background preloader

Le revenu de base illustré

Le revenu de base illustré

- Campagne de crowdfunding pour des créations sur le revenu de base : court-métrage d’animation – long-métrage documentaire – conférence gesticulée – clip de campagne européenne L’impôt négatif en solution | Thierry Curty Publié le 14 mai, 2013 | par Thierry Curty La notion de travail va changer radicalement Avec la révolution du numérique, la notion de travail tel que nous le connaissons va profondément se transformer. L’imprimante 3D va tout simplement supprimer tout un pan de la production en rendant la fabrication de tout et n’importe quoi triviale, il suffit de presser « Enter » et voilà une maison, un vélo, une voiture, une pièce de mécanique ou un bouton de machine à laver. inlassablement le désespoir des salariés à la rue, qui se comprend par ailleurs fort bien, est représentative du phénomène. La transition sociétale est inéluctable Ces paramètres induisent une transition sociétale inéluctable. C’est une transition inéluctable, mais aussi normale. Une autre fiscalité est incontournable Là, on remplit simplement la déclaration de revenu : « j’ai gagné tant/notre foyer a gagné tant et nous avons tant de parts fiscales », c’est tout. L’impôt négatif Et il n’y a pas moins de création de richesse.

L’heure du revenu de base est-elle venue? | Classe éco Il y a quelques semaines, un camion rempli de millions de pièces de monnaie a été déversé devant le parlement suisse; en même temps, a été apporté la liste de 125 000 signatures nécessaires pour la mise en place d'un revenu de base en suisse. Son montant n'a pas été précisé, mais les promoteurs de l'initiative proposent 2500 francs suisses par mois par adulte, et 625 par enfant de moins de 18 ans; soit environ respectivement 1 900 et 500 euros. Cela peut sembler beaucoup mais la Suisse est un pays riche, et ces montants correspondent au seuil de pauvreté du pays. En France, l'équivalent correspondrait à des montants d'environ 950 et 300 euros. le revenu de base, ou revenu inconditionnel, consiste à verser à chaque membre d'une communauté politique un revenu inconditionnel permettant à chacun de vivre au dessus du seuil de pauvreté. Très cher. C'est la crainte principale des adversaires du dispositif. Se pose également la question de l'avenir du travail.

Pourquoi l'Europe a besoin d'un euro-dividende Philippe Van Parijs, économiste et avocat de longue date du revenu de base démontre dans cet essai pourquoi il est non seulement raisonnable, mais urgent, de verser un modeste « euro-dividende » à chaque résident de l’Union européenne. Texte initialement publié en anglais sous le titre « The Euro-Dividend« Critiquer est facile; proposer l’est bien moins. L’euro-dividende, c’est ainsi que je vais l’appeler. Pourquoi avons-nous besoin d’un tel système inédit? 1. La raison la plus urgente est liée à la crise de la zone euro. L’un d’eux est la migration inter-étatique. Le second mécanisme-tampon puissant de l’espace monétaire américain, ce sont les transferts inter-étatiques automatiques, essentiellement organisés dans le cadre du système social fédéral américain. Dans l’UE en revanche, l’amortissement du ralentissement de l’économie d’un Etat membre grâce à des ajustements de transferts nets entre les états s’élève à moins de 1 %. 2. 3. 4. Objections N’est-ce pas utopique? Crédit image :

Les 8 approches de financement d'un revenu universel de base A partir des diverses options proposées par les philosophes, divers économistes ont proposé des schémas de financement. Vous trouverez ci-dessous les principales propositions que l’on peut énumérer. Nota : Le Mouvement Français ne se positionne pas quant à ce que serait la meilleure proposition de financement parmi celles existantes Approche A : Le financement d’un revenu de base par l’impôt sur le revenu Cette proposition s’appuie sur le travail de Marc de Basquiat dont on peut trouver un résumé de la thèse en cliquant ici (pdf). Il s’agirait de mettre en place un revenu de base financé par un impôt proportionnel qui viendrait remplacer le système actuel du RSA, de la prime pour l’emploi et des exonérations de cotisation patronales (réductions Fillon). Le financement par un impôt proportionnel donne une réponse aux sceptiques du revenu de base qui demandent souvent « Mais pourquoi le distribue-t-on aussi aux plus riches ? Approche B : regarder la part d’autofinancement Crédit image :

« De chacun (volontairement) selon ses capacités à chacun (inconditionnellement) selon ses besoins » Entretien avec Philippe Van Parijs, réalisé par Baptiste Mylondo et Simon Cottin-Marx Philippe Van Parijs, philosophe et économiste belge, est l’une des figures modernes de la promotion de l’allocation universelle qu’il présente comme une voie capitaliste vers un communisme moderne. Dans cet entretien, il brosse le tableau de l’émergence de cette idée, les controverses qu’elle a suscitées et suscite encore autour de la question du travail. Militant, il revient également sur son engagement européen, écologiste, en faveur d’une réappropriation de l’urbain avec pour objectif d’offrir aux générations à venir « une vie meilleure ». Mouvements :Vous êtes l’une des principales figures du revenu universel dans le monde, comment en êtes-vous venu à défendre cette idée ? Quel a été votre cheminement intellectuel et militant ? Philippe Van Parijs : Ça remonte à 1982. Un problème s’imposait comme central pour ce programme. M. P. Ça, c’était en 1987. M. P. M. P. M. P. M. P. M.

Introduction au revenu de base inconditionnel Le revenu garanti - André Gorz Après s'y être opposé des années durant, André Gorz se rallie en 1997 à l'idée de revenu garanti dans Misères du présent, richesse du possible, dont voici un extrait: André Gorz : « Sortir de la société salariale » « Le besoin impérieux d’un revenu suffisant et stable est une chose ; le besoin d’agir, d’œuvrer, de se mesurer aux autres, d’être apprécié par eux est une chose distincte, qui ne se confond pas ni ne coïncide avec la première. Parce que la production sociale (celle du nécessaire et du superflu) exige de moins en moins de « travail » et distribue de moins en moins de salaires, il devient de plus en plus difficile de se procurer un revenu suffisant et stable au moyen d’un travail payé. Le remède à cette situation n’est évidemment pas de « créer du travail » ; mais de répartir au mieux tout le travail socialement nécessaire et toute la richesse socialement produite. 1. La sécurité du revenu est la condition première d’une société de multiactivité. Défense de l’inconditionnalité

Related: