Circulaire n° 86-123 du 13 mars 1986: missions des profs doc Circulaire n° 86-123 du 13 mars 1986 Texte adressé aux recteurs, aux inspecteurs d'académie et aux chefs d'établissement. Références : circulaire n° 77-070 du 17 février 1977 et circulaire n° 79-174 du 9 mai 1979 RLR 523-3b (cédérom 1999-3)BO n°12, 27 mars 1986 La mise en œuvre, dans les collèges et les lycées, d'une rénovation pédagogique qui tienne compte à la fois des objectifs et des contenus des nouveaux programmes, du recours à de nouvelles technologies notamment dans le domaine de l'audiovisuel et de l'informatique, de la nécessité d'ouverture des établissements sur le monde et la société, implique une contribution accrue des centres de documentation et d'information. Les établissements d'enseignement technologique et professionnel doivent tirer parti dans des conditions analogues aux autres établissements des ressources de ces centres. 1. Il prend, par ailleurs, toutes initiatives opportunes pour amener progressivement les élèves à : 2. 3. 4.
Annexes - Circulaire de rentrée 2012 - 7 - Encourager la dynamique pédagogique et l'innovation Accompagner la formation des professeurs Renforcer la formation professionnelle initiale des professeurs L'amélioration de la qualité de la formation initiale, notamment avec le développement de nouvelles compétences professionnelles, s'inscrit désormais dans une perspective large, de la première année de master, voire plus tôt, aux premières années d'exercice du métier d'enseignant. Les académies, dans leurs échanges avec les établissements universitaires, s'attacheront à la mise en place d'une véritable alternance, dépassant la simple juxtaposition des temps de formation professionnelle, pour développer une meilleure intégration de la formation assurée par l'université, de celle prise en charge par les acteurs académiques (tuteurs, formateurs, inspecteurs) et des stages pratiques en écoles ou en établissements. Poursuivre la rénovation de la politique de formation continue des professeurs Accélérer le développement des usages du numérique
Les Bibliothèques troisième lieu Concept encore peu répandu en France, la bibliothèque troisième lieu 1 incarne un modèle phare aux États-Unis, où l’appellation « third place library » fleurit sur la biblioblogosphère et dans la littérature bibliothéconomique. Elle y fait figure de voie d’avenir et semble se matérialiser également dans plusieurs établissements européens, notamment au Royaume-Uni, aux Pays-Bas et en Europe du Nord, où la filiation directe à ce modèle est parfois ouvertement revendiquée, à l’exemple du « Fil rouge », bibliothèque centrale de la ville de Hjoerring, au Danemark, présentée au dernier congrès de l’Ifla 2 (International Federation of Library Associations and Institutions). Si le concept est abondamment utilisé, il reste toutefois peu documenté, peu explicité, et son usage peut connaître des acceptions divergentes. Il paraît donc opportun de se pencher sur ses caractéristiques afin d’en restituer l’essence et de mieux saisir le succès qu’il remporte 3. Qu’est-ce que le troisième lieu ?
Circulaire n° 82-230 du 2 juin 1982 [extraits]: Autonomie et CDI Circulaire n° 82-230 du 2 juin 1982 (Éducation nationale : bureau DC 3) Texte adressé aux recteurs, aux inspecteurs d'académie, directeurs des services départementaux de l'Education nationale et aux principaux de collèges. Les grandes orientations de cette circulaire sont actualisées et réaffirmées dans les notes de service ou les circulaires de rentrée parues les années suivantes Note n° 86-389 du 12/12/1986 [extraits] Note n° 87-359 du 06/11/1987 [extraits] Circulaire n° 93-160 du 16/03/1993 [extraits] Circulaire n° 98-004 du 09/01/1998 [extraits] RLR 524-0 (cédérom 1999-3) BO n° 23, 10 juin 1982 Les textes qui suivent et les propositions qu'ils présentent ont l'ambition d'offrir aux collèges des responsabilités nouvelles pour préparer la mise en œuvre des décisions que le ministre sera amené à prendre à l'issue des travaux de la commission Legrand. Leur succès dépendra en effet largement du climat que l'on aura su instaurer préalablement dans les établissements. 1. 2. 3. Annexe I 1. 2.
Les lieux pour apprendre : repenser l(es) espace(s) scolaire(s) - Les centres de connaissances et de culture Télécharger la vidéo " Du CDI au centre de connaissances et de culture " La transcription du clip Les centres de connaissances et de culture, dits "3C", sont des projets éducatifs et pédagogiques à part entière. Ils s'appuient sur les compétences du professeur-documentaliste, qui peuvent s'appuyer sur les CRDP. Les 3C font cohabiter le livre et le numérique. Ils proposent une approche centrée sur la maîtrise de la langue, en tant qu'appui indispensable aux autres apprentissages. Les centres de connaissances et de culture répondent aux changements qu'ont induit les évolutions technologiques dans l'accès à l'information et aux connaissances. Les centres de connaissances et de culture permettent aussi de décloisonner espaces et temps scolaires, pour donner aux élèves plus d'autonomie dans leur parcours et plus d'occasions de collaborer entre eux. Un centre de connaissances et de culture est un lieu d'accueil.
Le collège Philippe Cousteau en tant que Centre de Connaissances et de Culture Suite à diverses formations et documents reçus au sein du collège de Brienon-sur-Armançon (Yonne), la CPE ainsi que la professeure documentaliste ont jugé intéressant de faire une expérimentation concernant la mise en place du Centre de connaissances et de culture (3C). Ce système de fonctionnement n’est certes pas obligatoire mais leur est apparu comme intéressant pour donner ou redonner du sens au temps hors classe des élèves. Voici comment leur réflexion a été mise en place et ce qu’il en a résulté. Par Ambre Sevic, professeur-documentaliste et Jessica Canu, CPE au collège Philippe Cousteau (Brienon-sur-Armançon, 89).asevic@ac-dijon.fr Le document intitulé « Vers des centres de connaissance et de culture » créé par la DGESCO avait déjà attiré notre regard à toutes les deux et nous avons donc décidé de mener une réflexion quant à ce projet. Où ? Quand ? Le problème actuel réside encore sur cette question puisque nous essayons de mettre à disposition ces endroits à chaque heure. Qui ?