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C’est quoi, la biointensive ? Il y a plus d’un siècle, des maraîchers pratiquaient autour de Paris une méthode de culture intensive qui leur permettait, dans une région où la place était déjà comptée, de produire, de manière totalement biologique (les engrais chimiques et les pesticides n’étaient pas encore inventés), des grandes quantités de légumes d’excellente qualité, à partir de surfaces très réduites. L’apparition de la mécanisation, les progrès des moyens de transport et les engrais ont relégué cette méthode à de rares jardins d’amateurs éclairés : il était possible de produire plus loin de Paris, en quantité suffisante. Pourtant, de nombreux jardiniers auraient tout intérêt à en connaître les grands principes. D’autant plus que cette ancestrale méthode a depuis été améliorée, pour donner naissance à la méthode française intensive biodynamique, ou biointensive. Les premières bases de la biointensive ont été jetées par un Anglais, Alan Chadwick après la seconde guerre mondiale, en Afrique du Sud. 1. 2. 3. 4.

La culture sur buttes (fiche technique) Pour les bonnes raisons de pratiquer la culture sur buttes, voir ici. Deux grands courants pratiquent la culture sur buttes : le premier d’inspiration biointensive, le second d’inspiration permaculturale. La biointensive cherche en gros à maximiser le rendement aussi vite que possible en utilisant tous les moyens biologiques à disposition du jardinier. 1. Dans tous les cas, la création des buttes est le moment le plus important de la mise en place du jardin. Les buttes sont espacées par des allées de 30 à 50cm de large. 30cm représentent la longueur d’un pied moyen, 50cm permettent par exemple de travailler à genoux. En récupérant la terre de surface des allées, on accroît la profondeur de terre arable. On peut se contenter d’un bêchage simple, ou travailler avec un motoculteur, ce qui facilite grandement la tâche sur un grand jardin. 2. La biointensive préconise plutôt des buttes orientées nord-sud. 3. Les bords de la butte doivent être soignés. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11.

La culture sur butte Vous en avez marre de votre jardin, plat, alligné à la militaire, slon le cas, il peut être avantageux de butter... Introduction - Concept & principes Deux grands courants pratiquent la culture sur buttes : le premier d’inspiration biointensive, le second d’inspiration permaculturale. La biointensive cherche en gros à maximiser le rendement aussi vite que possible en utilisant tous les moyens biologiques à disposition du jardinier. La permaculture recherche plutôt à imiter la nature, et à éviter les pratiques trop coûteuses en travail, quitte à obtenir un rendement plus faible ou à prendre plus de temps pour obtenir un résultat. Mais les deux ont des points communs, notamment l’utilisation des buttes, la création d’un écosystème complet, l’amélioration du sol. Il est important de travailler les associations de culture. L'observation La biointensive préconise plutôt des buttes orientées nord-sud. La conception & le design Eviter autant que possible de laisser la terre à nu. La mise en place

Droit aux buttes Jardins en buttes à l'écocentre du périgord On les voit fleurir un peu partout, elles représentent une vraie révolution dans notre relation au sol et notre façon de cultiver. Symboles par excellence de l’agroécologie mais surtout de la permaculture (avec la poule), elles n’en sont pourtant qu’un élément parmi d’autres. C’est Emilia Hazelipp qui semble avoir importé la culture sur butte en France. Mais quels sont les avantages de cette culture étrange qui demande pourtant un gros travail de mise en place? tout d’abord, elle évite de se baisser. - limiter l’enherbement, - limiter l’évaporation de l’eau et donc de presque supprimer l’arrosage (hors plantation bien sûr), - fournir régulièrement tout au long de l’année la fertilité à la butte par humification (décomposition par la faune du sol) de la couche de mulch, - protéger cette fameuse microfaune et son cortège de bactéries, champignons et autres arthropodes du gel, du soleil, du dessèchement et de l’érosion. Le non travail du sol.

Semer des engrais verts Les engrais verts sont des plantes cultivées, destinées à être coupées et incorporées à la terre avant ou après une culture de légumes ou de fleurs annuelles. Pendant leur croissance, ces plantes couvrent la terre vacante, évitant ainsi l'apparition de plantes indésirables et la protègent des pluies battantes. Leur décomposition stimule la vie biologique du sol et libère une grande quantité d'humus jeune.Résultat : une terre plus souple, retenant mieux l'eau en été, plus fertile et plus accueillante. Des engrais verts au printemps Ils sont parfaits avant une culture tardive comme le poireau, chou, potiron, courgette, tomate. Leur maîtrise réclame un peu d’anticipation et donc d’organisation. En été Le semis a lieu de juillet à début septembre, juste après la récolte des légumes estivaux ; pomme de terre, pois tardifs, oignon... En automne Entre début septembre et début octobre, il est encore possible de semer dans les régions peu gélives. Comment couper l’engrais vert ?

Engrais vert Un article de Ékopédia, l'encyclopédie pratique. Un engrais vert est une technique où l'on utilise des plantes à croissance rapide, qui se développent même en fin de saison en couvrant le sol de façon importante. Sur une courte période, elles constituent une forte quantité de matière organique récupérable pour enrichir naturellement la terre. En général, cet engrais vert sera détruit avant récolte : soit broyé et enterré sur place; soit broyé pour réaliser des purins et autres produits phytosanitaires BIO pour protéger des maladies et ravageurs, les futures cultures; soit coupé et séché pour réaliser de futur paillage du potager; soit coupé et mis en tas de compost ou placé en composteur afin de réaliser un riche terreau qui servira pour enrichir le sol de futures plantations. Qu'est-ce qu'un engrais vert Cette technique culturale consiste à cultiver des plantes sur un sol puis de les détruire et les enfouir sur place. Plantes fourragères légumineuses : Rôles d'un engrais vert Voir aussi

Fiche technique : la tour de pommes de terre Il existe une méthode qui permet de cultiver des pommes de terre hors sol. Vous pouvez ainsi les faire pousser sur un balcon, dans un petit jardin, ou bien encore sous une serre. Cette technique est bien connue des anglais, qui sont littéralement accro de jardinage "en pot". Le principe est tout simple et consiste à butter les plants pommes de terre tout au long de leur croissance. Commencez par vous procurer une terre acide (Ph 5,5 - 6) et veillez à garder la terre humide tout au long de la culture, c'est-à-dire entre 3 et 5 mois selon les variétés de pomme de terre. Les pommes de terre vont donc pousser dans un «pot» ayant un peu la forme d'une «tour». Si vous utilisez une jarre ou autre bac rigide, veillez à bien le mettre à la lumière afin que le germe soit stimulé et puisse grandir. Choisissez votre variété de pomme de terre et surtout prenez des variétés bio (les non bio sont souvent traité anti germination). Laisser ensuite fleurir et se développer la plante hors de la «tour».

Cinq annuelles magiques pour un jardin écologique ! © Dominique Klecka Brigitte Lapouge-Déjean, paysagiste et spécialiste de l'ornement, nous suggère cinq annuelles pour à la fois favoriser la biodiversité et multiplier les floraisons et les couleurs. La centaurée © Serge Lapouge Robuste et sans chichi, la centaurée évoque le charme désuet des jardins de campagne. Conseils de culture : semez clair en caissette sous châssis froid en mars-avril et repiquez en godet un mois après. Le coquelicot Couleurs claquantes en livrée des champs ou habillé de pastel pour une version adoucie, le coquelicot vit de rien et apporte sa touche éphémère au jardin. Conseils de culture : le secret de la réussite du coquelicot tient dans le semis clair en place, si le sol est léger et chaud. Le cosmos Quand nous rêvons d'opulentes floraisons estivales pour boucher le sempiternel creux de la fin des premières vivaces de mi-juillet à septembre, le cosmos arrive à la rescousse. L'œillet d'Inde ou tagète La vipérine annuelle Brigitte Lapouge-Déjean

Nos conseils pour bien réussir votre verger, Arbres fruitiers et Petits fruits, Comment réussir la culture de... Le choix de la parcelle Veillez à ce que la parcelle que vous avez choisie bénéficie d'un sol fertile et de bonne vitalité. Assurez-vous que la terre soit saine et qu'elle ne comporte pas de gravats par exemple. Les arbres fruitiers apprécieront d'être plantés sur des coteaux sud, sud-est et dans une moindre mesure sud-ouest. La plantation La plantation doit s'effectuer durant la période de repos végétatif. Les distances de plantation Comptez entre 5 et 6 m sur la ligne, et entre 6 à 7 m entre les lignes. Retrouvez plus haut un tableau pour vous donner une idée, à considérer avec souplesse ! La formation de l'arbre Tout les scions que nous mettons en vente peuvent durant le cour de leur développement être conduit de toutes les façons. Les gestes qui suivent la plantation Sitôt votre scion en terre vous pouvez commencer sa formation. Un élément très important à considérer est l'angle d'insertion des branches charpentières sur le tronc et l'inclinaison de celles-ci.

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