SolarSinter : markus kayser Solar Sinter 2011 In August 2010 I took my first solar machine - the Sun-Cutter - to the Egyptian desert in a suitcase. This was a solar-powered, semi-automated low-tech laser cutter, that used the power of the sun to drive it and directly harnessed its rays through a glass ball lens to ‘laser’ cut 2D components using a cam-guided system. The Sun-Cutter produced components in thin plywood with an aesthetic quality that was a curious hybrid of machine-made and “nature craft” due to the crudeness of its mechanism and cutting beam optics, alongside variations in solar intensity due to weather fluctuations. In the deserts of the world two elements dominate - sun and sand. My first manually-operated solar-sintering machine was tested in February 2011 in the Moroccan desert with encouraging results that led to the development of the current larger and fully-automated computer driven version - the Solar-Sinter.
Visioconférence - TrueConf Une version gratuite (jusqu’à 6 utilisateurs) Serveur de visioconférence gratuit TrueConf : pas une solution au rabais. La solution gratuite couvre tous les besoins des entreprises jusqu’à 6 participants simultanés. Gestion de la vidéo ultra HD (téléprésence 4K)Fonctionnement sur tous terminaux et systèmes d’exploitation (Windows, MAC, Linux, iOS et navigateur Web)6 utilisateurs et une liaison SIP/H323 Une visioconférence utilisable avec n’importe quel type de matériel La solution de visioconférence TrueConf n’est pas “attachée” à du matériel propriétaire. Une visioconférence utilisable à l’intérieur comme à l’extérieur de l’entreprise Le logiciel de visioconférence TrueConf peut être livré installé dans une “boîte noire” que vous placerez sur votre réseau interne (auquel cas vous ne diffusez pas à l’extérieur de votre organisation). Windows, MAC, Linux, iOS, Android : la visioconférence qui fonctionne avec tous les systèmes d’exploitation Le complément naturel des écrans interactifs
The Hole NYC » KATSU DRONE PAINTINGS OPENING preview: Thursday, April 10 6-9:30pm Open to the public Friday, April 11 11- 8pm Saturday, April 12 11-8pm Sunday, April 13 11-6pm The Hole is proud to present a solo booth at the first Silicon Valley Art Fair by multi media artist KATSU. The artworks in this exhibition are a completely new type of painting that has never been made before. The results show a new type of mark, divorced from the artist hand though remotely controlled by it, and filtered through the nature of the drone and its tendencies. These works visually relate to Abstract Expressionism, where the gestures are random and free and a record of movement; however of course here the hand of the artist is on a joystick and has been honed by years of video game playing. About Katsu: KATSU is a prolific artist who emerged in New York City in the late 1990s, primarily recognized by his tags “KATSU” and a single stroke skull icon. About SVAC: KATSU drone paintings SVC THE HOLE NYC
Mon ordinosaure Le MIT invente un web anti-NSA 01net le 26/03/14 à 19h06 Les révélations d’Edward Snowden, tout comme les désormais innombrables vols de données le prouvent : les sites web ne sont pas suffisamment sécurisés pour héberger des informations sensibles. C’est pourquoi une équipe de chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT) propose une nouvelle architecture web baptisée « Mylar », taillée sur mesure pour résister aux assauts des espions et des cybercriminels. L’idée principale est assez simple : comme il est difficile de sécuriser correctement les serveurs web, il faut que ces derniers ne manipulent que des données chiffrées. Pour y arriver, les serveurs web de Mylar ne génèrent pas des pages web finies, mais transmettent du code Javascript et les données chiffrées au navigateur web qui dispose en local d’une clé pour les déchiffrer. Mais comment faire pour filtrer les données ou les partager avec d’autres utilisateurs ? Impact « modeste » sur les performances Lire aussi: Source :
Massoud Hassani, l'afghan qui rêve de déminer le monde L’invention Mine Kafon est un outil supplémentaire contre le déminage. La Mine Kafon qui progresse à la force du vent peut enclencher une mine antipersonnel pour explosion tout en poursuivant sa route. Cette grosse boule composé de 70 tiges de bambou et d’un GPS permet de tracer des chemins déminés. À chaque utilisation, et pour coût de 40 euros, 3 ou 4 mines peuvent être désamorcées. L’Afghanistan possède un sol riche qui ne demande qu’à être exploité par la population locale (on y recense le diamant, lapis-lazuli, le saphir, gaz naturel, pétrole, le tungstène, le lithium, l’étain etc.) Le Demineur Mine Kafon de Massoud Hassani Selon le Centre français de recherche sur le renseignement, en 2009, ces engins ont tué 1 054 civils afghans et 275 des 520 soldats de la coalition ayant trouvé la mort durant la guerre d’Afghanistan. Bien évidemment cette invention ne résoudra pas tous les problèmes.
Les men in grey poussent un gris Peut-être avez-vous croisé leur silhouette discrète au détour d’une rue de Berlin ou d’Helsinki, arpentant le trottoir, attaché-case à la main, impeccables dans leur complet gris comme un jour sans soleil. Les Men in Grey (MIG) opèrent dans cette zone grise, de plus en plus ambiguë, entre ce qui est considéré comme privé et ce qui relève de l’espace public à l’ère de l’informatique ubiquiste. Vous êtes dans la rue ou dans un café, en train de consulter un site web sur votre ordinateur portable ou votre smartphone, de poster des statuts sur Facebook, de partager une photo coquine ou de vous envoyer des mots doux par tchat, pensant être à l’abri des regards, et voilà que vous entendez une synthèse vocale claironnant à la face du monde ce que vous venez de chuchoter sur votre clavier. Ces opérateurs aux allures de bureaucrates s’interposent dans le trafic sans fil non sécurisé et prennent le contrôle du réseau. Paru dans Libération du 16 octobre 2010 Lire les réactions à cet article.
MORPHING – 12 artistes vivent pendant six mois avec la même identité Le projet "Citizen K" fait l'objet d'une exposition du collectif Ztohoven à Londres. Pendant six mois, douze artistes du collectif tchèque Ztohoven ont vécu avec la même identité. Ils ont voyagé, voté, acheté des armes et se sont même mariés sans que personne ne s'en aperçoive. Cette histoire incroyable est racontée actuellement par le collectif dans l'exposition londonienne " Cultural Hijack " (détournement culturel). Elle a commencé en 2010, quand ces douze artistes ont adopté la même coupe de cheveux et fusionné leurs photos d'identité à l'aide d'un logiciel de morphing . Ils ont ensuite demandé de nouvelles cartes d'identité sous de faux noms. A l'issue des six mois, le collectif a révélé le pot aux roses avec une première exposition à Prague, qui a mal tourné. Le projet, baptisé "Citizen K" en référence à Franz Kafka, vient d'être décliné en film éponyme qui retrace l'ensemble de l'expérience, et sortira en salle en République tchèque en novembre.
Julius von Bismarck - Image Fulgurator | Julius von Bismarck | Cultures Electroniques Manipulation analogique à l’ère numérique : le Fulgurator de Julius von Bismarck sème le doute chez les photographes La multiplication des appareils photos numériques bon marché a fait entrer un nouveau geste dans les mœurs : dès qu’une photo est prise, l’auteur confronte le cliché à ce qu’il imaginait ou bien à la réalité. Si le résultat n’est pas à la hauteur de ses attentes, il recommence. Julius von Bismarck, un étudiant en art à Berlin, exploite alors ce moment où l’observateur confronte le cliché et l’objet photographié. Son Image Fulgurator ressemble à un appareil photo mais c’est tout le contraire. Même si Julius von Bismarck n’utilise ici que des techniques classiques sans recourir à l'ordinateur, il ne s’inscrit pas moins dans une tradition du hacking notamment populaire pour le piratage informatique : il est un « hacker » d’images. Cette invention soulève de nombreuses questions. Or le Fulgurator est plus qu’un gadget de bricoleur espiègle.
Semi—Living Food and “Disembodies Cuisine” Semi-Living Food: “Disembodied Cuisine” Another way of treating living systems is by consuming them as food. Throughout history many humans have practiced some kind of division among living entities which are categorized as food or others (such as pets, ornaments, work etc.). These divisions are not always clear, and we must practice some kind of hypocrisy in order to be able to love and respect living things as well as to eat them. Our latest project titled ‘Disembodied Cuisine’ will be shown in an international biological art exhibition” L’art Biotech’ in Nantes, France March 2003. In the “Disembodied Cuisine” we will attempt to grow frog skeletal muscle over biopolymer for potential food consumption. This piece deals with one of the most common zones of interaction between humans and other living systems and will probe the apparent uneasiness people feel when someone ‘messes’ with their food.
Stealth Wear Stealth Wear was exhibited at TANK Magazine HQ in London in January 2013. Presented by PRIMITIVE LONDON. Summary Collectively, Stealth Wear is a vision for fashion that addresses the rise of surveillance, the power of those who surveil, and the growing need to exert control over what we are slowly losing, our privacy. Building off previous work with CV Dazzle, camouflage from face detection, Stealth Wear continues to explore the aesthetics of privacy and the potential for fashion to challenge authoritarian surveillance. Presented by Primitive at Tank Magazine were a suite of new designs that tackle some of the most pressing and sophisticated forms of surveillance today. In Privacy We Trust Adam Harvey Presented by Primitive London | Hosted by TANK Magazine | Images Anti-Drone Burqa©Adam Harvey Anti-Drone Hoodie©Adam Harvey Anti-Drone Hoodie©Adam Harvey Anti-Drone Hijab©Adam Harvey Thermal Images Anti-Drone Burqa©Adam Harvey Video
We Hate the Users: An Interview with UBERMORGEN Several decades after the birth of artivism and net art, UBERMORGEN continue to make art with and about networked society. But where net art 1.0 was largely critical of capitalism’s use of networks, today UBERMORGEN’s tactics work through an aesthetics of affirmation. Interview by Stevphen Shukaitis UBERMORGEN are nothing if not a little contrarian. Operating mainly as a digital and net art project since forming in 1995, their work cuts stridently against two quite prominent clichés in the way digital media and art are discussed. UBERMORGEN however have continuously focused their work on exploring the dark sides of technology and the net. Stevphen Shukaitis: One thing that strikes me is how one could see how your work over the past ten to 15 years has focused on the dystopian, dismal side of technology – the workings of technology and its power, in a Ballardian sense. UBERMORGEN: Indeed, many things have changed. SS: Indeed. U: Take a project like Vote-Auction, now you couldn’t do it.
Je comprends pas bien, les tenants et les aboutissants...
est-ce le début du surf sans une IP à la patte... ?!? by ocpourvoir Sep 12