Raccrochons les décrocheurs ! - Le blog de l'amie scolaire : Questions de profs. Ce blog n'est pas un forum de débat entre partisans et adversaires de la pédagogie. Il veut être un lieu de réflexion et d'échanges pédagogiques destiné aux professionnels de Les décrocheurs... Un nombre pharamineux d'élève quittent le système scolaire au milieu du parcours. Des statistiques épouvantables : 23% des jeunes vivent sous le seuil de pauvreté. (1) Les élèves sont de plus en plus nombreux à quitter le système scolaire, c'est incontestable. N'est-il pas possible de diminuer cet écart ? Ce peut être aussi la conséquence d’une expérience scolaire douloureuse dès le début de la scolarité (un manque d’accrochage), expérience marquée par des échecs répétés, des transitions d’un cycle d’études à l’autre difficiles, une marginalisation de la part des pairs, un étiquetage par l’institution inscrivant le jeune dans un continuum aboutissant à un décrochage, seul moyen d’échapper à des tensions trop fortes subies en milieu scolaire. Où a-t-on vu que l'on ne puisse éviter de blesser les élèves en classe ? 2- qu'on apprend en observant et en agissant à plusieurs, et non en écoutant.
Selon une étude, certains indicateurs aident à prédire le risque de décrochage MONTRÉAL - Les difficultés en lecture dès la première année peuvent indiquer un risque éventuel de difficultés scolaires plus tard et même un risque de décrochage. C'est ce qu'indique une étude réalisée par des chercheurs de l'Université de Montréal rendue publique lundi par l'Institut de la statistique du Québec (ISQ), au moment même où sont lancées les Journées de la persévérance scolaire. Les données de l'Institut, recueillies auprès d'un échantillon d'enfants nés en 1997-1998, démontrent qu'environ 15 pour cent de ces enfants se classent dans le groupe des élèves à risque de décrochage lorsqu'ils arrivent à l'âge de 12 ans. Selon les chercheurs, les difficultés de lecture sont d'ailleurs un indicateur de risque beaucoup plus important que le statut socioéconomique d'un enfant. De leur côté, les organisateurs des Journées de la persévérance scolaire ont dévoilé les dernières données sur le décrochage scolaire et les nouvelles sont plutôt encourageantes.
PREPAS – SPECIAL ORAUX DE CONCOURS: 22 astuces pour réussir les oraux Indépendamment de votre degré de compétence dans chaque matière, voici tout ce qu’on ne vous dit pas assez sur les oraux. 24 trucs et astuces à garder en tête pour des oraux de concours aux petits oignons et décontractés! Bref: le khôlle-hacking du parfait petit candidat;) Ça y est, vous y êtes, face aux épreuves orales tant attendues – et tant redoutées. Voici une liste de conseils et suggestions pour mettre toutes les chances de votre côté pendant les épreuves. Et enfin, mettez-vous dans la tête que l’interrogateur n’est pas là pour vous crucifier. 1- Halte aux gris-gris Evitez les gris-gris, doudous et objets fétiches porte-bonheur qui sont censés vous soutenir dans l’épreuve. 2- Attention aux médicaments Évitez au maximum les médicaments calmant qui pourraient vous chloroformer le cerveau plus que vous relaxer. 3- Faire avec le trac La oraux qui approchent vous laisse la gorge sèche et la boule au ventre? Quelques pistes supplémentaires pour apprivoiser le trac 6- Soyez poli(e)
Peillon veut "raccrocher" les élèves "décrocheurs" Voir la vidéo Par Francetv info Mis à jour le , publié le POLITIQUE – "Aujourd'hui, on est capable de raccrocher 9 500" jeunes sortis du système scolaire et "je souhaiterais que nous passions à 20 000" en 2013, a déclaré Vincent Peillon, mardi 4 décembre sur RTL. "Vous savez que l'objectif du président de la République est qu'on diminue par deux [le nombre de décrocheurs], c'est-à-dire qu'il faudrait arriver à 70 000 à la fin du quinquennat. Le ministre va annoncer dans la matinée, lors d'un séminaire, un plan de lutte contre le décrochage scolaire, qui touche chaque année 140 000 jeunes. "C'est 20 à 25% de notre jeunesse, toujours les mêmes, ceux qui viennent déjà des milieux les plus difficiles, qui se retrouvent sans formation et, dans un pays où le diplôme fait l'emploi, sans emploi et dans la pauvreté", a dit le ministre.
La phobie scolaire La phobie scolaire, c’est la peur irrationnelle (c’est-à-dire sans motif apparent) d’aller à l’école. Elle se caractérise par une incapacité physique et psychique à se rendre sur les lieux et à suivre les cours. Elle est en outre le signe (le symptôme) d’une grande anxiété. La phobie scolaire est à différencier du décrochage scolaire où on peut certes ressentir de la démotivation, un grand désintérêt pour les cours et un certain mal-être, mais physiquement on peut se déplacer jusqu’à l’établissement. Quels sont les signes de la phobie scolaire ? Souvent des maux de ventre (allant jusque des vomissements) ou des maux de tête apparaissent. Rester à la maison, faire les devoirs à domicile, s’occuper de la petite sœur, se reposer, se promener en ville font partie des choses rassurantes. Comment ça arrive ? Comment peut-on y faire face ? La phobie scolaire est une véritable maladie psychologique, qui est d’ailleurs diagnostiquée par des médecins ou des psychologues, et qui se soigne !
Phobie scolaire Qu’est ce que la phobie scolaire? La phobie scolaire est une angoisse allant crescendo survenant dès que l’élève doit se rendre dans son établissement, jusqu’à l’impossibilité pour certains de quitter la maison. Elle peut s’exprimer avec des signes de souffrance physique réels plus ou moins marqués : douleurs abdominales, nausées, palpitations, sensation de malaise insupportable, crises bruyantes. Mon enfant souffre de phobie scolaire, que faire? Si les symptômes que représentent la phobie scolaire ou refus scolaire anxieux ne sont pas pris en compte rapidement, la situation de l’élève peut s’aggraver sévèrement et son avenir en pâtir :descolarisation totale, isolement, désocialisation, dépression, refuge dans des addictions tel que lesjeux vidéos, suicide Une évaluation spécialisée par un thérapeute est indispensable pour permettre de choisir la meilleure prise en charge. Des exemples d’accueil dans certaines académies Académie de Rennes classe à projets lycée Chateaubriand Lire la suite
ORME 2014 : Quelle plus-value pédagogique pour l’École numérique ? Les Rencontres de l’Orme mardi 27 et mercredi 28 mais 2014 ont rassemblé un grand nombre d’intervenants et acteurs éducatifs, pédagogiques, culturels, institutionnels et industriels autour d’une grande thématique : « Ecole numérique : une école augmentée ? » Pour lancer le sujet, expliquer cette thématique qui peut apparaître sibylline au premier abord et proposer quelques pistes de réflexion, Jacques Papadopoulos, directeur du CANOPÉ–CRDP d’Aix-Marseille a réuni autour de lui plusieurs chercheurs, pédagogues ou acteurs du Ministère de l’Education Nationale, autour d’une table ronde inaugurale des plus intéressantes. École numérique : une école augmentée ? Avec cette question première, des dizaines d’autres questions sont sous-jacentes. Quelles préconisations pour lever les obstacles au développement du numérique à l’École ? - des freins pédagogiques : ils ont été identifiés dans le fait que les usages dans les classes n’étaient pas présents. Alexandra Mazzilli
Phobie scolaire : troubles anxieux liés à l'école et phobie scolaire Si les symptômes que représentent la phobie scolaire ou refus scolaire anxieux ne sont pas pris en compte rapidement, la situation de l’élève peut s’aggraver sévèrement et son avenir en pâtir : déscolarisation totale, désocialisation, conséquences sur l’avenir professionnel…. suicide Il s’agit d’une angoisse allant crescendo survenant dès que l’élève doit se rendre dans son établissement, jusqu’à l’impossibilité pour certains de descendre de la voiture voire de quitter la maison. Elle peut s’exprimer avec des signes physiques réels plus ou moins marqués : douleurs abdominales, nausées, palpitations, sensation de malaise insupportable, crises bruyantes Derrière ces manifestations , on peut retrouver associés, comme partie émergée de l’iceberg : harcèlement par d’autres élèves, difficultés scolaires, anxiété de performance, angoisse de séparation, problèmes de santé (ou autres) dans la famille, psychopathologie. Sur Integrascol En savoir plus La rentrée scolaire peut être une phobie
Que faire si mon enfant souffre de phobie scolaire ? - PARENTS.fr Que ce soit en école, au collège ou au lycée, certains enfants peuvent souffrir de phobie scolaire. Un phénomène encore tabou et difficile à chiffrer, selon le président de l'association "Phobie scolaire" qui explique la démarche à suivre. © iStock La phobie scolaire correspond à la situation de jeunes qui n’arrivent pas à aller à l’école pour des raisons irrationnelles. Le président de l'association explique en premier lieu que la phobie scolaire se manifeste pratiquement toujours de la même manière, mais que les causes peuvent être très variées. « Ça commence avec des maux de ventre, des vertiges, des envies de vomir, et au final un blocage complet par rapport à l'idée d'aller à l'école. Harcèlement, dyslexie... le plus important est d'en comprendre les raisons, et pour cela l'aide d'un psychologue est essentielle. Outre des mesures envers l'enfant, les parents ne doivent pas hésiter à demander de l'aide.
8 techniques pour enseigner avec pédagogie | Stéphane Edouard A l'heure où l'Internationale de l'Education - soit 30 millions d'enseignants et d'employés du secteur de l'éducation dans le monde - mène une enquête visant à comparer les conditions d'enseignement et d'apprentissage dans les différents pays, faisons un petit zoom arrière sur les résultats d'enquêtes similaires à l'échelle nationale. D'après le dernier sondage AFP en date (fin 2013), seuls 3% des français ont une vision "très positive" de l'école. Alors quand on pense que c'est pourtant la seule époque de la vie où l'on apprend une nouvelle chose chaque jour, où l'on se fait des amis en claquant des doigts tout en échappant aux servitudes du travail salarié, où le concept d'augmentation fiscale est une abstraction parentale, mais aussi l'époque des premiers rapports sexuels, on est en droit de se demander: D'où cet article traitant de la pédagogie de façon... pédagogique: enseigner est-il contre-intuitif, et pourquoi est-ce si difficile d'apprendre quelque chose à quelqu'un? 1. 2. 3. 1.
La phobie scolaire - Enfants « Qui a eu cette idée folle, Un jour d'inventer l'école, C'est ce sacré Charlemagne (…) » Même si ce refrain des années 60 fait sourire la plupart d’entre nous, il a témoigné en son temps des difficultés de certains enfants à s’adapter à l’école. Ah, ce sacré Charlemagne ! S’il a fallu attendre Jules Ferry en 1882 pour rendre l’école obligatoire, il a suffi de peu pour initier la mode de l’école buissonnière. Pour la première fois évoquée en 1941, on apprend que sécher l’école n’est pas toujours synonyme de paresse, mais parfois le fait d’angoisses et de craintes pas toujours exprimables. On sait aujourd’hui que la phobie scolaire est un trouble complexe qui s’apparente plus à un symptôme, reflet de diverses difficultés psycho-sociales sous-jacentes, qu’à une réelle maladie.Refus scolaire, absentéisme, angoisse de séparation, etc. A l’heure des grands questionnements autour de l’éducation, comment faire la part des choses ? Que signifie réellement la notion de phobie scolaire ?
Phobie scolaire : pourquoi lui ? pourquoi elle ? | La Voix des Parents Derrière l’expression assez floue de phobie scolaire ou refus scolaire anxieux se cachent des situations diverses mais une détresse commune : une peur panique à l’idée de se rendre à l’école. Une souffrance partagée par des milliers d’enfants et leurs parents, en mal d’écoute et de reconnaissance. «Nous l’emmenions à l’école et le CPE était obligé de le tenir pour que nous puissions partir sinon il courait après la voiture. » Pour Sophie et Gwenaël, la deuxième semaine de rentrée en 6e de leur fils Nicolas a sonné le début du cauchemar. Maux de ventre, maux de tête… ils ne se sont pas tout de suite inquiétés pensant que cela allait passer, mais un matin Nicolas n’a pas pu se lever. « Les maux n’apparaissaient plus seulement le matin avant de partir au collège mais aussi le soir, du coup il dormait mal. » Quand l’angoisse monte… « On ne sait pas vers où nous diriger » Pour Nicolas, le verdict du centre médico-psychopédagogique (CMPP) consulté est sans appel : trouble du comportement. Notes