With Tangled, Disney Gets Closer to Embracing Feminism
Over the holidays, I finally got a chance to see the animated movie Tangled. I not only laughed at the jokes and enjoyed the fairy tale romp, but I left the theatre with the distinct impression that Disney has taken a few more baby steps on the path to feminism. Just to be clear, I'm suggesting that Disney is getting closer to embracing feminism. Indulge me, if you will, in a bit of Disney nostaglia. After a few animated films featuring animals, the next Disney princesses were Cinderella and Sleeping Beauty. Don't even get me started on the evil stepmothers and witches who played prominent roles in these tales, residing on the other end of the spectrum from the innocent young maidens they sought to destroy. After having either enchanted or enraged two generations of women, Disney decided to see what they could do with the next generation. Then came 1998's Mulan -- one of the first Disney princesses who was also a feminist. Which brings us to 2010.
Disney Princesses, Capitalism and Feminism
ENTERTAINMENT - Disney princesses don't slay dragons, play sports or go to university. Higher academics, athletics don't seem to be on their list of things to do. Snow White, Cinderella, Sleeping Beauty, Aurora, Ariel, Belle, Jasmine, Pocahontas, Mulan and newly added Tiana and Rapunzel... they have all perfected the art of being the damsel in distress. Even the bookish Belle, the runaway Jasmine and the resourceful Pocahontas... they all are beholden to having a man rescue them. Mulan is the only one that actually gets a sword. Girl power? As a franchise Disney has done very well at selling clothes, toys, dolls to your kids. You may laugh when your daughter says she wants to be a princess when she grows up, but what is she really aspiring to? There's also the health issue... all the Disney Princesses are anorexic. Fairy tales have been around for centuries, little girls have always liked pretty dresses, and its no surprise little girls like them.
Princesses Disney féministes
Depuis l'intéressante série d'Euterpe sur les princesses Disney et suivantes, j'ai trouvé sur le site I blame the kyriarchydes princesses Disney féministes -détournées évidemment ! Le Prince : ...et nous vivrions heureux La Princesse : est-ce que cela signifie que j'aurais ma propre carrière et que je contrôlerai mes finances ? La Princesse : Houah, pardon mais quelle partie de moi, alors que je dors ici seule, implique mon consentement ? Blanche-Neige : Ils n'ont pas arrêté de me dire que je dois haïr les hommes, puisque je suis féministe. La Princesse : J'ai écrit un essai sur la théorie queer pour mon cours de littérature. On peut rêver que les princesses de Disney (et les autres) s'émancipent, et que les princes aient l'esprit large ouvert.
Le sexisme du Roi Lion
La féminité dans Le Roi Lion L’une des premières choses qui nous frappe en regardant Le Roi Lion, c’est le sexisme banal et structurant de l’histoire. Dès les premières scènes, Le Roi Lion nous fait connaître un monde structuré hiérarchiquement, avec au sommet de la pyramide le monarque absolu, qui règne en bon patriarche sur, non seulement son peuple docile et servile (les autres animaux), mais également ses lionnes, qui jamais ne remettront en question le bien fondé de la place des hommes, ni de la place des femmes. Le Roi Lion comporte un grand total de 3 personnages féminins, contre 9 personnages masculins. Donc, 75% des personnages du Roi Lion sont masculins. Outre la domination écrasante des hommes en terme de présence à l’écran, il est plus important d’analyser les différentes représentations des hommes et des femmes dans ce film, et c’est ici qu’apparaît une des étranges « schizophrénie » du Roi Lion. Et de un… Et de deux… Et de trois… cela suffira-t-il à renverser le patriarcat?
Raiponce (2010) : Peut-on être à la fois princesse et féministe chez Disney ?
Comme La Princesse et la grenouille sorti un an plus tôt, Raiponce témoignait de la volonté de Disney de proposer des princesses plus fortes et actives que les Blanche-Neige, Cendrillon et Aurore des débuts. Mais aussi plus indépendantes que les Ariel, Belle ou Jasmine d’après la seconde vague féministe. L’idée était ainsi de parvenir à créer des personnages de princesses aussi fortes qu’ont pu l’être Mulan ou (dans une moindre mesure) Pocahontas, dont l’appartenance à une ethnicité plus « lointaine » avait pu permettre quelques audaces de la part du studio (plutôt habitué à un sexisme des plus réactionnaires). Et la première bande-annonce[1] ainsi que les images diffusées par Disney pour la promotion du film[2] semblaient effectivement pleines de promesses pour tout-e-s ceux/celles lassé-e-s des éternelles histoires de princesses secondant leurs partenaires masculins pour parvenir à accomplir leur destinée (consistant inévitablement à devenir la femme d’un homme…). « Raiponce !