En quoi les cartes mentales, appliquées à l’environnement littoral, aident-elles au recueil et à l’analyse des représentations spatiales ? 1La carte mentale est une technique graphique reflétant une réalité subjective de l’espace, c’est-à-dire la façon dont un individu se représente une portion d’espace. Cet outil permet donc de recueillir les représentations spatiales que les individus se font de leur environnement. Ces représentations spatiales, ou représentations cognitives de l’espace, sont nourries de représentations mentales, ou individuelles (faisant référence au vécu, à l’expérience, à l’éducation, à la culture de l’individu) mais aussi de représentations sociales, c’est-à-dire partagées par un groupe social ou professionnel (Paulet, 2002). Longtemps discuté par les géographes, l’intérêt de l’analyse des représentations en géographie est aujourd’hui reconnu et l’analyse des perceptions et des représentations à travers lesquelles les individus et les groupes d’individus « lisent les territoires », apparaît comme nécessaire pour mieux comprendre leurs pratiques (Bailly, Ferrier, 1986, in Paulet, 2002). Auteurs : S.
Concepts et outils du travail collaboratif L'implication dans les travaux d'un groupe projet assure-t-elle un engagement individuel dans la diffusion du projet au sein de l'organisation ? - Christophe Fié Variables indépendantes : Croyances et valeurs initiales Concordance des objectifs individuels et des objectifs du groupe Sentiment d'appartenance au groupe Identification au groupe Comportements passés dans des situations similaires Variables dépendantes : Absentéisme dans le groupe Nombre d'heures travaillées sur le projet Acceptation des frustrations et des contraintes liées à la mission Appropriation des objectifs du groupe de projet Anxiété et inquiétude liées au travail Définition de soi en fonction du travail réalisé au sein du groupe Dynamisme dans la réalisation de la tâche Variables intervenantes : Expérience du travail en groupe Situation de groupe Homogénéité des membres du groupe (Formation, statut, expériences, etc.) Proximité physique des membres Taille du groupe Ancienneté du groupe Intensité et nombres des échanges interindividuels Relations hors situations de groupe entre les membres Constitution de sous groupe Comportements de solidarité entre les membres Croyances et valeurs Absentéisme
La pédagogie 3.0 expliquée simplement. Le parcours de Stéphane Côté en est un où une certaine effervescence l’entoure concernant la pédagogie. Si vous l’avez déjà rencontré en personne, vous avez tout de suite remarqué son emballement quasi enfantin lorsqu’il parle de l’enseignement. En effet, il cherche, découvre, évalue, mesure l’impact de ses idées qui se tissent autour d’une approche non conventionnelle qu’il décide d’intituler la pédagogie 3.0. En 2012 il quitte son poste de conseiller pédagogique en TIC qu’il occupait depuis plus de quatre ans pour aller lui-même mettre à l’épreuve cette vision de la pédagogie actualisée afin de voir, si oui ou non, il y a matière à partager et à déployer… À son atterrissage dans la réalité d’une classe, il remarque qu’il avait oublié la pression du temps et ses effets néfastes sur la réflexion. Définition de la pédagogie 3.0 : Contrairement à une méthode, la pédagogie 3.0 est une approche complète qui englobe : Maintenant, d’où provient la nomenclature de la pédagogie 3.0? Au plaisir,
Avantages et inconvénients du travail collaboratif | Travailler en collaboration De nos jours, de plus en plus d’entreprise favorise le travail collaboratif. C’est maintenant devenu une nécessité d’utiliser les technologies de l’information et de communication (TIC) dans les organisations, notamment pour l’intégration du travail collaboratif en entreprise. Les principaux outils du travail collaboratif sont : le courriel, le clavardage, la vidéoconférence, les portails, l’intranet, les Wikis et les forums. L’organisation tire du travail collaboratif une multitude d’avantages. La venue du travail collaboratif dans une organisation entraîne des avantages et des inconvénients à l’entreprise elle-même mais aussi à ceux qui la compose soit les employés qui ont à travailler en collaboration. En effet, le travail collaboratif améliore les relations entre les individus. Pour l’organisation elle-même, il est moins évident de trouver des inconvénients. Like this: J'aime chargement…
Les tableaux interactifs sous-utilisés dans les écoles | Éducation | Actualités Quatre ans après la mise en place du fameux programme de 240 millions $ visant à doter les écoles du Québec de tableaux numériques interactifs (TNI), les résultats préliminaires d'une étude réalisée par des chercheurs de l'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) révèlent que ces outils ne sont toujours pas exploités au maximum de leurs capacités. Selon les données du ministère de l'Éducation, 36 000 des 40 000 classes québécoises étaient dotées d'un TNI (aussi appelé tableau blanc interactif, ou TBI) ou d'un outil équivalent au 30 septembre 2014. Le déploiement des TNI, commencé en 2011, doit être terminé pour juin 2016. Deux chercheurs du Département des sciences de l'éducation de l'UQTR ont obtenu une subvention de 150 000 $ du ministère de l'Éducation en 2012 pour réaliser une étude sur l'impact de l'utilisation des tableaux numériques interactifs sur les pratiques pédagogiques des enseignants du primaire et du secondaire. M. Lacunes relevées dans deux précédents rapports
Numérique : Comment les technologies contraignent l'usage On a coutume d'entendre dans de nombreuses présentations et échanges sur le numérique dans le monde scolaire des propos comme "ce n'est qu'un outil". On comprend qu'à la suite de cette affirmation se trouve l'idée que l'usager est maître l'outil, qu'il l'a "à sa main". A partir des travaux de Pierre Rabardel (Les hommes et les technologies. Approche cognitive des instruments contemporains, Armand Colin, 1995), en particulier, nous savons qu'un outil n'est pas qu'un outil, c'est d'abord un instrument. La différence ne saute pas aux yeux dans la vie courante et pourtant quand on y regarde de près, on peut comprendre l'importance d'un tel aphorisme. L'enseignant qui déclare que "l'informatique, la tablette, le TBI, ce ne sont que des outils" confirme-t-il (elle) le sentiment de domination, de conscience et de pilotage, parfois traduit par l'idée de la maîtrise inscrite dans l'idée de l'esprit critique ? L'usage parfois décalé de certains instruments nous alerte sur ce point.
Processus coopératifs et workflow THEME Processus coopératifs et workflow Le principe du « management scientifique » fondé par F.W. Taylor (1911) visait l'utilisation d'une main d'œuvre peu qualifiée grâce à une parcellisation des tâches. L'organisation résultante aboutit à une division verticale du travail basée sur des structures fonctionnelles à l'intérieur d'un réseau hiérarchique parfois complexe. Par opposition, l'organisation horizontale correspond à un tassement de la structure hiérarchique. Elle privilégie la communication et la capacité à réagir immédiatement devant les changements permanents de l'environnement. La démarche qui consiste en un remodelage complet de l'organisation autour de ses processus est appelée « Business Process Reengineering » (BPR) par M. Les outils de workflow se présentent comme une réponse technologique idéale pour répondre aux objectifs fixés par une activité de réingénierie. Les possibilités offertes par les outils de workflow sont principalement de trois ordres : [Nurcan2002a] P.
Pédagogie coopérative : apprendre à coopérer, coopérer pour apprendre. - Accueillir les différences Les cahiers pédagogiques vous proposent de télécharger 13 fiches pour organiser la coopération dans votre classe. Tout à fait intéressantes, et à consulter avant de vous lancer. N’hésitez pas à descendre dans cette page pour retrouver les valeurs de la coopération, comprendre les étapes nécessaires à l’organisation de l’apprentissage en coopération ainsi que des ouvrages recommandés. Clic sur l’image “C’est à plusieurs qu’on apprend tout seul”… Jolie maxime, je trouve… Retrouvez dans ce document des paroles d’experts de la coopération, de la pédagogie qui répondent à 11 questions d’enseignants dans le cadre d’un chantier d’écriture réflexive. c_est_a_plusieurs_qu_on_apprend_tout_seul_-_paroles_d_experts Coopérer, en cours d’anglais, en classe de 2nde. Enseignante en anglais à Don Bosco, j’ai la chance que mon établissement accueille, depuis trois ans, Anne sur notre créneau hebdomadaire de concertation pédagogique, les lundis de 11h15 à 13h. Ladybug – Lily of the valley – Mermaid – Palm
Université d'automne « Le système scolaire français et les élèves à besoins éducatifs particuliers » - De l'intégration à l'inclusion, la spécificité française Marie-Claude Mège-Courteix, chef de la mission de l'adaptation et de l'intégration scolaires, ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche Avant d'entrer dans le vif du sujet, je voudrais faire deux remarques liminaires sur le titre même de l'intervention qui m'a été proposée. …"De l'intégration à l'inclusion"…Cette expression laisse à penser que, pour tout un chacun, s'attacherait une "valeur" supérieure à des démarches relevant de l'inclusion. Pour un Français non averti des subtilités du langage des spécialistes européens de la problématique des élèves à "besoins éducatifs particuliers", cela ne va pas de soi. On le voit, aucun mot dans ce domaine n'est neutre, chacun entre en résonance avec des préoccupations, voire des affects. Cette remarque est à coup sûr applicable à l'objet même de cette université d'automne - que recouvre en France la notion d'élèves à besoins éducatifs particuliers ? En forme de conclusion CHOSSY J.
Les Réseaux sociaux d’entreprise – RSE – outils collaboratifs pour encourager l’intelligence collective « Autour de l'image – creative by nature Salesforce Chatter, BlueKiwi, Jive SBS, Yammer, SocialText, IBM Lotus Connections, SeeMy ou encore Jamespot… la liste des RSE est longue. Ces réseaux sociaux d’entreprise ne sont pas comme la plupart des réseaux communautaires que vous connaissez et utilisez. A l’instar de Facebook, Twitter, Pinterest, ces RSE sont des open space virtuels où le partage de données et la discussion sont au cœur du concept. Avec pour principale vocation l’échange professionnel, c’est une nouvelle culture du management qui se met en place. RSE, pour recréer le lien dans l’entreprise En l’espace de quatre ans, les réseaux sociaux sont devenus des supports naturels de partage de l’information. Le RSE est un Facebook interne dont l’accès est contrôlé. Le RSE est pour l’entreprise un nouvel outil de partage de l’info beaucoup plus dynamique que l’email. Le pouvoir social du RSE : une inter connectivité en temps réel… ou différé. Le réseau social interne crée de la proximité entre les collaborateurs.
La coopération entre élèves c'est efficace ? "La recherche montre que les élèves qui bénéficient de dispositifs de coopération entre pairs vont avoir de meilleurs apprentissages et que les apprentissages se transfèreront quand ils travaillent de façon individuelle". Invités par le Cnesco et l'IFé dans le cadre d'une conférence virtuelle, Céline Buchs et Yann Volpé (Université de Genève) ont fait le point sur les dispositifs d'apprentissage entre pairs. S'ils s'avèrent efficaces et s'ils préparent les élèves aux "compétences du 21ème siècle", ils demandent aussi aux enseignants des compétences et un travail d'organisation important. Une réponse à l'hétérogénéité Qu'entend on par coopération entre élèves ? Céline Buchs a d'abord présenté ce que l'on sait des travaux de groupe. Comment composer les groupes ? Comment composer les groupes ? Céline Buchs met l'accent sur le fonctionnement du groupe. Yann Volpé est intervenu sur le tutorat entre élèves, une pratique encore assez rare. Enseigner la coopération explicitement François Jarraud