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La Vie d'Adolf Hitler De son Apogée à sa Chute

La Vie d'Adolf Hitler De son Apogée à sa Chute

Arte - Vers un crash alimentaire bio végétarien Je m’appelle Zak, je suis fils de terroriste et j’ai décidé de suivre le chemin de la paix Aujourd’hui, on vous propose de découvrir une histoire qui diffère de toutes celles que vous avez pu entendre… Zak, un jeune homme américano-égyptien, a eu le courage de raconter son enfance régie par un père terroriste afin de prouver que rien ne prédestine une personne à la violence ou à la haine. Un récit saisissant, touchant et édifiant qui prône la paix ! Zak Ebrahim est un jeune homme né de l’union entre une mère américaine et un père égyptien. Il avait tout juste 7 ans lorque son père fut arrêté pour avoir perpétré les attentats contre le World Trade Center en 1993. Il raconte comment il s’est aperçu, par lui-même, que l’éducation donnée par son père n’était que haine et intolérance, basée sur des critères comme la religion ou la race. Le récit de Zak est simple et remarquablement poignant !

Les quatre sanguinaires Mao Un grand désordre sous le ciel Près de 70 millions de morts en temps de paix . C'est que le régime qu'il a institué est toujours en place, à travers le Parti. Mais les vingt-sept ans de règne de Mao furent une épouvante. Vint le triomphe du 1er octobre 1949, l'exultation, un monde à construire. Mis en minorité en 1959, Mao se venge en lançant en 1966 la Grande Révolution culturelle prolétarienne. Mao voulait créer "un grand désordre sous le ciel" afin d'engendrer "un grand ordre". Ces horreurs étaient, bien sûr, accompagnées d'un culte de la personnalité démentiel. Les essais ont beau se succéder, on s'interroge encore sur la vraie nature de cet homme qui faisait si peu de cas de la vie des autres hommes. Pourtant, on ne saurait réduire Mao à un politicien sans foi ni loi. Staline Paranoïas d'un tueur "L a plus éminente médiocrité du Parti",dixit son rival Trotski. La réalité est plus complexe, mais non moins terrifiante. "La mort résout tous les problèmes. Pol Pot Nullité.

REPLAY. “Les Délivrés” : les deux-roues de l’infortune - France 3 Pays de la Loire C’était une journée froide et grise, celle du 27 janvier 2019 à Bordeaux. A l’image, ils sont une centaine à défiler en silence, sac de livraison sur le dos, vélo tenu d’une main. Franck Page, un de leur copains de 19 ans ne roulera plus. Dix jours plus tôt lors d’une livraison pour Uber Eats, le jeune étudiant avait été renversé par un camion. Conséquence de l’extension des zones de livraison, Franck Page se trouvait dans une zone industrielle inadaptée à la circulation à vélo. "C’est pas possible de mourir dans l’indifférence pour avoir livré un burger" souffle en voix-off Damien, venu de Nantes. Si l’on peut mourir dans l’indifférence, c’est parce qu’on peut dans la même indifférence travailler dans des conditions d’un autre âge pour de faibles revenus, pourvu que les algorithmes soient performants, que les bénéfices s’accroissent et que le client mange chaud. Si Franck Page avait été salarié, sa mort aurait été un accident du travail, et son employeur aurait dû s’en expliquer.

L'ENA, vidéo L'ENA, vidéo - Archives vidéos Ordre de la Francisque Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pavillon particulier du maréchal Pétain orné de la francisque. Emblème officiel du maréchal Pétain en tant que Chef de l’État. L’ordre de la Francisque gallique est une décoration qui fut attribuée par le Régime de Vichy en tant que marque spéciale d’estime du maréchal Pétain. Elle devait être « le symbole du sacrifice et du courage et rappeler une France malheureuse renaissant de ses cendres ». Sa conception a été confiée par le docteur Bernard Ménétrel, conseiller du maréchal, à un ancien joaillier parisien, le capitaine de réserve Robert Ehret. La francisque gallique est créée, approuvée et régie par les dispositions des arrêtés du 26 mai 1941 de la loi du 16 octobre 1941 et les décrets des 14 mars 1942 et 31 juillet 1942. Bien qu'étant l'insigne de Pétain à titre personnel, la francisque est progressivement utilisée sur les documents officiels comme symbole de l’État français en tant que personne morale[2].

« Kindertotenlieder », chants pour Zyed et Bouna EnEn 2005, les vidéos des téléphones portables ne documentaient pas encore les violences policières et n’alimentaient pas les flux des réseaux sociaux. Les chaînes d’information en continu et leurs récits manichéens étaient encore balbutiants, et le journal de 20 heures la « grand-messe » de l’actualité télévisée. C’est à partir de ces images du JT du soir de TF1, le plus regardé de France, couvrant la période du 27 octobre au 17 novembre 2005, extraites des archives avec l’aimable autorisation de la chaîne, que Virgil Vernier effectue un retour sur les « émeutes de 2005 » survenues après la mort à Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) de Zyed Benna et Bouna Traoré, poursuivis par la police (retrouvez notre dossier Clichy-sous-Bois, mort sans justice). En expurgeant les images de leurs commentaires journalistiques originels, le cinéaste révèle un autre récit de cet événement traumatique. Déconstruire les discours préfabriqués Garant de « l’ordre républicain » ?

Web - Film & Video: Alfred Jarry - Ubu Roi (1965) Director: Jean-Christophe AvertyCast: Jean Bouise ... Père Ubu Rosy Varte ... Mère Ubu Hubert Deschamps ... Capitaine Bordure Henri Virlojeux ... Le roi Venceslas Micha Bayard ... The plays of Alfred Jarry are considered by many to be the first dramatic works of the theatre of the absurd. Ubu Roi first saw life as schoolboy farce, a parody of Felix Hebert, one of Jarry’s teachers. The opening night of December 11,1896, caused quite a stir according to Roger Shattuck in his work The Banquet Years. The stage manager startled the audience into silence by turning up the house lights and catching several screaming patrons standing on their seats and shaking their upraised fists. In his book Jarry: Ubu Roi, Keith Beaumont detailed three accusations that were made against Ubu Roi by spectators and critics in the aftermath of the outrageous performance. Alfred Jarry in UbuWeb Sound

Lettre de Pétain à Adolf Hitler… Cc à Éric Zemmour et Associés. DesLettres.fr nous donne à lire la lettre de Pétain à Adolf Hitler. Par les temps qui courent et pour remettre les choses à leur place, cette piqûre de rappel s’impose. [Prolégomènes]: « Un mois après la déroute de l’armée française face aux troupes allemandes et la signature de l’armistice, le maréchal Pétain reçoit les pleins pouvoirs et devient, le 10 juillet 1940, le chef du gouvernement de Vichy. Contrairement à la France Libre, mouvement de résistance lancé par le Général de Gaulle avec son célèbre appel du 18 juin, Pétain décide de collaborer avec l’Allemagne nazie et rencontre alors Hitler: c’est l’entrevue de Montoire. Un an plus tard, le maréchal adresse cette lettre au Führer, commémorant cette scène honteuse de l’histoire de France, assumant cette terrible « collaboration ». 10 juillet 1941 Monsieur le Chancelier (Adolf Hitler), L’anniversaire de l’entrevue de Montoire est une date dont je tiens, en dehors du protocole, à marquer le sens et la portée. Maréchal Pétain. (Source)

« Les causes de la Première Guerre mondiale ? Le partage du monde et la peur du mouvement social » Han Soete et Nick Dobbelaere s’entretiennent avec Jacques R. Pauwels Les causes de la Première Guerre mondiale étaient-elles l’attentat de l’archiduc d’Autriche ? Ou de nobles motivations de paix, de démocratie et de liberté ? « En général, on explique la Grande Guerre comme ceci : un coup de tonnerre dans un ciel bleu. Voilà des années que Jacques Pauwels est plongé jusqu’au cou dans l’histoire des révolutions et des guerres. « Les grandes puissances industrielles, les grandes banques et les grandes entreprises voulaient de nouvelles colonies – ou des semi-colonies sur lesquelles elles auraient exercé un contrôle indirect – pour leurs matières premières, leur main-d’œuvre bon marché et leurs possibilités d’investissement. Replongeons-nous au début du 20e siècle. Jacques R. De plus, tous les pays n’étaient pas satisfaits de leur part. Il est donc normal que la Belgique ait été impliquée dans cette guerre, puisque la Belgique était également un pays impérialiste. Jacques R. Jacques R.

Quand les Américains voulaient gouverner la France, par Annie Lacroix-Riz C’est une page peu connue de l’histoire de la seconde guerre mondiale : dès 1941-1942, Washington avait prévu d’imposer à la France - comme aux futurs vaincus, Italie, Allemagne et Japon - un statut de protectorat, régi par un Allied Military Government of Occupied Territories (Amgot). Ce gouvernement militaire américain des territoires occupés aurait aboli toute souveraineté, y compris le droit de battre monnaie, sur le modèle fourni par les accords Darlan-Clark de novembre 1942. A en croire certains historiens américains, ce projet tenait à la haine qu’éprouvait Franklin D. Roosevelt pour Charles de Gaulle, « apprenti dictateur » qu’il eût voulu épargner à la France de l’après-Pétain. Cette thèse d’un président américain soucieux d’établir la démocratie universelle est séduisante, mais erronée (1). Un « Vichy sans Vichy » L’affaire échouant, ils se tournèrent, juste avant leur débarquement du 8 novembre 1942, vers le général Henri Giraud. Une « belle et bonne alliance »

Comment Londres et Wall Street ont mis Hitler au pouvoir par William F. Wertz, Jr. La guerre économique et financière menée aujourd’hui par l’oligarchie peut se réclamer essentiellement de trois antécédents historiques : 1) l’empire vénitien au cours de la période précédant la guerre de Cent ans et l’âge des ténèbres du XIVème siècle ; 2) l’empire établi, sur le modèle vénitien, par la Compagnie des Indes orientales suite au traité de Paris qui mit fin à la guerre de Sept ans en 1763 ; et 3) les cartels anglo-américano-allemands mis en place dans les années 20. Il s’agit ici de montrer que le système financier oligarchique d’après-guerre, décrit en partie par John Perkins dans son livre Confessions d’un tueur à gages économique [1], représente la continuation des accords de cartellisation des années 20, qui menèrent à la Deuxième Guerre mondiale. En réalité, c’est une oligarchie financière internationale basée à Londres et à Wall Street qui permit la montée au pouvoir d’Hitler. Le président américain Dwight D. La formation des cartels

Affaire Lavon Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'affaire Lavon est le nom d'un important scandale politique israélien des années 1950. L'« opération Susannah » visait à brouiller les relations entre le gouvernement égyptien et les gouvernements occidentaux en particulier américain et britannique, et plus spécifiquement à empêcher l'application de l'accord anglo-égyptien sur le retrait des troupes britanniques de la zone du canal de Suez, retrait qui supprimait une barrière à une éventuelle attaque militaire égyptienne contre Israël. L'opération Susannah[modifier | modifier le code] Meir Max Bineth Pour ce faire, le colonel Binyamin Gibli, le chef du Aman, organisa des attentats à la bombe contre des intérêts égyptiens et occidentaux, attentats qui devaient être attribués à des nationalistes égyptiens, afin de « miner la confiance occidentale dans le régime égyptien en générant de l'insécurité publique[1] ». Accélération de l'émigration juive[modifier | modifier le code]

Pacte du Quincy Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Histoire[modifier | modifier le code] Il s’articule sur cinq points : La stabilité de l’Arabie saoudite fait partie des « intérêts vitaux » des États-Unis qui assurent, en contrepartie, la protection inconditionnelle de la famille Saoud et accessoirement celle du Royaume contre toute menace extérieure éventuelle.Par extension la stabilité de la péninsule Arabique et le leadership régional de l’Arabie saoudite font aussi partie des « intérêts vitaux » des États-Unis.En contrepartie, le Royaume garantit l’essentiel de l’approvisionnement énergétique américain, la dynastie saoudienne n’aliénant aucune parcelle de son territoire, les compagnies concessionnaires ne seraient que locataires des terrains.Les autres points portent sur le partenariat économique, commercial et financier saoudo-américain ainsi que sur la non-ingérence américaine dans les questions de politique intérieure saoudienne. Postérité[modifier | modifier le code]

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