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Monsanto, PepsiCo, Coca-Cola et d’autres dépensent 45 millions de $ contre l’étiquetage des OGM

Monsanto, PepsiCo, Coca-Cola et d’autres dépensent 45 millions de $ contre l’étiquetage des OGM
Mardi 6 novembre, plus de 18 millions de Californiens inscrits sur les listes électorales (un chiffre record pour l’Etat) éliront un président, des membres du Congrès et des représentants locaux, mais doivent aussi approuver ou non onze initiatives populaires ou propositions, qui seront inscrites en amendement à la Constitution si elles obtiennent une majorité des voix. Le plus disputé de ces projets de loi est la proposition 37, qui imposerait un étiquetage obligatoire à tous les produits comestibles contenant des ingrédients modifiés génétiquement (genetically engineered, dans le texte), et interdirait leur commercialisation sous l’appellation de produits "naturels ". Environ 90 % du maïs et du soja américains, très présents sous formes diverses dans la grande distribution, comportent des gènes altérés – souvent pour leur permettre de tolérer l’herbicide Roundup de Monsanto. Sources : Le Monde / LATimes / SDTribune / SFChronicle / Le Journal du Siècle Like this: J'aime chargement…

Santé : Monsanto en Argentine, un bilan accablant:: Novopress.info – arme de réinformation massive Novopress a traduit en français une enquête décapante de Micheal Warren et Natacha Pisarenko (Associated Press) datant du 20 octobre dernier et portant sur les effets secondaires dévastateurs des produits agro-chimiques de la firme Monsanto, multinationale spécialisée dans les pesticides et semences génétiquement modifiées. Source originale et nombreuses photos : www.concordmonitor.comPhoto ci-dessus : le 31 mars 2013, Camila Veron, 2 ans, née avec de multiples malformations et très malade, se tient devant la maison de sa famille à Avia Terai, dans la province de Chaco, en Argentine. (AP Photo/Natacha Pisarenko) L’ouvrier agricole Fabian Tomasi n’avait pas l’habitude d’utiliser des vêtements de protection lorsqu’il manipulait des pesticides sous forme pulvérulente. Dans la province de Santa Fe, cœur de l’industrie du soja, le nombre moyen de cancers est deux fois supérieur à la moyenne nationale.

La Californie dit NON à l'étiquetage des produits contenant des OGM En marge de l’élection présidentielle qui a vu la victoire de Barack Obama, les américains se sont vu proposer pas moins de 172 référendums. Les Californiens pouvaient se prononcer sur la « Proposition 37 » qui visait à imposer un étiquetage spécial pour les produits alimentaires contenant des OGM. Le non l’a emporté, probablement grâce au 40 millions de dollars dépensés par Monsanto, Bayer, Dow, Coca et autres Kellogg’s pour contrer le texte. La Proposition 37 trouve son origine dans un large mouvement citoyen né en Californie qui affirmait tout simplement que « Nous avons le droit de savoir ce que nous mangeons » et qui, sur cette base, souhaitait un étiquetage permettant de reconnaître les produits contenant des OGM. Ce qui n’est pas un mince enjeu quand on sait que toutes catégories d’aliment confondues, 80% de la nourriture américaine non bio contient des OGM. Plus précisément, cette proposition dit : Il est interdit de qualifier ou de promouvoir comme « naturel » ce type d’aliment.

Un soja OGM « sain » : la nouvelle idée de Monsanto et DuPont Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Audrey Garric Les OGM peuvent-ils être bons pour la santé ? Le débat est relancé alors que le groupe américain d'agrochimie Pioneer, filiale du géant DuPont, est en train de lancer, sur le marché américain et peut-être bientôt en Europe, une graine de soja génétiquement modifiée et « saine », de marque Plenish. Son rival, Monsanto, développe de son côté un produit similaire, Vistive Gold. « On travaille depuis dix ans sur le Plenish. Il s'agit de la première huile de soja qui présente des bénéfices sanitaires pour le consommateur : elle est en effet riche en acides oléiques, ce qui en fait un produit qui vaut presque l'huile d'olive, assure Michael Keller, porte-parole de DuPont Pioneer. L'annonce tombe à pic alors que l'Agence des produits alimentaires et pharmaceutiques (FDA) américaine veut bannir les acides gras trans de l'alimentation des Américains. Or l'huile de soja contient des acides gras trans. « Ce soja pourrait se voir autorisé en Europe.

Monsanto dépense des millions de dollars pour empêcher l’étiquetage des OGM C’est à coup de dizaines de millions de dollars que les compagnies agrochimiques, Monsanto en tête, tentent de faire barrage à une proposition de loi visant à imposer l’étiquetage obligatoire des produits contenant des OGM en Californie. Malgré des moyens financiers six fois moins élevés, les organisations citoyennes qui défendent cet étiquetage continuent de mobiliser au nom du « droit de savoir ». Le 6 novembre, les électeurs américains n’éliront pas seulement leur président mais devront également se prononcer sur une série de référendums. En Californie, l’un des plus disputés et commentés est le référendum sur la Proposition 37 [1], qui vise à imposer un étiquetage obligatoire des produits destinés à l’alimentation humaine contenant des OGM. Si la Proposition 37 est adoptée, la Californie – qui produit près de la moitié des fruits et légumes aux États-Unis – deviendrait le premier État à exiger l’étiquetage des aliments génétiquement modifiés. 44 millions de dollars pour le « non »

USA: la Cour suprême se range une nouvelle fois du côté de Monsanto La Cour Suprême américaine à Washington le 6 novembre 2013© AFP/Archives Saul Loeb Washington (AFP) – La Cour suprême des États Unis a à nouveau donné raison à Monsanto en refusant de se saisir de la plainte d’un groupement de producteurs et d’agriculteurs bio, mercredi. Ce groupement voulait empêcher les poursuites du géant de l’agronomie en cas de contamination par erreur de leurs champs par des cultures transgéniques. La haute Cour, qui s’était déjà rangée du côté de Monsanto en mai 2013, a rejeté, sans commentaire, la requête de dizaines de fermiers pratiquant la culture bio et conventionnelle ainsi que des producteurs de semences organiques, qui réclamaient que le groupe américain s’engage à ne pas poursuivre les propriétaires des cultures de soja, coton, maïs, qui auraient été génétiquement modifiées par les vents ou des pluies. Le puissant Monsanto arguait que donner raison à ces fermiers permettrait à n’importe qui de violer intentionnellement la réglementation de ses brevets.

California’s Prop 37 Fight to Label GMOs Could Galvanize Growing U.S. Food Movement AMY GOODMAN: We’re broadcasting from Stanford University in Palo Alto, California, as we continue our discussion now about California’s Proposition 37, which would require the Department of Public Health here in California to label genetically engineered food. If Californians vote yes on Prop 37 on November 6, California will become the first in the country to require such a labeling system, possibly creating ripple effects across the nation. We are going right now to Michael Pollan. We thank you very much for joining us, Michael. Michael Pollan, welcome to Democracy Now! Click here to support this global independent news hour today. MICHAEL POLLAN: Thank you, Amy. AMY GOODMAN: As you hear this debate that we just had on—on Prop 37— MICHAEL POLLAN: Not every minute of it. AMY GOODMAN: —your thoughts? MICHAEL POLLAN: Not every minute of it. You know, we have—genetic modification was a major innovation in our food supply that we have not had a chance to debate in this country. SEN.

Le droit de planter et cultiver librement bientôt interdit ? Les industries et multinationales semencières veulent rendre les paysans captifs… grâce à la loi. Les députés doivent examiner le 28 novembre un texte instaurant une « contribution volontaire obligatoire » : une véritable dîme sur les semences. Ressemer librement sa propre récolte ou échanger des variétés de plantes deviendra illégal. Photo : source Demain, graines et semences ne seront peut-être plus libres. Qui sont ces propriétaires de semences à qui la « contribution volontaire » sera reversée ? Rendre les paysans captifs « Le fait que l’obtenteur soit rétribué pour son travail de recherche ne nous pose pas de problème, explique Jean-Pierre Lebrun, un maraîcher biologique à la retraite. Yves Manguy, agriculteur à la retraite, connaît bien les semences de ferme, ces graines récoltées à partir de variétés sélectionnées par l’industrie semencière, mais multipliées par l’agriculteur lui-même par souci d’économie et d’indépendance. Pourquoi cette redevance ? Sophie Chapelle

Why I Disagree With Kevin Drum on California's GMO Labeling Proposition A rally in favor of Proposition 37 at Los Angeles City Hall in October. CheeseSlave/Flickr In his recent "Guide to California's Ballot Mayhem," my colleague the prominent political blogger Kevin Drum came out against Prop. 37, which would require that all foods containing genetically modified (GM) ingredients be labeled. In general, Drum says, he opposes the propositions that appear on his home state's ballots unless he sees a clear case for them. For him, Prop. 37 fails that test. "'l confess to mixed feelings about this," he writes. It's technical issues push that Kevin to the "no" side. I've written a lot about the hazards, potential and realized, that GM crops bring to bear: the complete domination of them by a handful of large companies, the accelerating pesticide treadmill on which they've placed farmers, and the still-little-tested potential health risks. For now, I'd like to set those aside and respond to Kevin's technical concerns. That's where California voters come into play.

Monsanto Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Monsanto Company Dans les années 1940, Monsanto était un producteur majeur de plastique comme le polystyrène et des fibres synthétiques. Monsanto est notamment la première entreprise à avoir produit des LED visibles en masse[4]. Au début des années 1980, le potentiel des biotechnologies végétales provoque une forte réorganisation du marché des produits phytosanitaires et des semences, autrefois séparés. Historique[modifier | modifier le code] John Francis Queeny fonde, à la fin de l’année 1901, la société Monsanto, ainsi nommée en hommage à son épouse : Olga Mendez Monsanto. Initialement producteur de saccharine, vendue pour l’essentiel à une petite société en développement nommée Coca-Cola, Monsanto se diversifie dès 1904 avec la fabrication de caféine et de vanilline. En 1945, Monsanto débute la production d’herbicides et d’insecticides. En 1950, Monsanto et American Viscose créent en coentreprise Chemstrand. L'entreprise Monsanto produit :

Le Roundup de Monsanto, tueur du papillon monarque Le cycle de vie de l'insecte est parfaitement accordée à la croissance saisonnière du laiteron —la seule plante que ses chenilles peuvent consommer. Dans ce vaste jeu de marelle, les générations successives de monarques suivent l'émergence printanière du laiteron, depuis le Mexique jusqu'au Canada. Naguère, cette plante vivace s'épanouissait dans les prairies, aux bords des routes, dans les champs de maïs et sur les terrains vagues de la plupart des régions du continent américain. publicité Puis le Roundup fit son apparition. D’année en année le nombre des monarques qui arrivaient Mexique chute; il vient d'atteindre son plus bas niveau. La population des monarques s'est effondrée au fur et à mesure que le secteur de l'agriculture prenait son envol. Au même moment, les progrès de la technologie ont permis aux agriculteurs d'améliorer un peu plus leurs rendements sur chaque hectare de terrain. Recul de 80% du laiteron dans les zones Roundup Ready L'herbicide n'est pas le seul responsable

Son label bio perdu, un agriculteur porte plainte «La pire des décisions» Un nouvel OGM, le maïs TC1507 du groupe américain DuPont-Pioneer, va être autorisé à la culture dans l'Union européenne, malgré l'opposition de 19 pays. Ceux-ci ne totalisaient que 210 voix, alors que la majorité pour bloquer l'autorisation était de 260 voix. Les abstentions allemande, belge et portugaise ont pesé lourd. «C'est la pire des décisions au pire des moments», a regretté la ministre hongroise des Affaires européennes. Mais le paysan n'a pas pu se retourner contre Monsanto, qui détient le brevet du colza incriminé. Jim Whelan, chercheur à l'Université de La Trobe à Melbourne, estime que ce procès reflète le débat autour des OGM. (mag/afp)

Les leçons à tirer de la défaite de Monsanto à Córdoba, en Argentine Il n’est possible de vaincre les multinationales que si un puissant mouvement social, soutenu par une partie significative de la population, se met en place. Un tribunal provincial de Córdoba a rendu son verdict : Monsanto doit arrêter la construction d’une usine de traitement de semences de maïs transgénique située à Malvinas Argentinas, dans la proche banlieue de Córdoba. Ce jugement fait suite à un recours d’amparo présenté par les habitants de la zone, qui campaient aux portes du chantier depuis trois mois. La mobilisation a débuté sous l’impulsion d’habitants isolés et de plusieurs petits groupes comme les « Mères d’Ituzaingó » et l’Assemblée des Habitants de Malvinas en Lutte pour la Vie, et a réussi à survivre malgré les menaces proférées par le gouvernement provincial et le syndicat de la construction. Ce sont toujours de petits groupes qui initient le combat, sans se soucier du « rapport de forces », mais plutôt de la justice de leurs actions. Raúl Zibechi

Retour sur un procès perdu — Kokopelli L’État français — ou plus précisément le Ministère de l’Agriculture – ainsi que ses acolytes, le GNIS (Groupement National Interprofessionnel des Semences et Plants – un organisme hybride public-privé) et la FNPSP (Fédération Nationale des Professionnels de Semences Potagères et Florales), ont poursuivi l’Association KOKOPELLI devant la Justice et ils ont gagné leur procès. Cela n’est plus aujourd’hui un secret pour personne. Ce qu’il l’est en revanche davantage, ce sont les raisons pour lesquelles KOKOPELLI n’a pas eu gain de cause. Les différentes étapes de cette longue épopée judiciairesommaire Tout d’abord, l’association tentait ainsi de dénoncer les erreurs commises par la Répression des Fraudes lorsqu’elle visait dans son procès-verbal, à tort, des variétés dont le nom figurait effectivement au Catalogue Officiel. Cette corporation se trouvait donc renvoyée dans ses buts. La nouvelle directive sur les "variétés de conservation" (Directive 2009/145/CE de la Commission)sommaire

Vous Souhaitez Éviter les Produits Monsanto ? Voici La Liste des Marques à Connaître. Impliqué dans des scandales sanitaires à répétition, Monsanto est plus que jamais montré du doigt. Si vous souhaitez boycotter Monsanto, voici la liste des sociétés qui utilisent leurs produits si controversés. En boycottant ces marques, vous choisissez d'éviter de donner de l'argent à Monsanto pour protéger la santé de votre famille, de vos enfants et des générations futures. La Liste des Marques à Éviter Nous avons obtenu la liste des sociétés utilisant les produits Monsanto sur le blog américain Collective Evolution. Comme ces sociétés sont peu connues en France, nous avons répertorié pour vous les marques qu'elles possèdent et qui sont vendues sur le marché français et européen. Cliquez ici pour accéder à la version imprimable. Comme vous pouvez le voir dans cette liste, un grand nombre de marques de notre quotidien et celui de nos enfants appartiennent à des sociétés utilisant les produits Monsanto. Liste des Sociétés Utilisant des Produits Monsanto • Heinz et son fameux Ketchup.

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