L’affiche rouge
Vidéo L’affiche rouge Contexte historique Une opération de propagande d’envergure Constitué et organisé entre la fin de l’année 1942 et février 1943, le réseau Manouchian fait partie du groupe de résistance des « Francs-tireurs et partisans – main-d’œuvre immigrée » (F.T.P. Arrêtés en novembre 1943, ses membres sont jugés lors d’un procès qui se déroule devant le tribunal militaire allemand du Grand-Paris, du 17 au 21 février 1944. Réalisée par les services de propagande allemands en France, « Des libérateurs ? Analyse des images L’armée du crime L’image est organisée en trois parties. Six photos (attentats, armes ou destructions) représentent enfin la menace qu’ils constituent à travers certains des attentats qui leur sont reprochés. Interprétation L’ennemi de l’intérieur « L’affiche rouge » entend d’abord présenter les membres du réseau Manouchian comme de dangereux terroristes. L’image insiste aussi sur le fait que cette « armée du crime » est constituée d’étrangers. Bibliographie Liens
WELLS Herbert George
Père de la Science-Fiction moderne, H.G.WELLS a tout inventé : la machine à remonter le temps, l’invasion martienne, l’exploration des frontières de l’infiniment grand et de l’infiniment petit, le savant-fou ... C’est bien plus qu’un Jules VERNE anglo-saxon, un auteur pessimiste et impliqué politiquement. Herbert George WELLS nait dans une famille moyenne du Kent. Il doit travailler assez jeune pour aider ses parents. Bon élève, il se lance dans des études de biologie à la Normal School of Science de London, mais il abandonne avant d’obtenir son diplôme. Il devient professeur, puis journaliste et commence à écrire. Son premier livre, "La Machine à remonter le Temps" parait en 1895. Ses derniers ouvrages s’orientent vers la pensée politique, mais ils ne connaîtrons jamais le même succès. Reste que WELLS a démontré que la littérature de SF pouvait [devait ?] En cela il a ouvert la voie à une science-fiction "intelligente" qui a donné au genre certains de ses plus immortels chefs-d’oeuvres.
Mon histoire des arts !
Bonjour à tout le monde. Je n'ai pas actualisé beaucoup de choses dernièrement et ça risque de durer encore un peu. Dans cet article, je vais vous mettre le sujet ô combien intéressant que j'ai fait pour mon épreuve d'histoire des arts que j'ai passé aujourd'hui ! Il était tellement bien complet que mes deux profs qui faisait le jury n'avait pratiquement aucune question à me poser. Voici donc ma présentation : en rouge ce dont je n'ai pas parlé, et en vert ce que j'ai développé et qui n'apparaît pas sur ma présentation papier. Histoire des Arts : Le mur de Berlin Introduction Le mur de Berlin (Berliner Mauer en Allemand) a été construit la nuit du 12 au 13 août en 1961 par la RDA (République Démocratique Allemande). Aujourd’hui, 23 ans plus tard, les œuvres qui ont été peintes par des artistes venus du monde entier sont exposées aux yeux de tous. Au temps de l’Allemagne divisée, ce mur était considéré comme le « mur de la honte ». Présentation d’une peinture de Brigit Kinder Conclusion
Anne Frank au pays du Manga - ARTE
"La guerre des mondes" de H.G. WELLS : une parabole politique
Il semble qu’à l’origine du livre il y ait eu une conversation entre H.G.WELLS et son frère Frank. Tous deux discutaient du triste destin des indigènes de Tasmanie, décimés par la colonisation [1] Il faut se souvenir que l’Empire britannique est alors à son apogée et étend son emprise de l’Inde aux Amériques. Or H.G.WELLS, homme de gauche, est très sensible sur le sujet. Il se mit à imaginer ce que cela pouvait être de se trouver du mauvais côté du bâton... Et si pour une fois c’était l’Anglais colonisateur qui devenait l’autochtone colonisé et maltraité ? Et si pour une fois l’Empire britannique éprouvait l’injustice qu’il y a à être considéré comme une donnée négligeable par plus puissant que lui ? Il faut aussi se rappeler que, quand H.G. Crédibilité scientifique Ce n’est pas pour rien que l’auteur anglais porte son choix sur la planète rouge. Un autre astronome, M. Du coup, H.G. La fin de "La Guerre des Mondes" H.G. Orson WELLS crée la panique ! "Attendez !
Hundertwasser - Histoire des arts au collège de Mormant
Friedensreich Hundertwasser Friedensreich Hundertwasser (1928-2000), né en Autriche, étudie l'art à l'université de Vienne et devient peintre, architecte, mais aussi penseur et philosophe. Le nom qu'il se donne, en déformant quelque peu son vrai nom, signifie en français "Le royaume de la paix (aux) cent eaux" II fait de la Nouvelle-Zélande sa patrie d'adoption. Son grand rêve : rétablir l'harmonie entre l'Homme et la Nature. Pour lui, l'homme est entouré d'un système de couches successives : -la lère peau : l'épiderme humain. -la 2ème peau : les vêtements -la 3ème peau : l'habitat -la 4ème peau : les relations sociales Ses constructions II conçoit ainsi des maisons à la fois écologiques, intégrées à la nature et faites « sur mesure » pour leurs habitants. -des couleurs très vives, des façades bariolées, des mosaïques... -des murs, des plafonds, des sols ondulés ou déformés. -un loyer très modéré, qui les rend accessibles à tous.
fac similé Chanson de Craonne
Voir aussi: une chanson antimilitariste de 1917 Ecouter une version libre de droits de la Chanson de Craonne, au format mp3 (enregistrement par la classe de CM2 de l'école Madame de Sévigné de Dieppe durant l'année scolaire 2008-2009, en cours de musique avec Régis Delcroix, musicien intervenant en milieu scolaire.) La Chanson de Craonne est depuis longtemps un élément central dans la mémoire de la Première guerre mondiale. Donnons d'abord le texte stabilisé tel qu'il a s'est imposé dans l'après-guerre, d'abord publié sous le titre "Chanson de Lorette" par l'écrivain et militant communiste Paul Vaillant-Couturier en 1919, titre transformé à partir des années 1920 en "Chanson de Craonne", et qui est aujourd'hui la version que chacun connaît : Quand au bout d’huit jours, le repos terminé, On va reprendre les tranchées, Notre place est si utile Que sans nous on prend la pile. Refrain : Adieu la vie, adieu l’amour, Adieu toutes les femmes. Adieu, m'amour!
La Marseillaise de Rouget de Lisle
A l'origine chant de guerre révolutionnaire et hymne à la liberté, la Marseillaise s'est imposée progressivement comme un hymne national. Elle accompagne aujourd'hui la plupart des manifestations officielles. Claude Joseph Rouget de Lisle chantant la marseillaisePaul Adolphe Rajon (XIXème siècle), BnF En 1792, à la suite de la déclaration de guerre du Roi à l'Autriche, un officier français en poste à Strasbourg, Rouget de Lisle compose, dans la nuit du 25 au 26 avril, chez Dietrich, le maire de la ville, le "Chant de guerre pour l'armée du Rhin". Ce chant est repris par les fédérés de Marseille participant à l'insurrection des Tuileries le 10 août 1792. Interdite sous l'Empire et la Restauration, la Marseillaise est remise à l'honneur lors de la Révolution de 1830 et Berlioz en élabore une orchestration qu'il dédie à Rouget de Lisle. Né en 1760 à Lons-le-Saunier, Claude-Joseph Rouget de Lisle est capitaine du génie mais a mené une carrière militaire assez brève. 1er couplet Refrain Quoi !