Commission Identités Numériques Commission présidée par Ludovic Francesconi, Groupement des Cartes Bancaires Lancée en 2009, la Commission Identités Numériques de l’ACSEL a, dès son origine, eu vocation à poursuivre et faire aboutirles réflexions entamées notamment dans le contexte du projet de recherche et développement baptisé FC² et financé par l’État. Depuis, la Commission s’est attachée à décrypter, avec les adhérents de l’ACSEL, quelles étaient les évolutions des besoins et des usages, les technologies disponibles, les problématiques juridiques posées leurs implications sociétales. Sur ce dernier point, l’ACSEL s’est dotée dès 2009 d’un outil statistique unique en France permet-tant de mesurer la perception et les attentes des utilisateurs finaux : le Baromètre de la Confiance des Français dans le numérique.
InfraMarginal Numéro 59 Facebook, MySpace, Twitter, YouTube, Copains d’avant, Viadeo... Deux tiers des internautes seraient déjà séduits par la nébuleuse « médias sociaux ». Le Web participatif, qui recouvre des dispositifs et des usages fort différents, captive décideurs et commentateurs. En consacrant ce numéro aux « réseaux socionumériques », derniers nés de ces dispositifs, Hermès prolonge et approfondit la critique du numérique menée par la revue et l’Institut des sciences de la communication du CNRS (ISCC). Chercheurs de divers horizons disciplinaires et professionnels du Web interrogent le phénomène, en procédant non seulement à une analyse des diverses appellations, souvent trompeuses, mais aussi en replaçant ces sites dans l’histoire des réseaux de communication. Les formes de lien social et de communication, la visibilité de la vie quotidienne, l’effacement des frontières publiques et privées (caractéristiques de ces dispositifs) sont mises en perspective. Discover Author Subject Date Issued
Voilà pourquoi vous cliquez sur «Favori» sur Twitter (et c'est pas toujours joli joli) Sur Twitter, cocher la petite étoile à droite des traditionnelles flèches pour répondre ou retweeter un message («favoriser») n'est pas si anodin et recouvre en fait bien des réalités. «Si vous pensez qu'un "fav" [pour favori, NDLR] sur Twitter revient à faire un like sur Facebook, resongez-y», avançait le Time en février 2014, ce que confirme désormais une étude de chercheurs allemands et anglais en science de l'information: «[Les] motivations poussant à mettre en favori des tweets sont extrêmement hétérogènes et sont variables entre les utilisateurs comme pour chacun d'entre eux.» Menée sur 606 utilisateurs de Twitter, «pour la plupart depuis longtemps», précise Buzzfeed, cette étude indique ainsi que le fait d'accrocher une petite étoile à un tweet n'est pas seulement suscité par l'adhésion au message véhiculé ou à la personne qui l'émet –même si cet usage se vérifie encore. Andréa Fradin Partagez cet article