Sexualität: Uns fehlt die Sprache, ehrlich zu sagen, was wir im Bett wollen Sexualität: Die Angst, Nein zu sagen Seite 2/4: In Statistiken tauchen diese Grauzonen-Erlebnisse nicht auf, weil sie nicht klar zu definieren sind. Man weiß nur, dass etwa 13 Prozent der Frauen in Deutschland zumindest ein Mal sexuelle Gewalt im strafrechtlich relevanten Sinn erlebt haben. Die Grenze zwischen dem einen und dem andern ist fließend, es gibt Frauen, die sich missbraucht fühlen, auch wenn keine Vergewaltigung stattgefunden hat. Warum aber haben so viele Frauen Grauzonen-Erfahrungen gemacht, in denen sie sich ohne äußeren Zwang auf Sex mit einem Mann einließen, den sie nicht wollten? Anfang der neunziger Jahre machten amerikanische Feministinnen dafür vor allem noch die Männer verantwortlich. Heute, so hat man den Eindruck, machen die Frauen nicht mehr ausschließlich die Männer verantwortlich. Obwohl man jede Menge Frauen findet, die so etwas erlebt haben, findet man auf Anhieb übrigens keine dazugehörigen Männer, die darüber sprechen wollen.
Vous avez un problème avec l’égalité ? Bon c’est pas tout ça les vacances, mais faudrait peut-être s’y remettre. Au-delà du petit carnet de voyage improvisé que je vous ai fait partager, il faut que je vous raconte. L’été, c’est un espace concentré de rencontres en tous genres. Des gens qu’on ne rencontre pas d’habitude. Soit ils habitent à l’autre bout de la terre, soit on a soigneusement fait en sorte de ne pas trop les croiser. Mais bon, là, c’est les vacances. Bref, entre le premier et le dernier contact (de nature aussi variée comme quand c’est les vacances quoi), il se passe plein de trucs passionnants. « Ah, ouais non le féminisme c’est pas trop mon truc… » Le militant-e-s féministes ne seront pas surpris-es. « Le féminisme c’est juste du paraître, faire semblant d’être parfait. » C’est peut-être la moins stupide des interrogations. « Mais t’es maso non ? Evidemment : si je suis féministe, c’est parce que j’aime souffrir. « J’ai rien contre les femmes mais… » et sa variante plus connue : « j’aime les femmes mais… »
Les femmes, ces hystériques - Reika's place Vendredi 21 septembre 2012 5 21 /09 /Sep /2012 09:15 Il y a un truc qui m'exaspère un peu chez certains hommes : cette propension à balayer d'un revers de la main les colères et protestations des femmes avec cette justification merveilleuse que serait cette prétendue hystérie inhérente à la nature féminine. Ainsi, ils ne diront pas d'une femme qu'elle se fâche, ou qu'elle se met en colère. C'est très pratique parce que ça leur permet de nier complètement qu'il puisse y avoir le moindre soupçon de bien fondé dans n'importe laquelle des colères qu'une femme pourrait éprouver. C'est une façon assez efficace de réduire au silence. Et puis, si c'est pas l'hystérie, ce sont les règles. De toute façon, on ne peux pas juste être triste, blessée ou en colère, non. Alors moi j'ai envie de dire à ces hommes : si je suis chiante c'est parce que quelque part, tu me fais chier, et je te le rends bien.
Patrick Steward Ranked: Disney Princesses From Least To Most Feminist It's hard to be liberated in a clamshell bikini. by Sonia Saraiya I just saw Brave, and it got me thinking about the grand tradition of Disney princesses. Brave is a Pixar movie, and its heroine, Merida, is a fairy-tale feminist. Disney princesses for the most part, are not. Most need to be rescued by their male love interests; almost all the Disney Princess movies end in marriage or engagement. Now, I know ranking anything by perceived feminism is problematic, as your professor might put it, but go with me for the sake of discussion. 10. The early Disney films were all strange fables with beautiful scenery and women who made no choices for themselves; Sleeping Beauty is the apex of these. 9. Yeah, about all that sleeping... well, Snow White also conveniently falls asleep for much of this film, and waits to be rescued by a Charming (but otherwise featureless) prince. 8. Cinderella can't catch a break. 7. 6.
être conscient du confort d'être un "homme féministe" Le girly et le marché , et plus précisément de la façon dont il contribue à l'auto-dénigrement des femmes. Reste à savoir ce qui fait la popularité de ce terme. C'est là que j'interviens, avec mon habituelle obsession pour les mécanismes de marché. valérieCG part de cet article de Rue89 à propos d'un site subtilement intitulé FootPouf : un site qui, comme son nom le laisse deviner dans un soupir de désespoir, se propose d'expliquer le foot aux femmes. Le tout est rose et explique que, bien évidemment, les mecs pensent leur temps avachis devant la télé à boire de la bière en matant des poilus qui courent après une balle. Je prends toujours ce genre de chose pour une insulte personnelle, mais passons. Des questions légitimes, mais pourquoi parler de « poufs » ? La réponse, à mon avis, se trouve à un autre endroit de l'article, au début précisément (grasé par mes soins) : Pendant l’Euro, le site a fait parler de lui, dans les médias et sur Twitter.
Calmez vos balls. Les attributs du pouvoir et leur confiscation aux femmes. Le genre et la parole. Partie 1 : l’occupation de l’espacePartie 2 : le temps de parole et le choix des sujets de conversation Partie 3 : l’expression de la colère Nous avons vu que les hommes – ou du moins les personnes masculines – occupaient plus d’espace que les personnes féminines. Nous allons voir maintenant comment se répartit le temps de parole entre les genres. Je vous renvoie d’emblée à cet article très intéressant « La répartition des tâches entre les femmes et les hommes dans le travail de la conversation » de Corinne Monnet. Avant de continuer plus loin, je voudrais expliquer les « règles du jeu » de la conversation, comme les ont définies Sacks H., Schegloff E. et Jefferson G. Il existe donc des « violations » de ces règles de fonctionnement, qui sont les interruptions, mais aussi les silences – les chevauchements ont été plutôt interprétés comme des dysfonctionnement du système2-. Selon un mythe bien ancré, les femmes parleraient plus que les hommes. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13.
Tous les hommes sont des connards Oui mec, tous les hommes sont des connards, va falloir t’y faire. Et je dis pas ça au douzième degré pour railler les féministes misandres1 qui font rien qu’à exagérer et faire des amalgames. Je suis très sérieux là: les hommes sont des connards, toi tu es un connard, moi je suis un connard, et peut-être qu’à un moment faut voir la réalité en face et se dire que merde, y a un truc qui va pas. En quoi est-ce que tu es un connard, tu demandes, et comment je peux affirmer ça alors que je te connais même pas? C’est une question de définitions. Par exemple une définition contemporaine du connard ce serait un mec qui, individuellement, fait de la merde et nuit aux gens autour de lui. Ben moi, je me permets une définition à peine différente. La belle affaire! L’étendue de l’oppression sexiste est documentée, de même que de nombreuses formes de participation concrètes des hommes à cette oppression. Amalgame toi-même Ça veut dire que oui, tous les hommes participent à l’oppression sexiste.
L’influence des femmes sur le Net ou l’art de l’auto-sabotage Si vous êtes un(e) habitué(e) de Twitter, vous avez sans doute entendu parler de Klout qui a fait grand bruit récemment sur le site de microblogging. Pour les non-initiés, il s’agit d’un outil de mesure de l’influence sur la toile qui attribue aux utilisateurs un score entre zéro et 100. Capture d'écran du site Klout.com Cette note est calculée à partir de 35 variables (nombre de followers et d’amis, écho donné à vos publications, taille de l’audience engagée…). Afin de créer l’événement autour de cet outil et générer du trafic, le site Minutebuzz a établi à partir de ces scores un "Top 100 des personnalités les plus influentes en France". Un classement Klout très testosteroné ! Partagée entre circonspection et curiosité, je suis allée jeter un coup d’œil sur ce classement. Le seul hic, c’est qu’à l’instar des médias traditionnels, ceux qui sont surreprésentés dans ce Top 100, ce sont les hommes ! 539 bios Twitter comme sujet d’enquête Pourquoi m’intéresser à la bio ? Zhao !
Feminist Disney hmmm this is an interesting continuation of the “how to let kids be kids” argument from yesterday. I get what you’re saying but I also think there is a LOT going on in that moment, and once again, the solution of “just act like you can’t see your kids and let them do whatever they want” is sort of ignoring the overarching social context that kids are never removed from, even if we think they should be. I haven’t seen the special and the referencing is likely too vague for me to find it among a hundred clips of her, so I will infer that Wanda, as a black child, is acting as most children do, misbehaving or making funny faces, whatever Mother sees child doing this, does not want child to reinforce a certain idea of “what black people are like” to white people watching the child. I will assume her mother is also black, since I couldn’t find much info about Wanda’s family online. A new Stanford University study predicts that the black student will be punished more harshly.
Girly is the new débile. Je suis tombée sur cet article via Raminagrobis. Je reste toujours assez stupéfaite de l'immense capacité des femmes à s'auto-dénigrer. Le foot est effectivement davantage suivi par les hommes et il était plutôt pertinent de créer un site destiné aux femmes afin de leur enseigner quelques termes footballistiques. Il était même opportun, soyons fou, de genrer le mesage en prenant un ton "entre filles". Pourtant ce qui m'a le plus gênée dans l'article est cette phrase "Le tout est volontairement raconté sur un ton léger, très girly.". Sophie Gourion avait très bien expliqué la capacité des femmes à s'autodénigrer. C'est ainsi que mécaniquement les femmes vont avoir tendance à aborder - lorsqu'elles le font ce qui est rare - la plupart des sujets sur un ton léger, ton qu'on associe maintenant à leur sexe en parlant de ton "girly" (non il n'y a pas de "ton boyish") ; ton souvent un peu niais, tendance ados attardées faisant une soirée pyjama.