en espagnol
Débit (psychologie)
Concentrating on a task is one aspect of flow. In positive psychology, flow, also known colloquially as being in the zone, is the mental state of operation in which a person performing an activity is fully immersed in a feeling of energized focus, full involvement, and enjoyment in the process of the activity. In essence, flow is characterized by complete absorption in what one does, and a resulting loss in one's sense of space and time. Flow shares many characteristics with hyperfocus. However, hyperfocus is not always described in a positive light. Some examples include spending "too much" time playing video games or getting side-tracked and pleasurably absorbed by one aspect of an assignment or task to the detriment of the overall assignment. Just as with the conditions listed above, these conditions can be independent of one another. Ideas similar to flow have been recognized throughout history and across cultures. Schaffer (2013) proposed 7 flow conditions: Further, he writes: Notes
La pensée de Victor Frankl et notre temps
1 . Voir Y. Pélicier (éd.), Les Écoles de Vienne, Paris, 1988, avec une contribution sur Frankl de F. (...) 1Il y a un siècle, Vienne était, à côté de Paris et de Berlin, une capitale célèbre de l’Europe culturelle. Dans toutes les disciplines, des ruptures avec la tradition des convictions et valeurs s’y produisaient, comme par exemple la sécession esthétique avec Klimt, la musique nouvelle avec Schönberg, l’architecture fonctionnel avec Loos ou l’installation d’une nouvelle pensée anti-métaphysique par le Cercle Logique de Vienne (Carnap, Wittgenstein) d’une part et de la psychanalyse d’autre part 1. 2 . 2Or, dès ses débuts, on trouvera chez Frankl trois concepts-clés : logos, éros et éthos, qui définissent, à la fois sur les plans philosophique et psychothérapeutique, ce qu’il appelle, à ce moment déjà, la « vocation » ou la « mission » de chaque individu 2. 3 . 5 . 7 . 8 . 12Cela amène à une troisième observation pour notre temps. 9 . 10 .
Identité (sciences sociales)
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Identité. L’identité de l'individu est, en psychologie sociale, la reconnaissance de ce qu'il est, par lui-même ou par les autres. La notion d'identité est au croisement de la sociologie et de la psychologie, mais intéresse aussi la biologie, la philosophie et la géographie. Erik Erikson conçoit l'identité comme une sorte de sentiment d'harmonie : l'identité de l'individu est le « sentiment subjectif et tonique d'une unité personnelle et d'une continuité temporelle » (1972). Jean Piaget insiste sur la notion de socialisation de l'individu à travers une intériorisation des représentations sociales, principalement par le langage[1]. La notion de construction d’identité sexuée fait référence à la manière dont l’enfant prend conscience qu’il est un garçon ou une fille, et se construit une représentation de son rôle sexué. Dans son acception numérique, l’identité répond à une perspective essentialiste.
Estime de soi - La construction identitaire Accompagnement des enfants Le métier d'EJE - Passerelles EJE
2. Construction identitaire de l’enfant. Ce sont les enfants qui m’ont amenée à m’interroger et à approfondir la problématique de la construction identitaire de l’enfant et plus particulièrement l’estime de soi . A. L ‘individu construit son identité par étapes, au cours d’un long processus qui s’exprime de la naissance à l’adolescence. En psychologie du développement, Wallon ,psychologue, situe entre 3 et 6 ans le stade du personnalisme. La période d’opposition : Située entre 3 et 4 ans environ est marquée par les fréquentes oppositions de l’enfant aux demandes de l’adulte qui contribue à l’affirmation de sa personnalité. De 2 à 6 ans, l’enfant accède à l’expression symbolique de son rapport au monde extérieur. Le narcissisme Le narcissisme se met en place dès les premiers moments de la vie, quand l’enfant prend peu à peu conscience de son existence. B. a) Reconnaissance de soi L’enfant doit tout d’abord apprendre à se connaître avant de se reconnaître (estime de soi). b) Image de soi
Théorie des intelligences multiples
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La théorie des intelligences multiples suggère qu'il existe plusieurs types d'intelligence chez l'enfant d'âge scolaire et aussi, par extension, chez l'Homme. Cette théorie fut pour la première fois proposée par Howard Gardner en 1983. L'origine de la théorie[modifier | modifier le code] Lorsque Howard Gardner publia son livre Frames of Mind: the Theory of Multiple Intelligence en 1983, il introduisit une nouvelle façon de comprendre l'intelligence des enfants en échec scolaire aux États-Unis. Les diverses catégories d'intelligence pour Howard Gardner[modifier | modifier le code] L’intelligence logico-mathématique[modifier | modifier le code] Les personnes qui ont une intelligence logico-mathématique développée possèdent la capacité de calculer, de mesurer, de faire preuve de logique et de résoudre des problèmes mathématiques et scientifiques. L’intelligence spatiale[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]
Cours Lyon 2
Université Lumière Lyon 2 Institut de Psychologie Accueil » Ressources » Cours Cours Comment lire les fichiers au format "PDF" ? Pour pouvoir lire les fichiers au format "PDF" il vous faut le logiciel gratuit Adobe Reader. » Lire la suite Licence de Psychologie : 1ère année » Lire la suite Licence de Psychologie : 2ème année » Lire la suite Licence de Psychologie : 3ème année » Lire la suite Master Psychologie : 1ère année » Lire la suite Master Psychologie : 2ème année » Lire la suite Licence de Sciences Cognitives : 1ère année » Lire la suite Licence de Sciences Cognitives : 2ème année » Lire la suite Licence de Sciences Cognitives : 3ème année » Lire la suite Master de Sciences Cognitives : 1ère année » Lire la suite Master de Sciences Cognitives : 2ème année Pour l’instant il n’y a pas de support de cours disponible. » Lire la suite Formation Continue » Lire la suite Ressources Dernière mise à jour : 11/04/2014 Plan du site Portails :
Cours de Strasbourg
Quand rien ne va plus, faut-il partir ou rester?
Le couple en question Reproches, désaccords, manque de tendresse, absence de complicité... Après huit ans de vie commune, le couple de Francine, 38 ans, n'en mène pas large. «Ce sont des déceptions réciproques qui ont peu à peu miné notre confiance et notre admiration mutuelle, raconte-t-elle. Nous avons voulu éviter des sujets délicats pour ne pas créer de discorde, mais maintenant, chaque contact est risqué et nous sommes toujours sur la défensive.» Si elle se rappelle leurs débuts avec tendresse, aujourd'hui, envahie par la peine et la colère, elle est hantée par ce lourd questionnement: «Dois-je partir ou rester?» Disons d'abord que, selon Sheryl Gaudet, travailleuse sociale et psychothérapeute conjugale et familiale, ce sont les femmes qui sont le plus susceptibles de vivre une «dépression du couple» qui les mènera à une remise en question. La psychologue Élise Castonguay note certaines trames récurrentes chez les clientes qui la consultent pour des problèmes conjugaux.
merci ! cette ressource me sera très utile ! by acantaloube Jan 11