Marc Vella, l'éloge de la fausse note Eloge de la fausse note et la caravane amoureuse Marc Vella est un porteur de joie et d’éveil. Pianiste, compositeur, écrivain, poète, il commence le piano à l’âge de 5 ans et obtient à 25 ans le prix de composition à Paris et en 1999 le 1er prix de composition à Rome au TIM. Il quitte l’univers confiné des conservatoires en mettant son piano sur une remorque et s’engage dans un périple à travers plus de 40 pays et parcourant plus de 200 000 kilomètres. Paiement sécurisé L'œuvre ultime de Haendel par l'opéra National du Rhin. Jesers et sa bande sont en Palestine pour 5 dates et auront à cœur de conquérir le public palestinien ! Le spectacle d'été 2012 de la Choucrouterie.
La soumission au religieux est un désastre La philosophe française, Élisabeth Badinter dénonce la peur de la gauche devant l’oppression du religieux. Elle appelle aujourd’hui à Bruxelles à se battre pour la laïcité. « Ceux qui me traitent de lepéniste sont de mauvaise foi. Il est évident qu’en citant Marine Le Pen, je voulais souligner sa perversité. Par ailleurs, je ne suis pas l’avocate d’une laïcité dure, ni fermée, ni ouverte, ni même positive. Je milite pour le respect de « la » laïcité. L’obscurantisme est-il de retour, selon vous qui avez consacré votre vie à l’étude des « Lumières » ? Vous appuyez là où ça fait mal. Ce que nous avons peut-être eu la faiblesse de considérer comme acquis, est remis en cause tous les jours. Pourquoi ce retour en arrière ? Elles sont de fait la cause essentielle, – quand on a peur, on est en état de régression. C’est-à-dire ? Avec le multiculturalisme, on a grignoté peu à peu la raison universelle, qui veut qu’on pense d’abord à ce qui nous unit, avant ce qui nous distingue. J’ai vu les images.
Mercredi 7 février - UNIL cours public Françoise Schenk a mené des études de biologie puis s'est spécialisée en neurophysiologie du comportement. Elle est professeur associée dans les Facultés de médecine et de sciences sociales et politiques depuis 1991, elle enseigne la psychophysiologie, la physiologie des activités physiques et la neuroéthologie. Elle a été professeur invitée dans différentes universités françaises. Ses travaux de recherche portent sur les bases biologiques du comportement et des activités cognitives chez l'Animal et l'Homme. Les mécanismes d'orientation et la mémoire spatiale sont pris comme un modèle de la mémoire épisodique humaine.
Être altruiste, c’est bon pour la santé des gènes Détails Catégorie : Santé Publié le samedi 3 août 2013 19:14 Affichages : 843 En analysant l’effet des émotions sur l’expression des gènes, des chercheurs américains ont fait une découverte étonnante : la démarche suivie pour atteindre le bonheur influence notre génome. Comment peut-on être heureux ? Deux voies principales permettraient de développer le bien-être. Le bonheur est une émotion qui va pourtant bien plus loin que le simple aspect psychologique. Le bonheur est bénéfique pour l'organisme… à condition d’être généreux Des travaux précédents ont montré que les sentiments négatifs comme la peur ou le désarroi modifiaient l’expression des gènes dans les cellules immunitaires. Dans cette nouvelle étude, les scientifiques ont pris un angle différent et ont analysé l’effet d’émotions positives sur le profil CTRA. Source (article modifié) : Futura Sciences
Pierre Rabhi : "L'écologie interroge notre regard sur la vie" En ce début 2013, il est encore temps de tirer un bilan de l’année précédente. Que retenez-vous des élections présidentielles françaises, américaines, russes ; des conférences de Rio, de Doha ou d’Hyderabad ? Pierre Rabhi - Nous sommes aujourd’hui dans un contexte général d’interrogations sur l’avenir, et l’écologie entre en ligne de compte comme un paramètre qu’il faut appréhender. Vous reconnaissez-vous dans la mobilisation populaire qui s’est formée à Notre Dame des Landes ? Je ne peux que m’y reconnaître. Qu’est-ce qui vous dérange particulièrement dans le projet de Notre-Dame-des-Landes ? Je sens derrière tout ça une manifestation de la vanité humaine, je sens un prétexte à créer de l’emploi et du profit. L’argument de l’emploi n’est-il pas valable ? C’est un argument que tout le monde sort. Le chômage est pourtant un problème fondamental de notre société actuelle, comment crée-t-on de l’emploi sans créer de richesses, lorsqu’on porte comme vous un projet de décroissance ?
Agriculteurs et jardiniers seront-ils bientôt obligés de cultiver dans la clandestinité ? Les paysans qui ressèment leur récolte seront-ils considérés comme des trafiquants ? Oui, ont répondu les sénateurs en adoptant le 20 novembre à l’unanimité un projet de loi élargissant aux plantes le délit de contrefaçon. S’émanciper des droits de propriété détenus par les grandes firmes semencières sera désormais un délit. La loi prévoit aussi de nouveaux moyens de répression contre paysans et jardiniers clandestins. Semer sa propre récolte. L’État au service des entreprises privées Cette loi vient renforcer un arsenal juridique qui protège les entreprises commercialisant des semences. « La nouveauté, c’est que ce projet de loi demande à l’administration d’aider l’entreprise à lutter contre les contrefaçons et de transmettre toutes les informations dont elle dispose », poursuit Guy Kastler. Des douaniers infiltrés en zone rurale ? Pire, l’agriculteur ne devra pas seulement disposer de factures pour ses semences, mais aussi pour ses animaux reproducteurs et ses préparations naturelles.
Vidéo] Éducation, un grand corps malade Excellent reportage sur les problèmes de l’Éducation nationale… Je ne sais pas vous, mais je suis toujours étonné par le fait, nos grands-parents / arrières-grands-parents, qui avaient souvent arrêté très très tôt leurs études, maitrisaient parfaitement le français et les bases mathématiques, même à 80 ans. Et qu’aujourd’hui, ces bases ont fondu – même les élèves des plus grandes écoles arrivant difficilement à écrire une lettre sans faute d’orthographe. Il est donc très étonnant de constater un tel déclin : français maitrisé en 1930, français bafoué en 2013. Il y a de nombreuses raisons à ceci – je laisse le soin aux spécialistes d’en débattre, mais enfin, il y a une chose aussi à constater (et qui m’a demandé pas mal d’efforts pour trouver ces données) : Il y avait donc plus d’heures de cours en 2 années de primaire en 1895 que durant 3 années aujourd’hui – années comprenant en plus de l’anglais et de l’informatique…