DEMOS, enfant terrible de l'innovation sociale Billet publié par Stéphane Vincent dans la catégorie Tag : Innovation Retour sur l’intervention très riche de Catherine Fieschi, directrice du think-tank britannique DEMOS le 23 mai à la Cantine. Invitée par la 27e Région et la Fing, Catherine Fieschi, en toute simplicité et avec enthousiasme, a partagé 15 ans d’expérience dans l’innovation sociale et le secteur public avec un public constitué de représentants de Régions, d’étudiants en design, d’acteurs de l’innovation sociale et de chercheurs. Sans contourner ces questions, pour autant la discussion ne s’est réduite ni à un procès du libéralisme à l’anglo-saxonne, ni à une critique en règle des excès de l’assistanat : au fil de la discussion, chacun s’est retrouvé autour de l’urgence d’une plus grande co-production du service public avec les usagers, sous peine d’assister à un divorce difficilement réversible. DEMOS UK (1) : Glasgow 2020, un exercice d’imaginaire collectif
Des didacticiels pour gérer sa présence numérique L’Internet SOCiety (ISOC), association de droit américain à vocation internationale engagée dans la promotion de « l'interconnexion ouverte des systèmes et de l'Internet », publie via sa plateforme en ligne un ensemble de 9 modules pédagogiques visant à faciliter la compréhension et la gestion des traces internautiques. Les différents thèmes abordés s'organisent autour de 3 axes principaux : l'économie (le rôle des cookies à l'origine des traces, les effets de la connectabilité, la publicité et le modèle économique des services dits gratuits, le traçage commercial, la monétisation), les risques (la protection de la vie privée, les traces générées via les appareils nomades, la gestion induite) et les contextes (les dynamiques à l'œuvre dans le monde des empreintes numériques, les questions relatives au consentement et aux accords transfrontaliers sur les transferts de données). Chaque module s'accompagne d'une version texte intégrale téléchargeable au format PDF.
Zotero Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Zotero est un logiciel de gestion de références gratuit, libre et open source qui s'inscrit dans la philosophie du Web 2.0[1]. Il permet de gérer des données bibliographiques et des documents de recherche (tels que des fichiers PDF, images, etc.). Ses principaux atouts techniques reposent sur l'intégration au navigateur web, la possibilité de synchronisation des données depuis plusieurs ordinateurs, la génération de citations (notes et bibliographies) dans un texte rédigé depuis les logiciels LibreOffice, Microsoft Word, NeoOffice, Zoho Books et OpenOffice.org Writer grâce à l’installation d'un plugin[2]. Le développement du logiciel est à l'initiative du Center For history and New Media (CHNM) de l'université George Mason. Histoire[modifier | modifier le code] Le projet Zotero digital research platform est initié en 2005 par Dan Cohen, maître de conférence au CHNM de l'Université américaine George Mason (GMU).
Vous avez dit outils coopératifs et collaboratifs ? Quelle est l’origine d’Outils Réseaux ? Il y a 10 ans que le projet Outils Réseaux a démarré. Il est né du besoin de certaines structures d’éducation à l’environnement d’améliorer leur travail en commun. A cette époque on cherchait « LA » solution miracle pour mieux communiquer entre nous. Ca a aussi coïncidé avec ma rencontre avec David Delon. C’était également les débuts de wikipédia et du web participatif 2.0 Nous avons réfléchit aux outils qui correspondraient le mieux aux publics avec lesquels nous travaillions à savoir des personnes âgées, des pédagogues et des enfants ; autrement dit des personnes pour lesquelles il s’agissait d’un premier contact avec l’outil informatique. Donc au départ, il y a quelques structures qui ont commencé à échanger autour de ces problèmes : les écologistes de Lozières, Téla Botanica, École et nature (réseaux de structures d’éducation à l’environnement), l’APIEU (éducation à l’environnement urbain). Au début, le projet a été hébergé par Téla Botanica.
Qu'est-ce qu'un environnement pertinent ? Toute entreprise ou organisation évolue dans un environnement et un même élément aura une signification différente pour chaque acteur économique particulier. J'avais déjà indiqué dans un autre billet ( ici ) comment la notion de milieu éclairait ce rapport particulier qu'entretient une entreprise vis-à-vis de son environnement. J'aimerais cette fois aller plus loin en caractérisant ce rapport à partir de la notion d' « environnement pertinent ». L'environnement pertinent serait ainsi l'ensemble des éléments qui font sens pour une entreprise – c'est-à-dire qui ont une influence sur elle et sur sa capacité à se développer et à rester pérenne dans la compétition économique. Signification et action sont intimement liées chez le vivant. Dans le numéro de Mars 2011 de la revue de l'ADBS , Hervé Daniel, directeur de Créativ, définit un modèle de veille où 7 éléments du marché apparaissent comme pertinents à surveiller : Les (poids, stratégie, marges, perspectives, etc.) Les Les (sphère sociale)
Roue de Deming La roue de Deming (de l'anglais Deming wheel) est une transposition graphique de la méthode de gestion de la qualité dite PDCA (plan-do-check-act). Si la paternité de cette méthode revient à Walter A. Shewhart, c'est le statisticien William Edwards Deming qui l'a fait connaître aux industriels japonais dans les années 1950 en la présentant sous l'appellation de cycle de Shewhart (the Shewhart cycle), lors d'une conférence[1] devant 45 membres du Nippon Keidanren, l'organisation patronale japonaise. Au cours des années 1980, Deming a modifié partiellement ce titre qui est devenu PDSA (plan-do-study-adjust)[2]. Technique de mémorisation[modifier | modifier le code] La roue de Deming est un moyen mnémotechnique qui permet de repérer avec simplicité les étapes à suivre pour améliorer la qualité dans une organisation[3]. À quoi sert le cycle PDCA ? « Le cycle PDCA sert à transformer une idée en action et l'action en connaissance. Démarche d'utilisation[modifier | modifier le code] Walter A.
Dans la salle de classe du futur, les résultats ne progressent pas Dans le cadre d’une série sur le « pari éducatif high-tech » (dans laquelle notamment plusieurs experts américains tentent d’apporter leur vision sur ce à quoi ressemblera l’école dans 10 ans), Matt Richtel, pour le New York Times s’est rendu dans le district scolaire pilote de Kyrene en Arizona : un secteur où tous les élèves utilisent des tableaux blancs interactifs et des ordinateurs à l’école. Depuis 2005, le district a investi 33 millions de dollars pour moderniser ses écoles. Ici, c’est la nature même de la classe, du rapport à l’enseignant qui a été transformé : l’enseignant circule entre les élèves qui apprennent à leurs rythmes sur leurs ordinateurs. Au profit de qui se fait la surenchère technologique à l’école ? Image : Le graphique de l’évolution des dépenses et des résultats du district de Kyrene dans l’Arizona réalisé par le New York Times. La poussée des dépenses technologiques intervient alors que les écoles doivent faire de durs choix financiers. Les métriques en question
Pédagogie et TBI Quand utiliser le TBI ? Pour bien comprendre l'apport du TBI, voici un parallèle avec les manuels scolaires. Dans de nombreux manuels, la page dédiée à une leçon se présente de la façon suivante : Une partie de découverte de la notion à aborder (Les situations sont souvent incompréhensibles pour les élèves n’ayant pas déjà des notions du sujet abordé…). Prenons en compte ces trois temps pour comprendre le principal apport d’un TBI : La première phase est à mon avis celle ou le TBI est le plus intéressant. La seconde phase, celle de mise en place de la trace écrite, règle ou autre peut se faire avec un simple vidéoprojecteur sans TBI (même si l’apport du TBI peut encore être intéressant à ce stade). La troisième phase, celle d’entrainement est à mon sens plus du ressort de l’utilisation individuelle ou en petit groupe de l’informatique. Bernard-Yves Cochain Les avantages les plus souvent avancés justifient-ils l'acquisition d'un TBI ? Rester devant son auditoire La mémoire du cours
Le collectif n’est pas toujours la solution à tous les maux de l’entreprise Résumé : un des présupposés derrière beaucoup de projets d’entreprise est que le collectif et meilleur que la somme des individus. Un fait qu’on a vérifié à maintes reprises, suffisamment pour l’ériger en vérité absolue. Mais est-ce aussi simple que cela. Dans un système qui peine à articuler l’individu et le groupe, dans lequel les individus voient de moins en moins en quoi ils contribuent à quelque chose de global ni ce qu’est ce quelque chose, trois risques sont évidents. Le première est de construire une organisation dans laquelle le collectif n’a simplement pas de sens. La seconde est d’en faire l’échappatoire des problématiques individuelles, une manière de se défausser sur les autres et le système de ses propres insuffisances. Il y a plus d’idée dans 10 têtes que dans une. Mais ces approches sont elles sans travers ? • on finit par essayer de résoudre par le collectif des problématiques de discipline, de rigueur, de responsabilité individuelle. Google+
Les 7 compétences clés du travail de demain - Le blog de la Formation professionnelle et continue Michel Serres nous rappelait récemment que l’évolution des technologies nous force à être intelligents. Les technologies révolutionnent en effet notre environnement de travail et nous poussent à développer de nouvelles compétences. De nombreuses prospectives alimentent le débat et mettent en lumière les compétences qui feront la différence sur le marché du travail de demain. Quelles sont les évolutions dans les compétences distinctives ? Un consensus se dégage autour de 7 compétences Etre compétent dans son travail requiert un savant mix de compétences techniques (les hardskills), comportementales (les softskills), et sectorielles (je maîtrise les enjeux et la culture du secteur d’activité dans lequel j’évolue). 1. Une grande qualité relationnelle : Ecoute, partage, empathie, communication interpersonnelle, être en capacité à se «connecter» aux autres et d’établir des relations riches et sincères. 2. À découvrir >> Formateurs, comment animer une classe virtuelle ? 3. 4. 5. 6. 7.
Hot Potatoes Home Page News - 2022-03-11 The downloads for Hot Potatoes version 6 have all been removed. This is because that version has an obsolete facility for uploading files to the old hotpotatoes.net service, which no longer exists, and we would like to encourage all users to move to version 7 as soon as possible.A minor update to Hot Potatoes (version 7.0.3.0) has been released. This removes references to the HTML non-breaking-space entity which is no longer defined in HTML5. What is Hot Potatoes? The Hot Potatoes suite includes six applications, enabling you to create interactive multiple-choice, short-answer, jumbled-sentence, crossword, matching/ordering and gap-fill exercises for the World Wide Web. Downloads Download Hot Potatoes for Windows from here: Hot Potatoes 7.0 installer (Hot Potatoes version 7.0.3.0 for Windows 98/ME/NT4/2000/XP/Vista/7/8/8.1/10 as well as Linux under Wine). When you first start up Hot Potatoes, it will ask you for your user name.
Les tableaux blancs interactifs: fonctionnalit?s et p?dagogie | La Vitrine Technologie-?ducation Par Mélissa Bricault, conseillère pédagogique en intégration des TIC, Commission scolaire de la Seigneurie-de-Mille-Îles, et animatrice Récit et Marc-Antoine Parent, secrétariat technologique du GTN-Québec Dossier de La Vitrine Technologie-Éducation Mise en situation Guillaume Pelletier, enseignant de mathématiques, de sciences et de technologie au secondaire, intègre le tableau blanc interactif (TBI) SmartBoard dans ses cours. Source: Guide Sankoré De plus, il lui offre la possibilité de manipuler directement les objets étudiés, parfois abstraits, de noter les observations du groupe, de compiler le tout dans un tableur accessible par les étudiants et dans lequel tous peuvent collaborer. Source: Guide Sankoré Guillaume exploite une panoplie de ressources en ligne et de logiciels dans ses cours: encyclopédies en ligne, logiciels Phet et Phun, des logiciels de simulation d’expériences de physique. Source: Source: Démonstration sur Youtube Études sur le terrain M.
Le “codév” décrypté : progresser en aidant les autres Autour de la table, cinq personnes prennent place pour leur séance mensuelle de codéveloppement (lire aussi l'encadré). Ce soir, c'est Martin le "client". Il va livrer à ses pairs, désignés comme "consultants" pour l'occasion, la problématique qu'il souhaite explorer. Jacqueline, coach, est "facilitatrice", garante du respect des règles et du déroulement de la séance. 1. La présentation du contexte. 2. 3. 4. 5. 6. Développer son écoute Anh Thai, manager chez HSBC, voit deux avantages à la méthode : "Quand je suis arrivée dans le groupe de "codév", j'étais fragilisée par la restructuration de mon entreprise. Sortir de l'isolement En inter ou en intra-entreprise, le codéveloppement réunit toujours des pairs, hors rapport hiérarchique, afin d'instaurer la confiance indispensable aux échanges. Empathie et bienveillance. Les limites des formations théoriques pour les managers. Les risques d'implantation d'une nouvelle méthode sans garde-fou existent
Open Badges : une initiative pour la reconnaissance des compétences tout au long de la vie Open Badges (Insignes ouverts) est une initiative de Mozilla financée par une fondation américaine. Son objectif est de permettre la création et la gestion d'un portefeuille de certifications et de reconnaissances en fonction de ce que l'on a apris tout au long de sa vie, dans un cadre formel d'enseignement aussi bien que dans ses loisirs, ses études autonomes ou son bénévolat. Comment cela fonctionne Avant son lancement en janvier 2012, Open Badges a nécessité la coordination et la définition de plusieurs éléments comme les niveaux de certification, les procédures de vérification ou la durée des certificats, éléments qui devront être soumis au tests des usagers avant de parvenir à leur forme stable. Des certificats multiples peuvent être agrégés en un "méta-badge" ou diplôme qui certifie des apprentissages ou des compétences plus complexes. Un certificat apparaît sous la forme d’un symbole, mais chacun est accompagné d’un ensemble de metadonnées qui inclut : Dans un monde social