Serveur vocal C'est quoi Mumble ? Mumble est une solution libre et gratuite qui permet de mettre en place sur le net des réunions, des meetings, des débats, en commun. Une brique dans la démocratie liquide qui nous est si chère. Avec un pc, un casque, et un micro, une connexion internet, vous serez en mesure de participer, d'animer, ou de mettre en place, des réunions de travail, d'information, ou simplement une discussion entre amis. Le Parti Pirate maintient un serveur Mumble accessible gratuitement à tous, et pour tous, dans cet objectif. Connexion au serveur vocal Mumble Téléchargez et installez le logiciel Mumble ( puis utilisez les informations suivantes pour vous connecter. Serveur Nom du serveur : Parti Pirate Adresse : mumble.partipirate.org Port : 64738 Pseudo : Votre pseudo Mot de passe (demandé après la connexion) : membres (oui, c'est ça, il faut juste taper: membres) (le nouveau port doit être ouvert of course...) Ancien serveur a utiliser en cas de panne :
Une ville renoue avec la démocratie directe. Résultats : 0 chômage, 0 violence… et 0 misère !!! | l1D A Marinaleda (Espagne), les jeunes qui veulent construire une maison peuvent même bénéficier gratuitement des matériaux, d’un architecte et de maçons ! Quand on pense aux utopies, on pense souvent à des expériences ratées par le passé. A tort ! Car il existe aussi des tentatives contemporaines qui présentent toutes les caractéristiques du succès ! Grâce à une approche nouvelle de l’économie et à un retour aux fondamentaux de la démocratie, cette ville andalouse de 2 778 âmes ne connaît ni chômage, ni police, ni délinquance. Pour comprendre le succès de cette commune à part, il faut remonter quelques années en arrière. Crédit photo : Wikipedia Ce militant, convaincu depuis toujours que le capitalisme n’est pas une fatalité, a tout d’abord mené le combat contre le plus grand propriétaire terrien de la région : le duc de l’infantado. A Marinaleda, toutes les décisions du village sont soumises à la démocratie directe (la véritable démocratie). Source : +Positiver Le 04/12/15 by Francky
Cooperativa Integral Catalana: CHRONIQUE DE L’ANNÉE 2013 : Où en sommes-nous et vers quoi allons-nous ? Samedi 14 décembre se déroulait le bilan collectif de l’année 2013, au cours des journées de l’assemblée XL de la CIC, célébré à l’espace Eco-Nens, à Cerdanyola del Vallès. Nous avons décrit le chemin parcouru par la Coopérative Intégrale Catalane au long de l’année 2013, d’où nous sommes et la direction que nous prenons. Où en sommes-nous et vers quoi allons-nous ? COOPERATIVE INTEGRALE CATALANE. Décembre 2013 Introduction Nous avons introduit dans ce texte, une description du chemin parcouru par la Coopérative Intégrale Catalane tout au long de l’année 2013, à partir de là où nous en sommes et de la direction que nous prenons. Cette année, nous avons continué à consolider le processus d’auto-organisation de la CIC. Durant cette année, la CIC a attribué et redistribuées quelques 20 000 unités monétaires chaque mois, en Euros comme en Ecobasics3 vers les besoins et priorités communs. Nous sommes à ce jour environ 1700 personnes à prendre part à la CIC. Système public coopératif
Accueil Une oasis coopérative dans un monde néolibéral : le village utopique de Marinaleda en Espagne Des maisons autoconstruites à 15 euros par mois, un salaire unique pour tous les membres de la coopérative, des assemblées générales pour décider de la politique communale : Marinaleda, petit village andalou de 2 770 habitants, tente depuis 35 ans de maintenir un système politique, social et économique qui place l’intérêt de ses citoyens au cœur des décisions. La nouvelle génération saura-t-elle poursuivre l’utopie mise en œuvre par les anciens ? Cet article a initialement été publié dans le magazine Lutopik. Dans les années 1970, Marinaleda, dans la province de Séville, en Espagne, était un village en ruine, dont la population majoritairement au chômage devait vivre dans des conditions particulièrement difficiles. À la fin de la dictature de Franco en 1975, ses habitants commencent à se réunir pour débattre des conditions de vie dans le village et des injustices sociales auxquelles ils sont confrontés, comme l’ensemble des journaliers d’Andalousie. Une démocratie participative
Cooperativa d'Autofinançament Social en Xarxa (CASX) — Banca cooperativa, assembleària, autogestionada i sense interessos Face à la vulnérabilité de nos sociétés, ce que porte la Décroissance » Les conditions environnementales déterminent les conditions sociales. Si l’on pense la question de l’accès aux ressources naturelles et aux biens communs, on discerne le lien indissociable entre écologie et justice sociale. La vulnérabilité des individus que nous connaissons et acceptons dans la nature ne correspond pas avec une certaine idée que nous nous faisons de la démocratie lorsque cette première est produite par le collectif. Ce qui était de l’ordre du naturel, ce que Darwin appelait « sélection naturelle », est devenu structurel dans les sociétés humaines. Quelle légitimité accorder à ce mécanisme darwinien dans le cadre de la justice sociale ? Dans notre système capitaliste et productiviste, les riches transfèrent leurs dommages environnementaux aux pauvres. Prenons le temps de considérer l’homme avec ce qui l’environne. Toute l’astuce est de trouver à présent, la (les) voie(s) pour concilier la réduction de la pauvreté avec le bien-être à court et à longs termes. A voir :
Emmaüs Lescar-Pau Permaculture Principles Répartir équitablement le travail, mais aussi les revenus : l’utopie d’une ferme devenue réalité La journée commence autour de la grande table. Pain, confiture et fromage circulent. À chacun son rythme, comme un lundi. Il est bientôt 8 h, chacun va commencer sa semaine de travail. Les bancs se remplissent, les paupières et les langues de la dizaine de convives se délient peu à peu. Quelques mots partagés avec le voisin, échanges multiples qui peu à peu se réduisent à quelques sujets de conversation autour de la table : le groupe est en train de se réveiller à son tour. Tout a commencé par un "chiche" de fin de soirée Nous sommes à la ferme de la Tournerie, à 50 km au sud de Limoges. Aujourd’hui, ils y font pousser des légumes, paître vaches, y élèvent chèvres et cochons, y fabriquent des produits laitiers, de la bière et du pain. « La première réunion où l’on a évoqué le projet, c’était en 2010 », explique Thomas G. « De chacun selon ses moyens, à chacun selon ses besoins » L’utopie ne s’improvise pas Mais l’utopie ne s’improvise pas. Fabien Ginisty
Marinaleda : un modèle d'auto-gestion unique en Europe -- Andrea DUFFOUR Depuis l’alerte google Alternatives au capitalisme j’ai récemment découvert l’existence de MARINALEDA, une commune de 2645 habitants en Andalousie « où Marx vivrait s’il était encore en vie, avec zéro chômage, zéro policier et des habitations à 15 euros par mois » (1). Une alternative au capitalisme réalisée à moins de 2000 km de chez nous et qui fonctionne depuis plus de 30 ans sans que je n’en aie jamais entendu parler ? A la première occasion, c’est donc sac à dos, train, bus et autostop que j’irai pour vérifier si cette belle utopie existe vraiment… Comme c’est Pâques, je tombe en pleine Semana Santa. J’apprends que la fête de la paix qui tombe durant la Semaine Sainte y est effectivement une tradition depuis plusieurs années et beaucoup de jeunes de Sevilla, Granada ou Madrid ont rejoint les villageois. Le droit à la terre et au travail A la ferme de la coopérative, EL HUMOSO, les associés travaillent 6.5h par jour, du lundi au samedi, ce qui donne des semaines de 39 h. S’organiser
Comment faire prospérer une Amap anarchiste Les Diony-Coop s’inscrivent dans un parcours commencé en 2007 à l’initiative des membres du groupe militant Henry-Poulaille, de la Fédération anarchiste. Il s’agissait alors de créer une université populaire, lieu de partage des connaissances. La Dionyversité a réuni plusieurs milliers de personnes et favorisé l’émergence de cours organisés par le public lui-même. En 2010, le même collectif a porté l’émergence d’une Amap qui a trouvé au bout de deux ans son rythme de croisière avec deux maraîchers distribuant 250 paniers de légumes par semaine. Ainsi, l’association créée pour répondre aux contraintes institutionnelles (assurances, bail, compte en banque) ne devait avoir aucune activité dans le collectif (il n’y a pas de bureau et jamais d’assemblée générale). Privilégier la responsabilité individuelle ou de groupes L’ Amap Court-Circuit. Chaque commission était totalement autonome par rapport à l’ensemble du collectif composé des membres de l’ Amap. Pas de contrôle ni d’informatique