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Traité Euratom Avec la mise en place de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) entrée en fonction en juillet 1952, l'Europe supranationale connaît sa première grande réalisation. Pour la première fois, les six États membres de cette organisation renoncent, dans un domaine certes limité, à une part de leur souveraineté en faveur de la Communauté. Ce premier effort d'intégration connut rapidement ses limites avec l'échec de la Communauté européenne de défense (CED) en 1954. Alors que l'on aurait pu craindre que l'effort entrepris par la CECA ne reste sans lendemain, la Conférence de Messine de juin 1955 tente de relancer le processus européen. Elle est suivie d'une série d'autres réunions rassemblant des ministres ou des experts. Un comité préparatoire chargé de préparer un rapport sur la création d'un marché commun européen est mis en place dés le début de l'année 1956. la création d'un marché commun généralisé; la création d'une communauté de l'énergie atomique.

L'énergie nucléaire dans l'économie L’électricité nucléaire pose de grands enjeux économiques sur l’ensemble de sa chaîne de valeur. Le français Areva et le russe Rosatom sont les seuls à avoir intégré l’ensemble de la chaîne de valeur du nucléaire. Energie nucléaire et extraction de l’uranium L’extraction de l’uranium nécessaire à la fabrication du combustible passe par la construction d’installations minières dans les pays producteurs, parmi lesquels figurent le Canada, l’Australie et le Niger. Energie nucléaire et construction de réacteurs La construction des réacteurs nucléaire est un marché très disputé aux enjeux économiques considérables, au regard des sommes en jeu. L’aval de la filière nucléaire La filière nucléaire française possède des compétences particulières sur l’aval de la chaîne de valeur de l’électricité nucléaire (recyclage du combustible nucléaire et retraitement).

Nuclear Safety & Security STOP ITER / CRISE ECONOMIQUE Ce que nous craignions est donc en train de se produire : le coût prévisionnel de construction d’Iter venant de passer de 5 à 15 milliards d’euros, il est question d’en faire subir les conséquences aux budgets de financement de la recherche scientifique européenne. C’est exactement la catastrophe que nous redoutions. Il est grand temps d’y renoncer. Iter est le réacteur expérimental que sept pays ont décidé de construire à Cadarache (en Provence) afin de tester la possibilité de produire de l’électricité à partir de la fusion nucléaire. Ces pays sont les Etats-Unis, l’Europe, la Russie, la Corée du Sud, le Japon, la Chine et l’Inde. La revue Nature du 1er juillet 2010 nous apprenait que la contribution européenne devait passer de 2,7 à 7,2 milliards d’euros, dont 1,4 milliard à trouver en 2012-2013 sur le budget du Septième plan de la recherche européenne. Contrôler la fusion pour produire de l’électricité est un rêve ancien. Or notre problème d’énergie est urgent. Illustration Rocco

CIPR (Commission internationale de protection radiologique) L'impossible chiffrage du coût de l'après-nucléaire Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Marie-Béatrice Baudet Cet article est extrait d'un hors-série du Monde, "Nucléaire : la situation après Fukushima - l'exception française - la transition énergétique", qui sera disponible le 24 novembre. La question semble facile à formuler : "Combien coûterait à la France une sortie du nucléaire ?" Mais y répondre précisément et avec certitude relève d'une mission impossible. Aujourd'hui, l'atome fournit à l'Hexagone 74 % de son électricité. Il ne suffit pas de proclamer la " sortie du nucléaire ", encore faut-il, comme on le rappelle au ministère français de l'énergie, dire par quoi on le remplace ; préciser le futur prix de l'électricité ; expliquer comment la sécurité d'approvisionnement du pays sera assurée ; indiquer quelles énergies (fossiles ou renouvelables) seront privilégiées pour remplacer l'atome ; et définir l'impact de ces choix sur la politique de lutte contre le réchauffement climatique… Bref, l'équation est à multiples paramètres.

Présentation de la conférence 19 mai 2010 (mis à jour le 10 mars 2011) S’assurer un accès fiable à des ressources énergétiques peu coûteuses qui ne contribuent pas au réchauffement climatique a fait de l’énergie nucléaire une option attractive pour un nombre croissant de pays dans le monde. La "renaissance nucléaire" internationale requiert une action résolue des Etats qui, à l’instar de la France, estiment que le recours à l’énergie nucléaire pour satisfaire de manière durable des besoins énergétiques croissants est pertinent. La France a conclu des partenariats fructueux et de long terme avec des pays qui disposent déjà de capacités nucléaires avancées. Cependant, elle considère que l’utilisation de l’énergie nucléaire à des fins pacifiques ne doit pas être limitée au petit nombre d’Etats qui détiennent déjà la technologie nécessaire. Le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (art. M. Par la Conférence de Paris, la France souhaite encourager ses partenaires à passer de l’engagement aux actes.

YVES MARIGNAC SORTIR DU NUCLEAIRE? L'Union européenne est le plus important consommateur d'énergie au monde. Ses réserves étant réduites, elle doit compter sur les pays tiers pour lui fournir la majeure partie de l'énergie qu'elle consomme. Parallèlement, elle s'est fixé des objectifs contraignants pour lutter contre le changement climatique. La politique européenne de l'énergie s'efforce alors d'assurer la sécurité des approvisionnements et le maintien de prix abordables, tout en poursuivant des objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre et de développement des énergies renouvelables. En matière énergétique, l'Union européenne fait aujourd'hui face à trois principaux défis. En dépit de la rareté de ses réserves et de la dépendance vis-à-vis des pays tiers, elle cherche à garantir la sécurité de ses approvisionnements. L'Union européenne consomme environ 20% de l'énergie produite dans le monde. La Russie fournit à l'UE le tiers de ses importations de pétrole, de produits raffinés, de gaz et de charbon.

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