Physique quantique - Et si le temps n'existait pas ? Et si le temps n'existait pas ? La réalité intemporelle (I) Le travail des théoriciens spécialisés en physique consiste notamment à développer la théorie la plus générale possible, unifiant les deux théories cadres de la physique moderne que sont la physique quantique et la théorie de la Relativité générale. Pour y parvenir, ces mathématiciens doivent bien comprendre le monde dans lequel nous vivons, du point de vue physique : ses dimensions, les relations qui s'établissent entre ses variables physiques, etc. Si leur théorie est complète, elle devrait même prédire ce qui se passe en dessous de l'échelle de Planck. En compagnie de plusieurs physiciens et théoriciens dont nous allons résumer les recherches actuelles, nous allons passer en revue ces différentes étapes, que nous détaillerons dans d'autres articles, en les articulant autour de la notion de temps, un concept que nous avons déjà abordé en thermodynamique, où nous avons constaté qu'il était bien complexe à cerner. Deuxième partie
Vers une théorie intégrale du tout ? Les mystiques et les sages savent depuis longtemps qu'il existe un champ cosmique reliant tout à tout au plus profond de la réalité, un champ qui conserve et transmet l'information. De récentes découvertes scientifiques indiquent que celui-ci pourrait être réel... Que les théories scientifiques aient ou non un sens sur le plan humain, il est clair qu'elles ne sont pas éternelles. Il arrive de temps en temps que même les théories les plus solides s'effondrent parce que les prédictions qu'elles proposent ne sont plus corroborées par les nouvelles observations. Lorsque celles-ci n'ont pas d'explications immédiates, on les définit comme « anomales ». Durant les périodes de révolution scientifique, c'est-à-dire quand un paradigme établi est de plus en plus sur la sellette, les fables des chercheurs avant-gardistes acquièrent une importance particulière. Extrait du livre « Science et champ akashique » (Editions Les Arènes) Par Ervin Laszlo - 22 septembre 2005 D'autres ont aimé...
Art aztèque Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’art aztèque s'inscrit dans une tradition culturelle millénaire dont toute la production fait partie du cœur de l'espace mésoaméricain. Les Mexicas, autre nom des Aztèques, héritiers de plus de trente siècles de civilisation, adoptent et améliorent en effet les techniques artistiques et architecturales des peuples qui, avant eux, dominèrent le Mexique central. Caractéristiques principales[modifier | modifier le code] Xochipilli, dieu aztèque de la danse et de la musiqueLombards Museum Une culture originale de la synthèse[modifier | modifier le code] L'art aztèque emprunte de nombreux éléments aux héritages de l'Époque classique et aux autres cultures contemporaines. Chez les Aztèques, la différence entre les arts majeurs et les arts mineurs, les artistes et les artisans est presque imperceptible : à l'instar d'habiles sculpteurs, existent de bons orfèvres et des artisans travaillant les plumes (du nom d’amantecatl). Maquette du Templo Mayor
Mens sana in corpore sano ~ PHi Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En biochimie, le point isoélectrique (pI) ou potentiel hydrogène isoélectrique (pHI) est le pH auquel une molécule est sous forme d'ion mixte ou, en physico-chimie, le pH d'une solution aqueuse dans laquelle un solide existe sous un potentiel électrique neutre. En biochimie[modifier | modifier le code] Le pHi ou pI d'une molécule (la plupart du temps une protéine ou un peptide) est défini comme étant le pH (potentiel hydrogène) pour lequel la charge globale de cette molécule est nulle ou, autrement dit, le pH pour lequel la molécule est électriquement neutre (forme zwitterionique ou ion mixte). Cela ne signifie pas que la protéine ne possède aucun groupement chargé, c'est impossible de par sa composition d'acides aminés. correspond à une forme chimiquement inexistante : l'extrémité acide carboxylique sous forme et inversement. En physico-chimie[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]
Physique de l'information Le physicien qui a enterré le temps Einstein aurait pu réellement bouleverser notre conception du temps il y a un siècle, mais ce bouleversement n’est pas entré dans les esprits, seulement dans nos GPS. Il n’a pas changé notre conception du monde, il n’a même pas été réellement pris au sérieux par les physiciens. Il aura fallu attendre le début de notre XXIème siècle, et notamment les résultats des expériences d‘Antoine Suarez (ci-dessus) avec l’équipe de Nicolas Gisin (en vert sur la photo ci-dessous) pour que les physiciens commencent à prendre au sérieux le fait suivant: notre idée commune d’un temps qui s’écoule en même temps que se crée la réalité est forcément une idée fausse. Au contraire, la physique nous positionne de plus en plus devant l’idée que le futur pourrait “être déjà là” et que le temps, s’il existe encore, doit donc être dissocié de l’ordre d’enchainement des évènements; c’est à dire de la causalité. Ce constat a été confirmé récemment par d’autres expériences.
Un nouvel état de la matière brise la symétrie d'inversion du temps Solide, liquide, gaz, plasma : il y a bien longtemps que ces états traditionnels de la matière ont été dépassés. La liste des nouveaux venus est toujours plus longue et absconse : cristal liquide, supraconducteur, condensat de Bose-Enstein… Et un nouvel arrivant vient étoffer un peu plus ce cadavre exquis. Encore anonyme, cet état quantique de la matière regroupe des quadruplets d’électrons et viole la symétrie d’inversion du temps, remettant en cause la théorie explicative des matériaux supraconducteurs couramment adoptée. Un état au-delà de la supraconductivité : c’est en ces termes que l’on pourrait décrire la découverte d’une équipe internationale de chercheurs, publiée le 18 octobre dans la revue Nature Physics. En effet, au-delà de la transition de phase vers l’état supraconducteur, les auteurs ont démontré que le matériau se métamorphosait. Près de vingt ans d’attente Puis, en 2012, il considère que ce phénomène est observable dans un matériau réel : la chasse est lancée.
Des chercheurs mesurent la courbure de l’espace-temps avec une "fontaine atomique", pour la première fois ⇧ [VIDÉO] Vous pourriez aussi aimer ce contenu partenaire (après la pub) Selon la théorie de la relativité d’Einstein, la gravitation n’est pas une force mais une manifestation de la courbure de l’espace-temps. La constante de gravitation a été mesurée pour la première fois en 1797 par le physicien britannique Henry Cavendish, à l’aide d’une balance de torsion. Plus de deux siècles plus tard, une équipe de chercheurs de l’Université de Stanford annonce avoir réussi, pour la première fois, à mesurer la courbure de l’espace-temps à l’aide d’une fontaine atomique. La relativité générale prédit que des horloges se déplaçant à des vitesses différentes ou situées dans différentes régions d’un champ gravitationnel tournent à des vitesses différentes, un phénomène connu sous le nom de dilatation temporelle relativiste. Un déphasage induit par la dilatation du temps Un effet Aharonov-Bohm gravitationnel Source : C.
Physicists link two time crystals in seemingly impossible experiment Physicists have created a system of two connected time crystals, which are strange quantum systems that are stuck in an endless loop to which the normal laws of thermodynamics do not apply. By connecting two time crystals together, the physicists hope to use the technology to eventually build a new kind of quantum computer. "It is a rare privilege to explore a completely novel phase of matter," Samuli Autti, the lead scientist on the project from Lancaster University in the United Kingdom, told Live Science in an email. From crystal to time crystal We encounter normal crystals all the time in everyday life, from the ice in a cocktail to the diamonds in jewelry. The laws of physics are symmetric through space. But in a crystal, this gorgeous symmetry gets broken. In 2012, physicist Frank Wilczek, at the Massachusetts Institute of Technology, noticed that the laws of physics also have a time symmetry. Related: 'X particle' from the dawn of time detected inside the Large Hadron Collider
Des physiciens élucident le mystère de la « flèche du temps » ⇧ [VIDÉO] Vous pourriez aussi aimer ce contenu partenaire (après la pub) La flèche du temps, évoquée pour la première fois en 1928 par l’astrophysicien Arthur Eddington, décrit l’écoulement du temps du passé au futur. Ce qui relie ce phénomène aux interactions microscopiques entre les particules et les cellules reste cependant un mystère. Des physiciens théoriciens du Graduate Center de l’Université de la ville de New York apportent aujourd’hui de nouveaux éléments de réponse. Le temps s’écoule toujours dans la même direction — et nous aurions d’ailleurs du mal à imaginer qu’il en soit autrement. La flèche du temps découle de la deuxième loi de la thermodynamique (aussi connue sous le nom de principe de Carnot), selon laquelle les arrangements microscopiques des systèmes physiques ont tendance à augmenter de manière aléatoire, passant de l’ordre au désordre (ce qui se traduit par une augmentation de l’entropie du système). D’où vient l’irréversibilité du temps ? Source : C.
Des chercheurs prouvent l’existence de processus temporels voyageant dans les deux sens simultanément ⇧ [VIDÉO] Vous pourriez aussi aimer ce contenu partenaire (après la pub) Deux groupes de recherche distincts ont réussi à faire voyager un photon en avant et en arrière dans le temps, de façon simultanée — un phénomène appelé « retournement temporel quantique ». Cette expérience pourrait avoir des implications pour la conception d’ordinateurs quantiques, mais pourrait également aider à développer une théorie de la gravité quantique. À notre échelle, le temps ne s’écoule que dans un seul sens ; les événements qui surviennent, généralement dans un ordre causal bien défini, ne peuvent être inversés. En physique quantique, en revanche, ce genre de chose est tout à fait envisageable : à l’échelle subatomique, il n’y a pas de distinction asymétrique entre passé et futur et deux événements peuvent être vrais simultanément. La flèche du temps vue comme superposition de processus temporels Vers une nouvelle théorie de la gravité quantique Source : T.