Le Siècle
"Le Siècle" est un "club de réflexion" (ou "think tank") qui réunit les membres les plus puissants et influents de la classe dirigeante française. On y retrouve des politiciens de droite et de gauche, les patrons des plus grandes entreprises françaises, des journalistes de premier plan dans les médias qui "font l'opinion", et quelques universitaires. Le Siècle compte un peu plus de 500 membres choisis par cooptation, auquels s'ajoutent 200 invités renouvelés chaque année. Une fois par mois, les membres du Siècle se réunissent au très sélect Automobile Club de France, place de la Concorde. Sur Canal Plus, les "Guignols de l'info" ont fait allusion au Siècle, avec une séquence où une organisation nommée "Le Spectre" gouverne secrètement la France. En photo, des membres du Siècle lors de leur "dîner" de janvier 2011, en train de regarder la police embarquer quelques 200 personnes venues manifester sous leurs fenètres contre l'oligarchie. Zoom sur quelques membres du Siècle Pouvoir économique
Les infiltrés
@ Fini Les Concessions : Si j’ai bien compris votre démonstration, on ne peut pas dire que les dominants complotent car n’ayant pas choisi leur statut social, ils seraient eux-mêmes dominés par leur domination. Cependant comme toute classe sociale, ils "mettent en place des stratégies pour défendre et maintenir leurs intérêts"... Une stratégie pour défendre et maintenir ses intérêts ne peut-elle pas donner lieu à un complot ? Par exemple quand la CIA renverse en 1953 le gouvernement démocratiquement élu de Mossadegh qui avait entrepris de nationaliser les compagnies pétrolières étrangères ne s’agit-il pas d’un complot ? Marie-Anne Boutoleau (de CQFD) pense qu’il est stupide de prétendre que les complots n’existent pas ("Par ailleurs, la position qui consiste à voir des complots partout est tout aussi stupide que celle qui consiste à n’en voir nulle part"). A propos des diners du Siècle, vous avez remarqué : Mais revenons au "concept" du complot. Et alors me direz-vous ? A bon entendeur..."
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Au cœur du pouvoir
Dîner du Siècle : le préfet de police défend efficacement son club
Dîner du Siècle : le préfet de police défend efficacement son club Ce soir, le mercredi 26 janvier 2011, entre 60 et 100 personnes ont été arrêtées lors du rassemblement organisé à l’appel du collectif Fini les concessions devant le dîner du Siècle. Au moins quatre membres du collectif ont fait partie de la charrette. Alors que le rendez-vous était donné à19h30, tout était déjà fini à 20h00, au moins pour ce qui concerne les soixante premières personnes arrêtées dont nous faisions partie. Il a été impossible de faire la moindre prise de parole, d’énoncer le moindre slogan ni de déployer la moindre banderole. Nous n’avons même pas pu saluer nos invités, tel Hervé Kempf, qui n’a pu qu’assister impuissant au départ d’un des cars dans lequel nous nous trouvions. Du haut de l’Automobile club de France, les valets observaient la scène, tandis que sur la ligne 8 du métro, nombre de « gardiens de la paix » effectuaient des contrôles et tentaient de dissuader les gens de descendre à Concorde.
Club de la Boussole
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Club de la boussole est un groupe créé en octobre 2002 par le député UMP de l'Oise Éric Woerth. Depuis le printemps 2004, François Cornut-Gentille, député de Haute-Marne, en assure la présidence. Il rassemble aujourd'hui 40 députés, issus des différentes sensibilités de l'UMP, qui se revendiquent fidèles aux engagements présidentiels de 2002 (Jacques Chirac) et 2007 (Nicolas Sarkozy). Portail de la politique française
Aux dîners du Siècle, l’élite du pouvoir se restaure, par François Denord, Paul Lagneau-Ymonet et Sylvain Thine
Publié aux Etats-Unis en 1956, en pleine guerre froide, L’Elite du pouvoir de Charles W. Mills a suscité d’intenses controverses. Ce livre démontrait en effet que le pays censé incarner le pluralisme démocratique était en réalité contrôlé par une étroite minorité d’individus juchés aux postes de commande des plus puissantes institutions de la société moderne (Etat, grandes entreprises, armée, médias, etc.). De l’aveu même de l’ancien président de cette association, on y mange plutôt mal (2). Les « importants » autour d’une table Créé en 1944, Le Siècle n’est ni un groupe de réflexion, ni un club mondain. L’initiative de fonder ce cénacle revient à Georges Bérard-Quélin (1917-1990), un journaliste radical-socialiste, éphémère secrétaire de rédaction en 1940 de La France au travail, un journal collaborationniste, avant d’épouser la cause de la Résistance. On ne demande d’ailleurs pas à entrer au Siècle : on y est invité, grâce au parrainage de deux membres au moins.
Alliance européenne des mouvements nationaux
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir AEMN. Depuis décembre 2013, son président est Béla Kovács du parti Jobbik. Il a succédé à Bruno Gollnisch qui présida l'AEMN de sa création[4] à octobre 2013. Idéologie et objectifs[modifier | modifier le code] La formation de l'alliance fut officiellement annoncée le 24 octobre 2009 à Budapest lors du sixième congrès du parti hongrois Jobbik[5]. Les objectifs de cette alliance sont un « approfondissement doctrinal », la démonstration que des mouvements politiques qui promeuvent les nations sont capables de s'entendre, la lutte commune contre « la désinformation et la diabolisation » dont ils se disent victimes, et la concertation sur les problèmes politiques notamment les problèmes politiques internationaux et surtout européens[6]. Structure[modifier | modifier le code] Le siège de l'Alliance européenne des mouvements nationaux se trouve à Matzenheim dans le Bas-Rhin[8]. Membres[modifier | modifier le code]
Emmanuel Ratier
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Ratier. Il anime le Libre Journal de la résistance française toutes les 4 semaines sur Radio Courtoisie, et écrit son propre journal bimensuel Faits & Documents. Biographie[modifier | modifier le code] Selon Jean-Moïse Braitberg, rédacteur en chef du bimestriel Franc-maçonnerie magazine, Emmanuel Ratier aurait été membre d'une loge maçonnique se rattachant à l'obédience de la Grande Loge nationale française, versée dans l'ésotérisme tendance René Guénon, et qui n'existerait plus[4]. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages sur la politique, tels que Au cœur du pouvoir le seul livre consacré au club Le Siècle, Mystères et secrets du B’naï B’rith le seul livre consacré au B'nai B'rith, Le vrai visage de Jacques Chirac, ou encore l'Encyclopédie politique française en deux volumes, qui dresse un portrait de ses principaux acteurs (revues, mouvements, partis, idéologies, clubs, loges maçonniques).
Règle de Chatham House
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La règle de Chatham House (en anglais : Chatham House Rule) est une règle utilisée pour réglementer la confidentialité des informations échangées lors d'une réunion. Sa traduction en français est[1] : « Quand une réunion, ou l'une de ses parties, se déroule sous la règle de Chatham House, les participants sont libres d'utiliser les informations collectées à cette occasion, mais ils ne doivent révéler ni l'identité, ni l'affiliation des personnes à l'origine de ces informations, de même qu'ils ne doivent pas révéler l'identité des autres participants. » Histoire[modifier | modifier le code] La règle de Chatham House a été formalisée en 1927 pour faciliter les échanges au sein du Royal Institute of International Affairs. Cette règle a fait l'objet de différentes mises à jour - la dernière en 2002. Critères d'application de la règle[modifier | modifier le code] Organisations utilisant la règle de Chatham House[modifier | modifier le code]