Accompagner les enseignants débutants en TIC, un des mandats importants du RÉCIT
La mesure 50680 du MELS, intitulée L’école 2.0 : la classe branchée, entend doter toutes les classes d’un tableau numérique interactif (TNI) et chaque enseignant, d’un ordinateur portable, et ce, d’ici 2016-2017. Dans ce contexte, plus que jamais, la formation des enseignants à la mobilisation des TIC au service des apprentissages s’avère une nécessité incontournable. Soucieux d’adresser cette préoccupation, le RÉCIT a mis sur pied un chantier pour répondre aux besoins de ces enseignants qui veulent s’initier aux technologies et les utiliser plus fréquemment. Par le RÉCIT Les TIC introduisent des changements profonds dans toutes les sphères de la société. Le RÉCIT a la responsabilité de former tous les enseignants à intégrer les TIC dans leur pratique pédagogique de manière à les soutenir dans les changements que cette arrivée massive des technologies engendre. Rassurer et accompagner les enseignants sur leurs capacités Des facteurs déterminants Les réseaux d’entraide et de soutien
Cyber-profs
N'écartons pas les métiers spécialisés...
Nobina Robinson et Sarah Watts-RynardRespectivement directrice générale de Polytechnics Canada et directrice générale du Forum canadien sur l’apprentissage (FCA-CAF) Le paysage économique canadien est en pleine évolution. Il suffit de consulter le budget fédéral du 22 mars et de suivre la trace de l’argent pour s’en apercevoir. Toutefois, le budget a omis toute mention explicite des métiers spécialisés, des apprentis ou du rôle qu’exerceront ceux-ci dans la nouvelle économie canadienne axée sur l’innovation. Alors que le gouvernement canadien oriente son programme d’innovation sur tout ce qui est haute technologie, il est important de reconnaître que les personnes de métier et les apprentis canadiens ainsi que les établissements qui les forment (en particulier les instituts de technologie, polytechniques et collèges prépondérants au Canada) mènent en soi des activités à la fine pointe de la technologie. Nouvelles compétences
La formation en 2017 : ça va dépoter !
Elle bouge, elle bouge la formation. Et c’est peu de le dire. Tables en U, paper-board et Powerpoint ont sérieusement du plomb dans l’aile. Learning apps, formation augmentée, réalité virtuelle, bots et intelligence artificielle sont désormais de la partie. Mais la formation présentielle n’est pas à l’article de la mort, bien au contraire. L’outillage high-tech permet des expérimentations inédites, que ce soit tous ensemble au même moment, ou à distance. Une formation dans la poche et sur la toile Il est loin le temps où le smartphone était vu comme suspect par le formateur. Pas question pour autant de garder les yeux rivés sur son écran en se coupant des autres. Objectifs : efficacité et mise en pratique immédiate Consacrer plusieurs jours d’affilée à se former, c’est encore possible, mais cela devient un véritable luxe à l’heure de l’accélération du rythme de travail. A ce jeu, plus un format est court et modulable, plus il est facile de s’en saisir. Source : Learning Tribes
En quoi la formation continue des enseignants contribue-t-elle au
Les éléments qui contribuent à la formation, qu’elle soit initiale ou continue, restent bien souvent mystérieux, de l’ordre de la “ boîte noire ”. Cet article a le mérite de poser la question de cette élaboration, de cette percolation ou infusion, pour reprendre les deux métaphores les plus utilisées. Parler de “ formation tout au long de la vie ” est de nos jours une banalité. Pourtant, au moment où cette formation n’est pas seulement perçue comme le droit au développement personnel dont dispose tout individu, où elle est également considérée comme un devoir qui s’impose à chacun, tout au moins dans sa dimension de développement professionnel, il n’est pas illégitime de s’interroger sur les bénéfices attendus de cette dynamique largement véhiculée par le discours dominant, et de considérer la place spécifique de la formation continue des enseignants dans le développement des compétences professionnelles. Ce qui revient à : Quelles compétences peut-on construire en formation continue ?
Plaidoyer pour une formation continue en éducation
Il n’est pas rare qu’on me demande pourquoi je m’implique autant dans des activités de formation continue. Dans le fond, à quoi ça me sert vraiment? Mon salaire ne grimpe pas en fonction des diplômes que j’affiche au mur. En plus, je m’ajoute une charge de travail en me lançant dans une entreprise aussi chronophage et énergivore. Après tout, je suis déjà qualifié aux yeux de la loi pour exercer ma profession. Une démarche personnelle Disons qu’il y a des raisons personnelles et des raisons professionnelles, et que parfois les deux s’entremêlent. L’école, un passage obligé à endurer? J’estime que j’ai un devoir de cohérence entre qui je suis, ce que je fais et ce que je dis. Et de ça, deux sous-questions s’imposent : comment faisons-nous pour actualiser nos pratiques en fonction des besoins de nos jeunes et quels efforts faisons-nous pour comprendre leur réalité scolaire et sociale sans nécessairement recourir à nos propres conceptions « du bon vieux temps »? Une démarche professionnelle
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