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Les dispositifs créatifs en questions (2/2) : les limites à la créativité collective

Les dispositifs créatifs en questions (2/2) : les limites à la créativité collective
On pourrait imaginer ainsi des Mix s’appliquant à d’autres objets que le musée. En ce sens, MuseoMix n’est qu’un dispositif parmi bien d’autres. Les Barcamps, les Hackathons, les ateliers créatifs, les interventions d’équipes de designers dans le champ de l’innovation sociale (et au-delà), les résidences de la 27e Région, les concours avec des développeurs qu’organisent les collectivités territoriales (comme celui de Rennes qui fut le premier en France) voire même l’Etat (Dataconnexions), les journées de créativités que de plus en plus d’entreprises fomentent avec leurs employés, leurs clients ou des développeurs… (celles organisées par la SNCF – le hackhaton des cheminots – par exemple ou la RATP… auxquelles on pourrait ajouter toutes les journées réservées aux développeurs des grands acteurs de l’informatique, allant de Facebook, Google à Mozilla)… voire même aux évènements qu’organisent des acteurs indépendants pour d’autres sociétés comme le font BeMyApp. Hubert Guillaud

Méthodes agiles : la conception logicielle appliquée au monde physique Par Fabien Eychenne le 31/10/12 | 15 commentaires | 15,887 lectures | Impression Depuis une quinzaine d’années, la majorité des développements de logiciels s’appuie sur des méthodes dites “agiles”. Sous cette bannière se regroupent plusieurs méthodes basées sur un développement itératif et incrémental, dans lequel la recherche de solutions aux problèmes rencontrés s’appuie sur la collaboration de pair à pair. Elle promeut des réponses rapides et flexibles, une planification des tâches adaptatives dans des laps de temps très courts permettant une très grande réactivité. L’objectif central est de trouver de meilleurs moyens de développer des logiciels. Le 4 octobre 2012, à l’Ecole nationale de création industrielle (Ensci), Joe Justice donnait une conférence et un atelier sur le thème des méthodes agiles (voir la vidéo de son intervention). Image : Joe Justice au OuiShare Talk de l’Ensci, photographié par Stan Jourdan. L’agilité ou la rentabilité ? Les techniques de conception agile

les dispositifs créatifs en questions (1/2) : ce que la créativité libère Il n’est pas toujours facile de montrer aux gens qu’on peut innover simplement et rapidement – surtout dans des secteurs qui paraissent, a priori, rétifs à l’innovation. Nos routines quotidiennes nous empêchent bien souvent de trouver des solutions pour faire les choses autrement. Cela ne signifie pas qu’il faille faire tout ce que l’on fait autrement, mais interroger nos pratiques permet toujours d’introduire des moments de réflexivité pour tenter de les améliorer. D’où l’idée, ravivée notamment par les premiers Barcamps ou les interventions de designers dans le champ de l’innovation sociale, de créer des évènements, pour imaginer faire autrement… et le montrer concrètement. C’est, il me semble, le véritable enjeu de MuseoMix, un évènement dont la 2e édition se tenait du 19 au 21 octobre 2012 au musée Gallo-romain de Lyon, qui est un bon exemple pour questionner les dispositifs créatifs, en comprendre leurs forces et leurs limites. Dispositifs créatifs : l’exemple de MuseoMix 1.

instrumentos le nouveau monde de l’intimité numérique Par Hubert Guillaud le 15/09/08 | 7 commentaires | 7,225 lectures | Impression Le journaliste Clive Thompson, pour le New York Times, revient sur le Nouveau Monde de l’intimité numérique et détaille comment le News Feed de Facebook a transformé notre rapport aux sites sociaux, faisant d’un coup apparaître à tous, ce qu’il s’y cachait, révélant l’activité en ligne de chacun (voir ce que nous en disions à sa sortie). C’est ce que les chercheurs appellent la “sensibilisation ambiante”, c’est-à-dire ce contact en ligne incessant qui permet d’avoir toujours un oeil sur l’humeur d’un ami en surveillant la moindre de ses actions en ligne, du coin de l’oeil. Le paradoxe de cette intimité ambiante est que “chaque petite mise à jour – chaque bit d’information individuel – est insignifiante en soit. Facebook et Twitter ont poussé les choses jusqu’à l’excès, mais l’idée d’utiliser nos outils de communication pour développer des formes de coprésence n’est pas nouvelle, explique-t-il.

#OAbooks in the HSS: Contexts, Conversations, Technologies and Communities of Practice | OPEN REFLECTIONS Last week I attended the first major conference entirely dedicated to Open Access books in the HSS, in the British Library, organised by OAPEN and JISC. The two-day conference had a fantastic line-up of keynote speakers, established and new experimental projects in open access book publishing, and practical strands on funding, publishing for scholars and the Open Access supply chain. The atmosphere was great, attendance high and everything looked very promising. Underneath my notes to some of what I thought were the highlights of the conference: the talks by Jean-Claude Guédon and Kathleen Fitzpatrick, and the showcases by the Open Library of the Humanities, the Hybrid Publishing Lab, and Mpublishing. But there were many other interesting talks, such as Cameron Neylon’s keynote, showcases by Open Book Publishers, OpenEdition, etc. etc. I also gave a talk at the conference: Find a reputable OA publisher – Directory of Open Access Books (DOAB). Context trumps content Dynamic Publishing

technologies et coopération Internet ne nous rend pas seul, soulignions-nous dernièrement. Mais en quoi nous aide-t-il à coopérer entre nous ? Dans son nouveau livre, Ensemble : les plaisirs rituels et la politique de la coopération (Amazon, extraits), le sociologue Richard Sennett, enseignant à la l’école d’économie de Londres et à l’université de New York, s’est intéressé à la coopération. Pour comprendre pourquoi elle se produit – et parfois, pourquoi elle ne se produit pas. Après Craftman (L’artisan, traduit en français sous le titre Ce que sait la main : La culture de l’artisanat), qui s’intéressait à l’impulsion innée que nous avons à bien faire les choses, ce livre est le second d’une trilogie (baptisée homo faber) sur les compétences dont les humains ont besoin pour une coexistence heureuse (le suivant, annoncé, portera sur les villes). La valeur de la coopération réside dans l’informel Face à la crise, estime le sociologue, les règles formelles s’avèrent souvent insuffisantes. Dialectique contre dialogique

L'affordance des livres numériques Joseph Esposito a publié le 18 janvier un texte important sur un blog (« The scholarly kitchen ») où il s’interroge sur la nature des livres numériques. Il commence par faire remarquer que nous avons tendance à considérer le livre comme un pur esprit, exportable de supports en supports (iPad, iPhone, Galaxy Tab, Kindle etc.), de systèmes d’exploitation en systèmes d’exploitation. Mais nous avons tort. Car un livre est aussi contraint par un contenant/format qui influe sur son écriture et impose sa lisibilité. Rien de révolutionnaire, c’est une vieille idée : un livre est une forme (pages reliées, codex) et un discours de l’esprit (définition de Kant), qui s’incarne dans des genres différents susceptibles d’en marquer l’élaboration. Joseph Esposito distingue ainsi 6 formats de livres numériques : Le livre institutionnel : c’est le livre homothétique, la version PDF d’un livre papier, totalement figé, et qui n’est pas prêt de disparaître (1. Deux remarques :

comment exploiter le crowdsourcing Par Rémi Sussan le 20/07/11 | 1 commentaire | 2,385 lectures | Impression Edial Dekker est le cofondateur du groupe “hacker le gouvernement“, le plus important mouvement hollandais sur l’open data. Aujourd’hui, il dirige également Gidsy, une startup qui promet un “marché de l’expérience authentique”. Derrière cette appellation curieuse se cache, en fait, un service collaboratif où chacun peut proposer à ses pairs de partager une expérience touristique, par exemple organiser une activité typique, ou essayer de nouvelles recettes de cuisine locale, etc. “Nous avons des problèmes” a expliqué Dekker sur la scène de Lift : on se remet difficilement d’une crise économique, nos ressources naturelles s’épuisent et la mondialisation elle-même a probablement ses limites. La question est donc de recréer de nouvelles manières d’apprendre et de consommer, comme celles que prône Tom Hodgkinson dans son livre Brave Old World. Rémi Sussan

Google Scholar Citations is now open to everyone. It shows great promise as a free, reliable way to track and compare academic impact over time. Google is once again making progress in organising the world’s information, this time by systematising the way scholarly citations are noted. Professor Patrick Dunleavy creates his Google Scholar profile and finds the process intuitive, helpful, and a welcome alternative to traditional measures of academic influence. After a ‘quiet launch’ over the summer Google has opened up its Google Scholar Citations capability to everyone. It is early days but the added value so far seems to be Google’s inclusion of books, conference papers and even blog posts that are not captured by the traditional citation tracking systems but are now crucial outputs in the social sciences. Google’s instructions make the process of building a profile as painless as possible. I was then asked to verify a list of my publications, a process which was incredibly quick and easy, taking only a few minutes (some academics with more common names may find the process takes slightly longer).

vie privée : le point de vue des “petits cons” Nombreux sont ceux qui pensent que les jeunes internautes ont perdu toute notion de vie privée. Impudiques, voire exhibitionnistes, ils ne feraient plus la différence entre vie publique et vie privée. Et si, a contrario, ils ne faisaient qu’appliquer à l’internet ce que leurs grands-parents ont conquis, en terme de libertés, dans la société ? Dans « La vie privée, un problème de vieux cons ?« , je dressais un parallèle entre la façon désinhibée qu’ont les jeunes internautes de se dévoiler sur le Net et la révolution sexuelle, et me demandais si ceux qui sont gênés par cette façon décomplexée de s’exprimer ne seraient pas un peu coincés. Au-delà des problèmes d’inhibition des « vieux cons« , il est difficile d’aborder la question sans essayer de regarder de plus près comment, et pourquoi, les jeunes qui ont grandi avec le Net évoquent ainsi leurs vies privées dans des espaces publics. La vie privée ? Dans l’arène publique, ou via une interface technique. Une génération « rock’n roll »… 1.

CLASIFICACIÓN CIRC – 2012 ed. | EC3metrics Integrado por las revistas científicas de mayor nivel. Pertenecerían al mismo las revistas internacionales de mayor prestigio que han superado procesos de evaluación muy exigentes para el ingreso en diferentes bases de datos. • CRITERIO A1: Indexadas en Science citation index, Social sciences citation index o Arts & humanities citation index • CRITERIO A2: Indexadas en las listas European reference index for the humanities (European Science Foundation) con un calificación de INT1. Compuesto por revistas científicas españolas de calidad pero que no alcanzan un alto nivel de internacionalización aunque son revistas que reciben cierto grado de citación y que respetan los estándares de publicación. • CRITERIO B1: Indexadas en el primer cuartil según promedio de citas de cualquiera de las categorías del Índice de impacto de las revistas españolas de ciencias sociales o del Índice de impacto de las revistas españolas de ciencias jurídicas (Grupo EC3). • CRITERIO B3. • CRITERIO B4.

écrire la rue : de la survie physique à la résistance au stigmate Un auteur singulier : le parcours « improbable » d’Albert Vanderburg Les journaux en ligne : l’intimité accessible à tous Une grande diversité d’auteurs et de journaux Pourquoi écrire, ou cesser d’écrire, son journal en ligne ? Une relation ambiguë aux lecteurs Les lecteurs familiers Les lecteurs inconnus La présentation de soi dans la vie en ligne Un retour différé, mais une plus grande maîtrise des contenus Les Contes de la Panthère Une analyse textuelle du journal d’Albert Vanderburg De l’année du Bœuf à l’année du Dragon La méthode Alceste : à la recherche des mondes lexicaux Des besoins matériels, mais aussi intellectuels et affectifs Les mondes lexicaux du corpus « The Panther’s Tale » Un lieu pour passer la nuit Argent, alcool et tabac : le « jeu » du supermarché Se nourrir Le jugement artistique La vie affective et sexuelle Le sens de la vie L’évolution dans le temps La résistance au stigmate Sales, alcooliques et parasites Le contournement, le dégagement et la défense Conclusion

Curso 4º ed, cómo publicar en revistas científicas de impacto cons...

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