sans titre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cnossos ou Knossos (en grec ancien Κνωσός / Knôsós) était probablement la capitale de la Crète lors de la période minoenne. La cité abriterait le palais du roi Minos, le plus important des palais minoens et sans doute le plus connu des sites crétois depuis sa découverte en 1878. Cnossos est aujourd'hui le plus grand site archéologique minoen connu. Le site reçoit un demi million de visiteurs par an[1]. Découverte[modifier | modifier le code] Les ruines de Cnossos ont été découvertes en 1878 par un antiquaire crétois, Minos Kalokairinos. Le 16 mars 1900, un archéologue britannique, Arthur Evans, achète l'ensemble du site et entame des fouilles de grande envergure. Historique[modifier | modifier le code] Bassin lustral nord La chronologie précise de l'histoire minoenne demeure un peu incertaine ; toutefois, de grandes tendances se distinguent. Salle du trône du Palais Le site de Cnossos est peuplé depuis le VIIIe millénaire av.
Nan Madol Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Histoire[modifier | modifier le code] Quoi qu'il en soit, les recherches archéologiques montrent que Nan Madol fut le lieu d'une activité humaine dès le premier ou le IIe siècle de notre ère. Au VIIIe siècle ou IXe siècle, la construction des îlots commence, mais l'architecture mégalitique n'a probablement pas commencé avant le XIIe siècle ou le début du XIIIe siècle. De la tradition orale, peu de choses peuvent être vérifiées sur la construction des mégalithes. Les architectes, eux, pensent que les orgues basaltiques ont été transportées par voie de terre roulées sur des troncs de cocotiers et par voie d'eau sur des flotteurs en profitant des marées hautes dans les canaux de la mangrove[4]. Organisation de la cité[modifier | modifier le code] Carte du centre de Nan Madol Selon les données archéologiques, Nan Madol a été un lieu de résidence pour la noblesse et d'activités funéraires présidées par des prêtres. Sur les autres projets Wikimedia :
Mycènes Mythe[modifier | modifier le code] Mycènes est le royaume du héros homérique Agamemnon, chef des Achéens lors de la guerre de Troie[6]. Homère la décrit comme chère à Héra[7] et « riche en or »[8]. La richesse de la ville est en effet proverbiale dès l'Antiquité[9]. Histoire[modifier | modifier le code] Vue d'ensemble de la cité Mycènes donne son nom à la civilisation mycénienne[10], qui se développe à partir de 1550 av. L'habitat de l'époque n'ayant pas été préservé, l'origine d'une telle affluence de richesses ne peut faire l'objet que de conjectures. Le matériel et l'iconographie des tombes montrent que Mycènes est alors dominée par une aristocratie guerrière, dont les représentants affichent une taille et une force physique supérieures à la moyenne, sans doute grâce à une meilleure alimentation[13]. La cité est gouvernée par un monarque appelé « wa-na-ka » dans la langue mycénienne des tablettes en linéaire B, correspondant au mot (ϝ)άναξ / (w)ánax (« roi ») de la langue homérique.
Angkor Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ces ruines sont situées dans les forêts au nord du Tonlé Sap, en bordure de la ville de Siem Reap. Classées depuis 1992 au patrimoine mondial par l'UNESCO, elles attirent plus d'un million de visiteurs par an, constituant ainsi la principale attraction du tourisme au Cambodge. Historique[modifier | modifier le code] Angkor préhistorique[modifier | modifier le code] Si l'histoire retient le IXe siècle pour la fondation d'Angkor, les ruines de ce site cambodgien ne seraient que la partie monumentale connue d'une présence remontant à l'âge du bronze et révélée la nécropole de Koh Ta Méas, datée d'au moins 1800 avant notre ère. Pas moins de vingt-sept sépultures ont été dégagées, avec leurs nombreuses offrandes. Ces fouilles ont été l'objet d'une exposition au Musée national de Phnom Penh jusqu'en février 2010. Hariharālaya (Rolûos)[modifier | modifier le code] L'empire khmer est fondé au début du IXe siècle par Jayavarman II.
sans titre Vendredi 19 mai 5 19 /05 /Mai 17:12 La ville de Pétra fut édifiée par les Nabatéens à la fin du VIIème avant JC. Ce peuple nomade trouva dans cette région de l’actuelle Jordanie les conditions nécessaires à leur installation et leur sécurité. L'histoire de la région de Pétra est fortement imprégnée des récits blibliques. Le Siq, étroite et sinueuse gorge creusé par un torrent, le Wadi Mousa, est le seul accès à la cité de Pétra. Aqueduc longeant la paroi du Siq. Al-Khazneh farum est le premier monument que l'on aperçoit en sortant du Siq. L'intérieur du Khazneh est beaucoup moins impressionnant que sa façade et bien éloignée du délire hollywoodien! Le Khazneh est aussi impressionnant du haut de la falaise. L'érosion éolienne a sculptée au fil du temps la roche de Pétra. Théâtre romain entièrement taillé dans la roche. La tombe palais Intérieur d'une tombe Rue romaine et La Porte de Temenos Vestige d'un pigeonnier monolithique. Détail d'une mosaïque de la basilique romaine.
sans titre Pétra, le site le plus magique du Proche-Orient (élu parmi les nouvelles merveilles du monde par des millions d’internautes) est une double merveille, naturelle et architecturale. Naturelle d’abord, avec ses défilés, comme le Siq, et ses falaises de grés aux dessins colorés. Pétra tire son nom du grec « pierre » ou « roche », mais son premier nom était « Reqmu » qui signifie multicolore. Ces deux noms correspondent bien à la particularité de Petra où les grés des roches déchiquetées, façonnés par le vent et le sable, donnent au site son extraordinaire palette de couleurs qui s’étend du jaune au violet en passant par l’orange, le rouge, le vert et le bleu. Architecturale ensuite, avec ses vestiges romains, mais surtout avec ses imposants tombeaux, creusés puis sculptés dans la roche des montagnes par les nabatéens. Ce lieu magique a inspiré la littérature, dont Hergé dans une des aventures de Tintin (Coke en Stock), et le cinéma (Spielberg et La dernière Croisade).
Explosions nucléaires il y a des milliers d'années Mohenjo-Daro explosions nucléaires il y a des milliers d'années villes antiquse décimées par bombe nucléaire Explosions nucléaires, il y a des milliers d'années ! Nous avons été éduqués à concevoir une Histoire de l'humanité une et évolutive; dans cette conception, on pense que notre civilisation est l'aboutissement de progrès depuis des temps archaïques où l'Homme utilisait encore des outils rudimentaires de pierre. On nous parle de certaines grandes civilisations anciennes, comme l'Egypte des pharaon, dont il convient de rappeler que la population était celle des coptes, aujourd'hui chrétiens persécutés, et non pas la population d'arabes musulmans arriérés qu'on y trouve de nos jours. On nous dit que la plus ancienne écriture est celle de Sumer, mais ça dérange énormément lorsqu'on découvre des écritures bien plus anciennes, dont Glozel en France, ou encore celle de la civilisation dite de Fontainebleau, toujours en France, pour ne citer que deux cas, territoralement proches !
Pétra Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour l’article homophone, voir Petra. Pétra (de πέτρα petra, « rocher » en grec ancien ; البتراء Al-Butrāʾ en arabe), de son nom sémitique[1] Reqem ou Raqmu (« la Bariolée »)[2],[3], est une cité nabatéenne pré-islamique de l'actuelle Jordanie située dans le Wadi Rum. Les nombreux bâtiments, dont les façades monumentales sont directement taillées dans la roche, en font un ensemble monumental et unique qui, depuis le 6 décembre 1985, est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO. La zone autour du site est également, depuis 1993, un parc national archéologique. Géographie[modifier | modifier le code] Carte de la région Pétra est située à mi-chemin entre le golfe d'Aqaba et la mer Morte à une altitude de 800 à 1 396 mètres au-dessus du niveau de la mer, dans un fond de vallée de la région montagneuse d'Édom, à l'est de la vallée de l'Arabah. Plan détaillé de la ville[modifier | modifier le code] Géologie[modifier | modifier le code]
Civilisations Precolombiennes - Azteques, Incas, Mayas Découvrez l'Histoire fascinante de ces grandes civilisations précolombiennes qui ont dominé d'immenses territoires sur le continent américain avant l'arrivée des conquistadores espagnols. Les Aztèques au Mexique, les Mayas au Guatemala et les Incas au Pérou, des civilisations qui ont bâti des temples fabuleux que les touristes du monde entier viennent aujourd"hui visiter. Les Aztèques Dans la vallée de Mexico, Les Aztèques vont créer depuis leur capitale Tenochtitlan un puissant empire qui dominera le Mexique et l'Amérique Centrale, jusqu'à l'arrivée des Conquistadors espagnols, menés par Hernan Cortés. Guidés par leur dieu tutélaire, Huitzolopochtli, les Aztèques marchèrent pendant de longues années avant de trouver le lieu idéal pour fonder leur capitale et remplacer les Toltèques dans la Vallée de Mexico. Les Incas En à peine deux siècles, les Incas vont imposer à partir de Cuzco, la domination de l'Empire du Soleil, qui s'étendra sur une immense partie de la Cordillère des Andes.