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Greenwashing « Communication Corporate & Développement Durable

Greenwashing « Communication Corporate & Développement Durable
Le « Greenwashing » est un terme anglophone qui peut être traduit par « verdissement d’image ». Il fait référence à l’éco-blanchiment auquel se livrent les entreprises, en communiquant, de façon mensongère, sur la performance environnementale de leur marque ou de leurs produits. "Le terme Greenwashing est utilisé par les groupes de pression environnementaux pour désigner les efforts de communication des entreprises sur leurs avancées en termes de développement durable, avancées qui ne s’accompagnent pas de véritables actions pour l’environnement. Source : Publicitaires Eco-Socio-Innovants Le greenwashing est la dernière tendance des entreprises qui surfent sur la vague écolo. Le greenwashing est donc le phénomène qui profite des aspirations écologiques des consommateurs pour en faire, avec un certain cynisme un pur levier de marketing, bien loin d’une politique sincère de développement durable. Pour plus d’informations : Related:  marketing durable

Eco-communication - Définition du greenwashing L'ADEME et l'ARPP (Autorité de Régulation des Professionnels de la Publicité, ancien BVP) collaborent depuis 2006 afin d'évaluer le respect de la loi et de la déontologie professionnelle concernant l'utilisation de l'argument écologique et de l'argument développement durable. Ces études ont permis à l'ARPP de mettre en œuvre divers projets (sensibilisation, effort d'autodiscipline, intégration d'ONG environnementales...) pour améliorer progressivement la pertinence du discours publicitaire en matière de protection de l’environnement. En savoir plus sur l'ARPP Dans ce 6ème Rapport d’études « Publicité & Environnement » - Bilan 2012 publié fin novembre 2013, 92% des publicités sur les 11 297 étudiées en 2012, sont conformes aux recommandations déontologiques en matière de développement durable de l’ARPP. Ce taux de conformité est le meilleur atteint en 6 ans. > Lire le communiqué de presse > Lire le communiqué de presse - La publicité fait-elle un bon usage des arguments environnementaux ?

Écoblanchiment, greenwashing, la publicité qui abuse de l'écologie L'écoblanchiment, ou greenwashing en anglais, est l'utilisation abusive ou mensongère de l'argument écologique ou du développement durable dans la publicité, pour une marque, un produit ou une entreprise. Ces dernières années, la protection de l'environnement et le développement durable représentent les préoccupations prioritaires des français : de nombreuses entreprises et annonceurs ont décidé de surfer sur cette vague verte pour en faire un axe de communication. Les publicitaires ont bien compris l'engouement des consommateurs pour les produits qui respectent l'environnement et certains se sont précipités sur cette opportunité sans scrupules. Ils ont mis en avant dans leur communication des vertus écologiques de produits inexistantes, de faux labels environnementaux, ou ont ouvertement induit en erreur et trompé les consommateurs sur la véritable plus-value environnementale de l'entreprise, la marque ou le produit.

Qu'est-ce que le Développement Durable ? « C’est la préservation de l’environnement, l’écologie » « C’est un mode de développement économique » « C’est utiliser le moins d’énergies fossiles possible » « C’est un leurre » … Si on pose la question autour de soi, on obtient autant de réponses que de personnes interrogées. Bien souvent, la réponse n’est pas fausse mais incomplète. Voici une petite présentation du développement durable pour permettre une première approche de ce vaste concept et de se faire sa propre idée. Il devient évident ces dernières années que notre monde change, et on ne peut plus occulter les problèmes qui ont émergé de notre mode de développement actuel. Afin de réagir à tous ces problèmes, un nouveau mode de développement à été définit, il sera « durable ». Le développement durable repose sur 4 piliers : environnementalsocialéconomiquedémocratique Les enjeux environnementaux Les enjeux sociaux Aujourd’hui, 20 % de la population concentre 86 % des richesses produites annuellement (source : UNDP).

Innover grâce au développement durable : l’exemple de Toyota Dans le cadre de ses Rencontres Green Ocean, le cabinet Ernst & Young a organisé début mars une conférence intitulée « Déployer l’innovation, du prototype à la référence du marché ». L’objectif était de montrer comment l’intégration du développement durable dans une démarche d’innovation pouvait amener à de véritables innovations de rupture, en créant de la valeur à la fois pour le client et pour l’entreprise. La première partie de la conférence a permis de montrer les étapes par lesquelles passent de nombreuses entreprises dans leur quête de développement durable. Le principal exemple évoqué pour illustrer cette dynamique a été celui de Toyota, qui a engendré avec ses voitures hybrides une véritable révolution au sein du monde automobile. Pour développer de véritables innovations, telles que la voiture hybride, et faire en sorte qu’elles soient viables sur le marché, Toyota a identifié plusieurs facteurs clés de succès : - disposer d’un budget R&D dédié et stable

Nestlé et Danone unis pour lancer un PET 100%... D’ici à 2020, le rayon des eaux devrait vivre une révolution. Une révolution invisible mais capitale en matière de développement durable. « Nous mettrons alors sur le marché des bouteilles sans une goutte de pétrole, car elles seront à 75% – et 95% en 2022 –, en PET issu de ressources durables et renouvelables », annoncent ensemble Frédéric Jouin, responsable R & D des matériaux plastiques du groupe Danone, et Klaus Hartwig, responsable R & D de Nestlé Waters. Danone et Nestlé, unis pour un même challenge ? Oui, car si ces acteurs sont concurrents, notamment sur le commerce de l’eau en bouteille, ils ont décidé de faire cause commune pour une « rupture technologique menée au bénéfice de la planète, car elle améliorera notre empreinte carbone ». Pour cela, ces deux géants financent les travaux d’Origin Materials, une start-up californienne à la pointe en matière de création de PET (polyéthylène téréphthalate) d’origine non pétrolifère, qui emploie 40 chercheurs. Sylvie Leboulenger

Le gaspillage alimentaire (enfin) pris au... Les images de produits encore comestibles passés à la Javel dans les poubelles de quelques supermarchés ont finalement eu un rôle positif, en faisant avancer très vite les débats autour du gaspillage alimentaire. Ce gâchis a du mal à être justifié alors que tout le monde ne mange pas à sa faim, en France et ailleurs. Et aujourd’hui, lutter contre le gaspillage ne se résume plus à donner les invendus aux banques alimentaires et associations. Si ce débouché est le plus important, il reste soumis à de lourds impératifs logistiques, et surtout, il voit apparaître l’émergence de nouvelles solutions pour réduire le gaspillage plus en amont. Tout au long de la chaîne de production, une portion non négligeable de l’alimentation est perdue : légumes pas assez « beaux » pour être commercialisés, casse en rayon, DLC (date limite de consommation) trop courtes… Ces invendus représentent, au final, une montagne de denrées alimentaires qui ne finissent pas dans les assiettes. Diagnostics et formations

La consommation responsable progresse lentement mais sûrement La consommation responsable a le vent en poupe, plusieurs études le montrent. La plus récente indique que plus de la moitié des Français souhaitent consommer autrement. Rédigé par Jean-Marie, le 1 Jun 2016, à 15 h 15 min Depuis 2005, consoGlobe.com suit et décrypte les évolutions du comportement des consommateurs. Lentement mais sûrement, au gré des variations du pouvoir d’achat et de l’actualité sanitaire ou environnementale, les Français passent à la consommation responsable. La crise en 2008-2009 a freiné la hausse de l’achat responsable pour des raisons de baisse du pouvoir d’achat. Les Français et la consommation responsable Tous les ans pour la Semaine du Développement durable, Ethicity, le cabinet de conseil en développement durable de Greenflex(5) publie une étude sur les Français et la consommation responsable : un bon baromètre pour mesurer son évolution. 50 % des Français veulent consommer autrement Les préoccupations des Français : le bien-être et la santé Rédigé par Jean-Marie

L'éco-conception, c'est quoi ? L'éco-conception, c'est quoi ? Cliquez pour approfondir Cliquez pour approfondir Cliquez pour approfondir Cliquez pour approfondir l’éco-conception c’est quoi ? Document 10 - Consommation responsable : définition et enjeux Qu’est-ce que la consommation responsable ? Quelle est la définition de la consommation responsable ? Comment être un consommateur responsable et mieux consommer ? Décryptage. Depuis plusieurs années, on prend de plus en plus conscience de l’impact de notre consommation quotidienne, à la fois sur la planète, sur l’économie et sur la société, mais aussi sur notre santé. Définition : la consommation responsable, qu’est-ce que c’est ? La consommation responsable, c’est un mode de consommation qui prend en compte les critères du développement durable, c’est-à-dire une consommation qui soit à la fois respectueuse de l’environnement, bénéfique pour l’économie (notamment locale), bonne pour la santé, mais aussi positive pour la société. Consommation responsable ou consommation durable ? Parfois, on utilise aussi le terme “consommation durable” quand on parle de consommation responsable. Comment définir la consommation responsable concrètement ? Consommation et alimentation responsable

Ikea éduque ses consommateurs et... Consommateurs et collaborateurs (de 10 magasins) ont joué le jeu pendant six mois. 230 foyers ont essayé de faire toutes les économies possibles grâce à des éco-gestes simples grâce à 500 euros de solutions Ikea et un coaching à domicile. Parmi les habitudes plébiscitées : le choix d'ampoules LED, qui permettent d'économiser 85% d'électricité par rapport à des ampoules à incandescence, l'utilisation de rideaux pour éviter la déperdition de chaleur et les tapis qui réduisent la sensation de froid et limitent les besoins en chauffage. Figurent également des éco-gestes comme l'utilisation de multi-prises avec interrupteurs ou l'économie d'eau chaude avec des douches de moins de 5 minutes ou le mitigeur placé sur la position la moins froide. 150 euros d'économies par an et par foyer Au final, de tels éco-gestes ont permis à chaque foyer d'économiser 150 euros par an avec une baisse de 12% des coûts d'énergie et la prise de 11 000 douches économiques par an.

Quel développement durable après la COP 21 ? En 2015, en pleine COP 21, le Groupement Les Mousquetaires s’était vu décerner le label Enseigne responsable par le club Génération responsable, pour l’ensemble de ses actions en faveur du développement durable. Intermarché était d’ailleurs la seule enseigne alimentaire présente lors de cet événement mondial. Plus d’un an après, les enseignes du Groupement comptent bien faire perdurer ces engagements et accentuer leur communication sur des prises de position fortes. "La COP 21 a été un moment de grande convivialité, où chacun a partagé son expérience et ses bonnes pratiques, rappelle Jean-Marc L’Huillier, président de la direction qualité et développement durable du Groupement Les Mousquetaires. Cet adhérent, patron de deux magasins situés à Sancoins (18), salue "un vrai déclic… et même une remise en question. Une synergie entre tous les services Ces engagements, Intermarché les a par ailleurs transformés en véritables atouts pour l’enseigne, en termes de communication.

Développement durable : Ikea s’engage... Du 17 au 19 mars 2017, Ikea organise trois journées dédiées au développement durable. Cette année, c’est autour du gaspillage que l’enseigne suédoise va prendre la parole, à travers des actions de sensibilisation en magasin et des ateliers thématiques proposés aux clients. "C’est un volet très important de la stratégie de développement durable d’Ikea, précise Carole Brozyna-Diagne, directrice du développement durable, Ikea France. Avec 52,5 millions de visiteurs chaque année dans nos magasins, nous avons un rôle à jouer pour sensibiliser les consommateurs à la raréfaction des ressources et des matières premières". Une opération renouvelée en juin En point de vente, l’enseigne a imaginé des parcours balisés avec des mises en avant de produits packagés. *Marine Stewardship Council (MSC) et Aquaculture Stewardship Council (ASC)

Démocratisation du commerce équitable : les GMS jouent-elles leur rôle 429 millions d’euros. C’est le chiffre d’affaires que le commerce équitable a généré en 2013, en France (contre 94 millions en 2004). Depuis une quinzaine d’années, les enseignes de grande distribution se sont intéressées à ce marché de niche et l’ont démocratisé. Le reproche des marques de commerce équitable : les grandes enseignes ne se sont pas contentées de distribuer des produits labellisés, elles les ont phagocyté en les copiant. Le besoin de communiquer La frilosité des clients s’explique, en partie, par le manque de communication des marques et des enseignes. L’image prix Pour sortir de sa relative confidentialité, le commerce équitable, en plus de convaincre sur ses engagements et valeurs, doit convaincre sur sa politique de prix juste. La controverse des labels

Le greenwashing est un phénomène qui profite des aspirations écologiques des consommateurs pour en faire, avec un certain cynisme un pur levier de marketing, bien loin d’une politique sincère de développement durable. En donnant une image « verte » à des entreprises, des services et des produits qui ne le sont pas, ce "blanchiment écologique" des activités industrielles et commerciales minimise et banalise la nécessité impérative de changer nos comportements de consommation. En outre, ce "verdissement d’image" participe directement à la désinformation des consommateurs, contrecarre les efforts importants de sensibilisation faits en ce sens par les associations, par les pouvoirs publics (ADEME pour la France), et discrédite la démarche de progrès déjà initiée par quelques entreprises courageuses. by mailyscrespel Mar 17

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