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Hernán Cortés

Hernán Cortés
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sources[modifier | modifier le code] Témoignages directs[modifier | modifier le code] Tous les témoignages de la conquête de l'empire aztèque évoquent les actions, les décisions et les motivations d'Hernán Cortés. Cependant, ces sources sont contradictoires, leurs auteurs ayant eu des intérêts personnels à faire valoir auprès de la couronne espagnole dans le cadre des démêlés judiciaires qui ont opposé Cortés à Diego Velázquez de Cuéllar. Une des sources considérées comme les plus précises et les plus fiables par les historiens est l'Histoire véridique de la conquête de la Nouvelle-Espagne de Bernal Díaz del Castillo. Historiographie[modifier | modifier le code] De Medellín à Cuba[modifier | modifier le code] Famille et contexte[modifier | modifier le code] Le château de Medellín. La mère de Cortés se nomme Catalina Pizarro Altamirano. L'arbre généalogique d'Hernán Cortés est, pour ses ascendants immédiats[6] : Jeunesse[modifier | modifier le code] Related:  ...Histoire 2

Institution de la religion chrétienne L’Institution de la religion chrétienne est un traité de théologie écrit par Jean Calvin. Ce manuel est devenu la somme de la théologie réformée de la réforme. Une épître de Calvin adressée au roi François Ier précède l'ouvrage. Calvin le publie en latin en 1536 sous le titre Christianae religionis institutio, totam fere pietatis summam et quicquid est in doctrina salutis cognitu necessarium complectens..., change son titre en Institutio christianae religionis nunc verè demùm suo titulo respondens en 1539[1], puis le traduit lui-même en français en 1541. Calvin remanie son ouvrage à plusieurs reprises en l'augmentant à chaque fois. Présentation de l'ouvrage[modifier | modifier le code] Un corps de doctrine[modifier | modifier le code] Cette œuvre développe de façon systématique la théologie de la Réforme protestante développée par Calvin. Les réformateurs recherchent la vérité dans la Bible, qui est la source de l'Église. Calvin et la langue française[modifier | modifier le code]

Premier congrès des peuples d'Orient Le premier congrès des peuples d'Orient (aussi appelé congrès de Bakou) est un sommet qui se tint du 1er au 8 septembre 1920 dans la ville de Bakou. Réuni par l'Internationale communiste, il rassembla environ 2 000 délégués de différents peuples d'Orient. Contexte[modifier | modifier le code] La réunion d'un Congrès des peuples de l'Orient[modifier | modifier le code] En novembre 1917, les bolcheviks se sont emparés du pouvoir en Russie, mais trois ans de guerre civile et plusieurs échecs des révolutions communistes (en Hongrie et en Allemagne notamment) ont fragilisé le régime. « Il se tint à une époque et dans un lieu où s'affrontaient les intérêts des nationalistes et des révolutionnaires orientaux, des peuples du Caucase, de l'Iran et d'Anatolie, des Alliés sortis victorieux de la Première Guerre mondiale et du pouvoir soviétique[2]. » Le choix du lieu de réunion[modifier | modifier le code] Une propagande intense[modifier | modifier le code] Participants[modifier | modifier le code] M.

Guillaume Tell Guillaume Tell.Gravure extraite de la Cosmographia Universalis de Sebastian Münster, 1554. Vue d'artiste de Guillaume Tell dans Portraits et Vies des Hommes illustres, 1584. Guillaume Tell (en allemand Wilhelm Tell) est un héros légendaire des mythes fondateurs de la Suisse[1]. Son histoire est évoquée pour la première fois dans le livre blanc de Sarnen et dans le Tellenlied. Le récit a donné lieu à de nombreuses controverses historiques portant sur son authenticité. Le récit traditionnel[modifier | modifier le code] Gessler lui ordonne alors de percer d'un carreau d'arbalète une pomme posée sur la tête de son propre fils[6]. Or, Gessler, ayant vu Tell dissimuler un second carreau sous sa chemise, lui en demande la raison. Selon Aegidius Tschudi, cet épisode se produit deux mois avant « l'incendie des châteaux » (1er janvier 1308), un autre épisode légendaire qui marque la rébellion des Suisses contre les ducs d'Autriche. Variantes[modifier | modifier le code]

Jacques Duclos Il est à plusieurs reprises député entre 1926 et 1958 et sénateur de 1959 à sa mort. Il se présente à l'élection présidentielle de 1969, où il arrive en troisième position du premier tour, avec 21,3 % des suffrages exprimés. Il s’agit du meilleur score obtenu par un candidat communiste à une élection présidentielle en France. Situation personnelle[modifier | modifier le code] Origines[modifier | modifier le code] Jacques Duclos est le second fils d'Antoine Duclos, artisan-charpentier qui tenait aussi une auberge[1] et d'une mère couturière. La fratrie compte un frère cadet, Louis. Formation[modifier | modifier le code] Il entre à l'âge de cinq ans à l'école, où l'instituteur interdit à ses élèves de parler la langue occitane pendant les récréations. Carrière professionnelle[modifier | modifier le code] En octobre 1912, il quitte les Pyrénées pour se rendre à Paris afin d’exercer le métier d'ouvrier-pâtissier. Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Dragonnades Le « dragon missionnaire » : « Qui peut me résister est bien fort ». Dans les faits, ce ne sont pas toujours des dragons qui effectuèrent les dragonnades antiprotestantes. Chronologie des dragonnades[modifier | modifier le code] 1681-1686[modifier | modifier le code] 1744-1759[modifier | modifier le code] du 20 décembre 1744 au 1er mai 1745 : dragonnades à Millau et dans le Rouergue.1758 : dragonnades en Béarn (Orthez, Salies et Bellocq) et en Guyenne (Sainte-Foy, Bregerac, Tonneins et Clairac), à Jonzac, le Louis, Segonzac.1759 : dragonnades à Chez-Piet. Nombre de conversions obtenues (années 1680)[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Les « missions bottées » de Louvois (1681)[modifier | modifier le code] René de Marillac, l'intendant du Poitou, ordonna de contrôler le rôle des tailles et de marquer les réformés dans la marge afin de les « grever », tant pour l'impôt que pour le logement des gens de guerre. Les dragonnades de Louis XV[modifier | modifier le code]

Punique Sur les autres projets Wikimedia : punique, sur le Wiktionnaire L'adjectif punique qualifie ce qui a trait aux Carthaginois de l'Antiquité. Il vient du latin punicus ou poenicus (même sens), dérivé du nom Poenus (« Carthaginois »), lui-même issu du grec Φοῖνιξ / Phoînix qui signifiait à la fois « Phénicien » et « Carthaginois ». Sciences et techniques[modifier | modifier le code] Sciences humaines et sociales[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Les guerres gréco-puniques (600-265 av. Linguistique[modifier | modifier le code] Le punique, ou phénico-punique, est une variété du phénicien, une langue sémitique éteinte. Littérature[modifier | modifier le code]

Robert Boyle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Portrait de Robert Boyle. Robert Boyle peut être considéré comme le père de la philosophie naturelle moderne. Biographie[modifier | modifier le code] À partir de 1645, il participe à une société savante et bienfaisante qu'il appelle dans ses lettres le « collège invisible », mais dont il n'indique ni le noms des membres, ni les activités, et qui a donné lieu à diverses spéculations (en particulier comme groupe précurseur de la Royal Society). C'est à lui qu'on doit l'établissement de la Royal Society en 1663. Un legs de Robert Boyle permet la fondation en 1700, de la Boyle School, dans l'enceinte du Prieuré de Bolton, Yorkshire du Nord[2]. Travaux[modifier | modifier le code] Théologie[modifier | modifier le code] Il donna durant sa vie 300 £ par an pour la propagation de la foi en Amérique et 100 £ pour les Indes[1]. Science[modifier | modifier le code] Œuvres[modifier | modifier le code] The Sceptical Chymist (1661). Principaux ouvrages :

Bertrand du Guesclin Biographie[modifier | modifier le code] Le Dogue noir de Brocéliande[modifier | modifier le code] Né vers 1320 à Broons, Bertrand est le fils aîné des dix enfants de Robert II du Guesclin (v. 1300-1353), seigneur de la Motte-Broons, et de son épouse Jeanne de Malesmains (morte en 1350), dame de Sens-de-Bretagne[2]. Bertrand du Guesclin est issu d'une rustique seigneurie de la petite noblesse bretonne. Les Guesclin font en effet partie des familles nobles de Bretagne, mais Robert du Guesclin n'appartient qu'à la branche cadette de la famille (la branche aînée vit au château du Plessis-Bertrand et au château de la Motte-Jean) et occupe un modeste manoir[b] à la Motte-Broons[3], dans le pays gallo, ce qui veut dire que sa langue maternelle fut une langue d'oïl et non le breton[4]. Enfance[modifier | modifier le code] Comme il est d'usage, Bertrand est placé en nourrice et est élevé parmi des paysans jusqu'à l'âge de cinq ans. Le premier tournoi[modifier | modifier le code] et deux cousins :

Johannes Kepler Portrait de Kepler, 1620. Biographie[modifier | modifier le code] Kepler naît au sein d’une famille de religion protestante luthérienne, installée dans la ville de Weil dans le Wurtemberg[2], ville libre sous l'autorité immédiate de l'Empire[n 2]. À Weil der Stadt, les Kepler ont joui d'une certaine reconnaissance sociale, son grand-père en a été bourgmestre, mais après avoir été porté aux nues pour avoir combattu sous les ordres de Charles-Quint, il a sombré dans la pauvreté. La famille de Johannes Kepler décide qu'il sera ecclésiastique, ce qui n'est pas pour lui déplaire. Alors que Kepler projette de devenir pasteur luthérien, l’école évangélique protestante de Graz demande un professeur de mathématiques : il abandonne ses études en théologie pour prendre le poste et quitte Tübingen en 1594 ; c'est ainsi que Kepler devient « mathématicien provincial ». Sur recommandation de ses amis, Kepler se marie le 27 avril 1597 avec la jeune Barbara Müller. L’optique[modifier | modifier le code]

Paradoxe de Condorcet Page de titre de l’Essai sur l’application de l’analyse à la probabilité des décisions rendues à la pluralité des voix Le paradoxe de Condorcet dit qu'il est possible, lors d'un vote où l'on demande aux votants de classer trois propositions (A, B et C) par ordre de préférence, qu'une majorité de votants préfère A à B, qu'une autre préfère B à C et qu'une autre préfère C à A. Les décisions prises à une majorité populaire par ce mode de scrutin ne sont donc pas, dans ce cas, cohérentes avec celles que prendrait un individu supposé rationnel, car le choix entre A et C ne serait pas le même selon que B est présent ou non. Portrait du marquis de Condorcet C'est le mode d'expression des préférences de chaque votant, sous la forme de relations (de type A > B > C) qui mène à ce résultat paradoxal. Exemples[modifier | modifier le code] Les préférences : une relation non transitive[modifier | modifier le code] Exemple 1 : pierre-feuille-ciseaux[modifier | modifier le code] A (x=1, y=3, z=2) mais Pour où

Pierre Paul Rubens Signature Aidé par un atelier important, Rubens produit une œuvre considérable dans des genres divers. Il accepte de peindre un grand nombre de portraits mais, « d'instinct plus porté aux grand travaux qu'aux petites curiosités » comme il l'écrivait lui-même, il prête peu d'attention aux détails, qu'il ne peint pas en profondeur et dessine de quelques traits. En effet, il va travailler à un rythme extrêmement productif, réalisant 1403 peintures selon le catalogue de Michel Jaffé. Il réalise surtout de grands projets religieux, des peintures mythologiques, et d'importantes séries de peintures historiques. Prisé des Grands pour l'érudition et le charme de sa conversation, il joue également un rôle diplomatique important à son époque et jouit d'une position sociale sans égale chez les artistes de son temps[3],[4]. Après sa naissance à Siegen, la famille s'installe à Cologne en 1578, où elle vit jusqu'à ce que Pierre Paul ait 11 ans. Rubens passa les dix dernières années de sa vie à Anvers.

Coup de Jarnac L'expression « coup de Jarnac » désigne un coup violent, habile et imprévu. Il a pris une connotation de coup déloyal ou pernicieux, qui n'existait pas à l'origine. Dans son sens premier et d’escrime, il s’agit d’un coup à l’arrière du genou ou de la cuisse, rendu célèbre par Guy Chabot de Jarnac, qui le porte lors d'un duel judiciaire en 1547 devant le château de Saint-Germain-en-Laye. Guy de Jarnac et le duel de 1547[modifier | modifier le code] Genèse du duel[modifier | modifier le code] Guy Chabot, baron de Jarnac. Quand ces rumeurs parvinrent aux oreilles de Guy Chabot, il opposa un fort démenti, dut convaincre son père de son innocence et de celle de sa marâtre, et demanda réparation. Chabot ne put, à son tour, que demander au roi la permission de venger son honneur, mais François Ier la refusa toute sa vie, bien conscient qu’il ne s’agissait là que de « querelles de femmes jalouses ». Organisation du duel[modifier | modifier le code] Déroulement du combat[modifier | modifier le code]

Louis XII Louis XII, né le 27 juin 1462 au château de Blois et mort le 1er janvier 1515 à Paris, surnommé le « Père du peuple » par les états généraux de 1506, est roi de France de 1498 à 1515. Jeunesse[modifier | modifier le code] Naissance et famille[modifier | modifier le code] Premier mariage[modifier | modifier le code] Au moment du mariage de sa fille et du futur Louis XII, Louis XI aurait cyniquement glissé à l'un de ses confidents « […] pour ce qu'il me semble que les enfants qu'ils auront ensemble ne leur coûteront point cher à nourrir […] ». Le prince rebelle[modifier | modifier le code] Échec à obtenir la régence[modifier | modifier le code] À la mort de Louis XI, il échoue à obtenir la régence aux états généraux de Tours, confiée à Anne de Beaujeu. Guerre folle (1485-1488)[modifier | modifier le code] Roi de France[modifier | modifier le code] Demi-teston de Louis XII dit le Père du peuple, 1514[5]. Accession au trône et sacre[modifier | modifier le code] Ascendance[modifier | modifier le code]

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