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Pourquoi l'imprimante 3D va révolutionner l'industrie - Business

Pourquoi l'imprimante 3D va révolutionner l'industrie - Business

Que faire de la “longue traîne” Par Daniel Kaplan le 22/01/09 | 25 commentaires | 9,361 lectures | Impression “Le futur du business, c’est de vendre moins de chaque produit, mais plus de produits diférents” : cette affirmation centrale de la théorie de la Longue traîne a décidément du mal à résister au test de la réalité. Sur certains marchés tels que celui de la musique en ligne, la théorie apparaît carrément fausse. Sur d’autres, par exemples celui de la vente en ligne de DVD, on constate un effet “longue traîne”, mais si faible qu’il ne peut entraîner aucune modification du fonctionnement du marché – sans parler d’un quelconque effet positif sur la diversité culturelle. Faut-il, alors, enterrer la Longue Traîne et son héraut Chris Anderson ? Ou bien considérer son message sous un autre angle : comme le signalement d’une possibilité, d’un espoir de faire évoluer certains marchés culturels dans un sens plus favorable à la diversité et à la création – à condition de le vouloir et de faire ce qu’il faut ? Daniel Kaplan

La Longue Traîne Par Hubert Guillaud le 12/04/05 | 84 commentaires | 45,807 lectures | Impression Mise à jour du 26/09/2005 : Après avoir traduit cet article sous le titre de La longue Queue, comme il était le plus connu sur l’internet francophone où circulait déjà de nombreuses versions, nous avons décidé de le rebaptiser La Longue Traîne, tel qu’on le trouve aujourd’hui plus fréquemment. A l’époque de cette publication, nous avions hésité entre les deux titres. Il nous semble, désormais que l’usage l’accrédite, indispensable de lui redonner un titre moins ambigu. Par Chris Anderson, rédacteur en chef de Wired Cet article a été publié pour la première fois par le magazine Wired en octobre 2004. Arrêtons d’exploiter les quelques Mégatubes au sommet des hit-parades pour gagner des millions. En 1988, un alpiniste anglais nommé Joe Simpson écrit un roman intitulé Touching the Void, le récit captivant d’une mort esquivée de justesse dans les Andes péruviennes. Comment cela a-t-il pu arriver ?

Longue traîne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La longue traîne, représentée en jaune Pour un vocabulaire plus probabiliste, une distribution à longue traîne est également appelée une loi de probabilité à longue queue. La longue traîne dans la théorie des statistiques[modifier | modifier le code] La traîne devient plus large et plus longue dans les nouveaux marchés (représentés en rouge). Là où les distributeurs traditionnels se focalisaient sur la partie gauche du graphique, les librairies en ligne font plus de ventes sur la partie droite. La longue traîne est une expression courante pour désigner un phénomène connu depuis longtemps des statisticiens (loi de Zipf, distribution de Pareto, distribution de Lévy). Dans ces distributions, une population à grande fréquence ou grande amplitude est suivie par une population à fréquence faible ou de faible amplitude, qui diminue graduellement en une « queue ». La longue traîne de Chris Anderson[modifier | modifier le code]

Principe de Pareto Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Pareto. Le principe de Pareto, aussi appelé loi de Pareto, principe des 80-20 ou encore loi des 80-20, est un phénomène empirique constaté dans certains domaines : environ 80 % des effets sont le produit de 20 % des causes. Il a été appliqué à des domaines comme le contrôle qualité. Naissance du principe[modifier | modifier le code] Applications du principe[modifier | modifier le code] Joseph Juran confesse en 1960 avoir attribué ce principe de répartition au mauvais auteur, car en fait nombreux sont ceux qui l'ont énoncé avant. Juran fut également à l'origine de la méthode ABC (une variante du principe Pareto) : « J’ai un peu exagéré en avançant que le principe de Pareto permet seulement de séparer les choses en deux parts. Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code]

Analyse ABC Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'analyse ABC est une méthode de classification découlant du principe de Pareto. Elle est fréquemment utilisée dans le domaine de l'analyse des stocks. Enjeux de l'analyse ABC[modifier | modifier le code] Elle permet la définition des catégories de produits qui nécessiteront la mise en place de processus et modes de contrôle distincts. Calcul de l'analyse ABC[modifier | modifier le code] Exemple applicable a la gestion de stock : "Classe A" les produits de cette classe représentent généralement 80 % de la valeur totale de stock et 20 % du nombre total d'articles. Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Méthode détaillée d'analyse ABC Portail du management

Makers, la nouvelle révolution industrielle Pearson publie ce jour la traduction du nouveau livre de Chris Anderson, intitulé Makers : la nouvelle révolution industrielle. Et comme tous les livres de Chris Anderson, c’est un évènement. On se souvient de la Longue Traîne (qui vient de paraître en poche et dont nous avions publié la traduction de l’article originel) et de sa critique (voir « Que faire de la longue traîne« , qui depuis, étude après étude, montre que ses effets demeurent extrêmement limités – voir par exemple celle publiée dans le dernier numéro de la revue Réseaux). Cela n’a pas empêché le concept de demeurer l’un des plus stimulants de la nouvelle économie. On se souvient également de Free (dont nous avions également rendu compte) qui s’intéressait à l’économie de la gratuité en proposant une intéressante taxonomie des modèles économiques du gratuit. La longue traîne des choses : disruptif par conception À présent, le même phénomène se produit dans l’industrie manufacturière : la Longue traîne des choses.

La gratuité est-elle l’avenir de l’économie La gratuité est l’avenir de l’économie clame Chris Anderson (blog) qui prépare dans cet article pour la revue Wired, dont il est rédacteur en chef, son prochain livre intitulé Free. Chris Anderson rappelle tout d’abord que la gratuité s’inscrit dans un processus commercial classique, comme l’a exploré avec succès Gillette, en offrant ses rasoirs et en faisant payer ses lames. Mais avec l’internet, une nouvelle gratuité s’est développée, fondée sur des coûts de reproduction nuls du fait de la numérisation, et sous la pléthore de l’offre qui tire encore plus les prix vers le zéro absolu. La gratuité est inexorable Selon lui, la gratuité est inexorable : « La constante diminution des coûts de production de l’économie numérique incitera bientôt la plupart des entreprises à donner la majorité de leurs produits ». 6 grands modes de financement de la gratuité L’argent n’est pas la seule rareté dans cette économie d’abondance, suggère Anderson. 8 valeurs génératives pour dépasser le gratuit

★ Mieux que gratuit : le business model réinventé Voici une traduction d'un texte pointé par Karl intitulé Better than free et écrit par Kevin Kelly. Je trouve la réflexion très intéressante et arrivant à point nommé dans ma réflexion sur le financement des applications web libres. Je vous laisse lire et on en parle ensuite. L'Internet est une machine à copier. À son niveau le plus bas, il copie chaque action, chaque caractère, chaque pensée que nous faisons lorsque nous surfons dessus. Notre réseau de communication numérique a été conçu de façon à ce que le flux de copies circule avec le moins de frictions possibles. Ce système de super-distribution est devenu le fondement de notre économie et de la richesse. Pourtant, l'âge précédent de cette économie était consacré à la vente de précieuses copies, la libre circulation de copies gratuites tend donc à renverser l'ordre précédemment établi. J'ai une réponse. Lorsque les copies sont très nombreuses, elles perdent leur valeur. Soit, qu'est-ce qui ne peut être copié ? Immédiateté Mécénat

Où va l’économie numérique ? (1/3) : Vers une innovation sans emplois Par Hubert Guillaud le 01/02/12 | 24 commentaires | 12,319 lectures | Impression Même s’il est toujours difficile à mesurer, l’impact d’internet sur l’économie a toujours été observé avec attention, notamment par les acteurs de la nouvelle économie eux-mêmes, toujours à la recherche de métriques pour valoriser leurs résultats face aux pesanteurs de l’ancienne économie. Selon une récente étude du Centre pour l’innovation, la technologie et la stratégie numériques de l’école de gestion Robert H. Smith de l’université du Maryland, Facebook aurait permis de créer entre 180 et 240 000 emplois indirects aux Etats-Unis grâce au développement de l’édition d’applications, rapporte L’Expansion. Selon une étude du cabinet Deloitte – commanditée par Facebook., sic – citée par Philippe Escande des Echos, l’écosystème de Facebook en aurait créé 232 000 en Europe (soit 22 000 emplois en France et 1,9 milliard de chiffres d’affaires). Innovation localisée ou innovation mondialisée ? Hubert Guillaud

Imprimer le réel à portée de main Les imprimantes 3D, c'est-à-dire des machines capables de fabriquer des objets, intéressent désormais de puissants investisseurs, comme l'un des fondateurs d'Amazon. La démocratisation de ces machines ne relève plus de l'utopie. Fin août, MakerBot Industries, un des principaux fabricants d’imprimante 3D grand public, a levé [en] 10 millions de dollars. À ses débuts en 2009, la société avait 75.000 dollars en poche. Dans son tour de table, Jeff Bezos, un des fondateurs d’Amazon. La petite entreprise y croit : l’impression 3D va connaître une destinée similaire au PC, devenir un outil grand public, et MakerBot Industries compte bien s’en donner les moyens : Nous embauchons pour faire grossir notre équipe et démocratiser la fabrication et rendre l’impression 3D plus accessible à tout le monde ! Elles vous permettent de construire des objets physiques à partir d’un modèle virtuel, conçu grâce à un logiciel de conception assistée par ordinateur (CAO). Une technique à parfaire Images Cc Flickr

Imprime-moi une révolution (industrielle) Les marxistes doivent avoir le sourire. Ces dernières semaines, on a vu fleurir dans la presse des articles prédisant l’arrivée de la troisième révolution industrielle. Sous les projecteurs, une machine qui permettrait à tout un chacun de se réapproprier les moyens de production. Rien que ça. Et ceci serait rendu possible par... une imprimante ! Les personnes qui ne sont pas familières du mouvement Do it Yourself (DIY –Faites-le vous-même) doivent se gausser de telles affirmations. Les machines en question sont des imprimantes tridimensionnelles. Sauf qu’au lieu de sortir un dessin sur une feuille de papier, la machine va réaliser un objet en 3 dimensions en venant déposer des fines couches de matière les unes sur les autres. Ont ainsi été fabriqués des jouets, des engrenages ou encore des pièces de remplacement pour une machine à laver. Mais c’est la démocratisation récente de cette machine qui a suscité l’intérêt des technophiles. Une utopie de geeks? Impressionnant non? Emmanuel Daniel

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