigé par Fred
Endorphines, sport et dépendance - le-sport-et-les-endorphines.overblog.com
Cette dépendance n'est par ailleurs pas due qu'aux endorphines bien que ces dernières y participent fortement. En outre, depuis 1999 il est possible pour une personne sportive de vérifier si elle est dépendante ou non grâce à un test d'addiction ( présenté ci-dessous). Running Addiction Scale (Champan et Castro, 1990) Bibliographie Bryan Kolb et Ian Q. M. Patrick Crettenand Phyréa. Bruno Dubuc. Dr Claire Condemine-Piron. Valérie Caron Laidez, La dépendance à l'effort [en ligne].juin 2010, mis à jour en juin 2012 [consulté le 02/01/13]. Priorité Santé Mutualiste, La dépendance au sport : une addiction comme les autres. MoroccanTriathlonTv, La bigorexie résume l'addiction au sport. Chimie, biochimie et biochimie moléculaire 1ere année, Santé, omnisciences, 704 pages, de Bernard Sablonnière, dépôt légal : juillet 2010, ISBN : 978-2-916097-27-5 Biochimie Médecine-Sciences, Flammarion, 5eme édition, de Lubert Stryer, Jeremy M.Berg, John L.Tymoczko, ISBN : 2-257-17116-0
Partie I: LE SPORT ET SES CONSEQUENCES - TPE SPORT ET SANTE
Pratiquer une activité sportive procure de très nombreux bienfaits pour la santé, que ce soit à l’échelle de l’organisme, du cœur ou encore à l’échelle psychologique... Cependant, lorsque cette activité devient trop importante, voire excessive, des méfaits réversibles ou non peuvent apparaitre très rapidement. Tout comme les bienfaits, ceux-ci sont observables à de nombreuses échelles du corps humain … Etant donné que les éléments pour lesquels on pourrait étudier les méfaits et les bienfaits du sport sont innombrables, nous limiterons notre étude à trois d’entre eux. 1) Le développement musculaire Le muscle travaille en contraction, c'est-à-dire que pendant l’exercice, il prend du volume et se raccourcit. a) Bienfaits En étirant le muscle au delà de sa taille normale, des micro-déchirures apparaissent. b) Méfaits Durant la croissance, les articulations et les tendons n'ont pas terminé de se développer, la pratique de la d'un effort trop important peut donc être dangereuse. a) Bienfaits
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circulation sanguine
Mouvement du sang dans les différents vaisseaux sous l'impulsion de la pompe cardiaque. Décrite pour la première fois par le médecin anglais William Harvey en 1628, la circulation sanguine fournit aux cellules de l'organisme, par l'intermédiaire du sang, l'oxygène et les substances dont elles ont besoin pour survivre et jouer leur rôle dans le fonctionnement des organes. Pour ce faire, le sang emprunte deux circuits : le premier, appelé circulation pulmonaire, ou petite circulation, lui permet de se réoxygéner au contact des alvéoles pulmonaires ; le second, appelé circulation systémique, ou grande circulation, irrigue les organes en sang réoxygéné. Tous les échanges gazeux entre sang et organes s'effectuent par l'intermédiaire des capillaires, ramifications terminales de très petite taille des vaisseaux sanguins. La circulation sanguine activée par le cœur permet aux cellules de l'organisme d'assurer leur métabolisme et d'éliminer leurs déchets. 1. Le sang emprunte don deux circuits :
Les blessures les plus courantes en natation
Bien que la natation soit un sport doux et peu traumatisant, il arrive parfois de se blesser lors d’une séance d’entraînement. Les crampes, courbatures et douleurs à l’épaule sont les blessures les plus courantes chez les nageurs. Guide Piscine vous donne quelques conseils pour les éviter. Les blessures de l'épaule sont courantes en natation © stockyimages.com - Fotolia.com Crampes et courbatures en nageant Comme tous les sportifs, les nageurs peuvent aussi avoir des crampes ou des courbatures. La crampe est une contraction douloureuse et temporaire d’un muscleLa courbature est du à des microlésions sur les fibres musculaires Ces douleurs, qui durent parfois plusieurs jours, sont provoquées le plus souvent par un effort intense et surtout, un manque d’échauffement. Les blessures de l’épaule chez le nageur Chez le nageur, les épaules sont des articulations très sollicitées, surtout en crawl et en papillon. Comment éviter les blessures en natation ?
Le circuit de la récompense | ARTE Découverte
Extrait de:E.J. Nestler, R.C. Malenka : Les drogues et le cerveauPour la Science, N°318 (avril 2004) Avec des dispositifs d’auto-administration et des techniques expérimentales apparentées, les neurobiologistes ont cartographié les régions cérébrales impliquées dans les comportements d’addiction, et ont découvert le rôle essentiel du circuit cérébral de la récompense. Les drogues assujettissent ce circuit, stimulant son activité avec une force supérieure à celle de n’importe quelle substance naturelle. Un élément clef du circuit de la récompense est le système dopaminergique mésolimbique: un ensemble de neurones dont les corps cellulaires sont situés dans l’aire tegmentale ventrale, à la base du cerveau, et qui envoient des projections jusque dans les régions frontales, et plus particulièrement dans une structure profonde, sous le cortex frontal, nommée le noyau accumbens. Le coupable : la dopamine