Économie. Quel rôle joue l’Etat lorsqu’il est actionnaire ? Renault-Nissan Le couple Renault - Nissan, allié depuis 16 ans, bat de l’aile. Un haut responsable du constructeur japonais a fait circuler, le mois dernier, une proposition de rééquilibrage de l’alliance avec la marque au losange. Car Nissan, qui détient 15 % du capital du constructeur automobile français, n’a pas de droit de vote. En avril dernier, lors de l’Assemblée générale du constructeur français, l’État était monté temporairement de 15 à 19,7 % du capital et avait vu, au contraire, ses droits de vote quasiment doublés. Les tensions ne sont donc pas nouvelles.Le gouvernement français n’exclut pas de céder des titres Renault en 2016, a annoncé le ministre de l’Économie, Emmanuel Macron, dans une interview aux Échos, hier. Air France-KLM Les images des échauffourées, lors du comité central d’entreprise du 5 octobre, où la suppression de 2 900 postes avait été annoncée, ont fait le tour du monde. Areva La Poste, EDF, Orange …
Le juste prix, une affaire de virgule Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Nathaniel Herzberg Fixer le juste prix. La question est vieille comme le monde, ou du moins comme le commerce. Un coup d’œil aux rayons des magasins laisse songeur. Qui, en effet, peut croire que 39,90 euros est très différent de 40 euros ? À l’inverse, comment expliquer une étiquette à 40,20 euros ? Deux économistes de Singapour, Monica Wadhwa (Insead) et Kuangjie Zhang (Nanyang Technological University) ont publié un article dans le Journal of consumer research qui promet d’éclairer le commerçant, comme le consommateur. L’affirmation s’appuie sur une batterie d’études comportementales. Dans le second cas, le phénomène inverse a été observé, sans que les deux prix décalés puissent être sérieusement départagés. Usage familial contre utilisation scolaire Peut-être la nature même des deux produits cachait-elle d’autres motivations ? Et si le cerveau se trouvait occupé par autre chose, quel en serait l’effet ?
Page d'accueil de l'INPI Budget 2015 : l'Etat serre la ceinture D’importantes économies, une amélioration laborieuse des comptes publics, une dette publique qui poursuit son envol, une fiscalité relativement stable : telles sont les grandes caractéristiques du projet de budget pour 2015, présenté ce mercredi par le gouvernement. A lire aussi les principales réactions tout au long de la journée Côté dépenses, on économise Après avoir beaucoup recouru au levier fiscal, en début de quinquennat, le gouvernement met le frein sur les dépenses. «C’est l’Etat qui fait le principal effort, juge cependant Michel Sapin dans un entretien au Monde paru ce matin. Au prix de ce programme, la dépense publique totale augmentera de 0,2% en volume (c’est-à-dire en tenant compte de l’inflation), soit un net ralentissement par rapport à 2014 (0,9%). Côté recettes, on temporise Manuel Valls ayant diagnostiqué un «haut-le-cœur fiscal» chez les contribuables, le budget 2015 met la sourdine sur les prélèvements. Dette et déficit : un reflux laborieux Dominique Albertini
Le panier moyen des consommateurs baisse mais le e-commerce garde le sourire Le panier moyen des achats baisse ? Le monde de l’Internet n’en a que faire ! Alors que la plupart des commerçants s’inquiète d’une chute de la consommation, les e-commerçants se frottent les mains. Pour deux raisons : la fréquence d’achat augmente encore et le nombre de cyberacheteurs ne cesse de croître. Compensation par le volume Le tourisme est le seul secteur où la compensation par le volume ne fonctionne pas : il est en baisse de 4% au troisième trimestre, à l’image de l’ensemble de son marché. Pour Noël, la tendance sera sensiblement la même : des dépenses moindre, mais plus d’acheteurs qu’en 2013. Des achats de plus en plus tardifs "Signe que la confiance dans les achats en ligne et dans l’efficacité de la livraison est désormais établie, les achats se décalent de plus en plus vers Noël", souligne Bertrand Krug. 41% des transactions devraient ainsi être réalisées pendant la première quinzaine de décembre.
80 idées de promotions pour augmenter vos ventes !ConseilsMarketing.fr Dans un contexte économique difficile, les PME bataillent pour trouver des prospects ou vendre plus à leurs propres clients, et justement les promotions sont un de mes meilleurs outils marketing pour augmenter ses ventes. L’avantage des promotions c’est qu’elles peuvent à la fois attirer des prospects, mais aussi faire acheter plus ses clients existants. Et le plus souvent, une bonne promotion va concerner avant tout la base de clients existants (elle plus nombreuse, elle a votre confiance…) que d’aller chercher à convaincre encore et encore de nouveaux prospects. L’expérience montre qu’il est bien plus rentable de vendre plus à ses clients que chercher à attirer encore plus de prospects, car il y a un double effort : convaincre un prospect et faire un effort commercial. Pour cela il ne suffit pas de lancer une promo, il faut mettre en place des promotions efficaces et rentables. Or, ce n’est pas si simple : – Il ne faut pas que faire des promotions “prix”. Avant de lancer votre promotion…
Le prix pour les consommateurs Introduction Le contexte économique (crise, tension sur le pouvoir d’achat), les nouvelles possibilités offertes par les technologies de communication (internet et mobile) et les évolutions réglementaires de ces dernières années ont accru la compétition en matière de prix et conduit distributeurs et producteurs à s’engager dans une guerre des prix pour maintenir leurs volumes de ventes et leurs parts de marché. La communication sur les prix est devenue omniprésente qu’il s’agisse de mettre en avant des prix bas permanents ou des politiques promotionnelles. Parallèlement, facilitées par les progrès technologiques, les pratiques de prix différenciés selon les contextes d’achat et les niveaux de demande se sont développées. La perception des prix par les consommateurs est un phénomène complexe. I- Un contexte de tension sur le pouvoir d’achat et de compétition accrue L’évolution de la législation en matière de commerce sur la période favorise la concurrence par les prix. E. Bibliographie
"On vous emmène ?" : première campagne de marque OUIBUS signée Buzzman C'est un lancement de marque à part entière. Sans la caution de sa maison mère (la SNCF pour les distraits), OUIBUS s'affirme seule et part en campagne. Avec la signature "On vous emmène", la marque invite donc au voyage facile et à petits prix : 35 villes françaises sont desservies pour 170 trajets depuis le 3 septembre dernier. Onze liaisons européennes sont également possibles vers la Belgique, le Royaume-Uni, les Pays-Bas, la Suisse, l'Italie et l'Espagne. "C'est une bonne nouvelle cette marque ! Thomas Granger, vice-président de Buzzman, confirme "avec cette toute nouvelle signature et cette première campagne, la marque OUIBUS pose les bases de son territoire : proximité, bienveillance et générosité. Plan media La campagne se déploiera en télévision avec des spots de 30 et de 45 secondes ainsi qu'en digital à partir du 4 décembre et ce, pendant quatre semaines. Les trois films Libéralisation du secteur : un marché très concurrentiel Prise de parole tactique de septembre 2015
Le prix n'est plus ce qu'il était, Contrôle de gestion Combien vaut un billet de train Paris-Lyon ? La réponse est simple : ça dépend. Ca dépend de la date du voyage, du jour d'achat, du site Internet, des conditions d'échange et de remboursement, etc. Depuis des siècles, les salles de spectacle font varier les tarifs selon le calendrier pour vendre tous les fauteuils ou en tirer le maximum d'argent. Cette forme de tarification ne s'applique en principe que pour le « fugace ». Nous entrons ici dans un monde nouveau. Pour les économistes, c'est un changement radical. Les statisticiens sont a priori mieux armés. Pour les entreprises, enfin, le défi est d'une autre nature. Editorialiste aux « Echos » Les points à retenir
Quel est le secret de Lidl pour vendre du vrai caviar à 10 euros? En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez nos CGU et l'utilisation de cookies afin de réaliser des statistiques d'audiences et vous proposer une navigation optimale, la possibilité de partager des contenus sur des réseaux sociaux ainsi que des services et offres adaptés à vos centres d'intérêts. Pour en savoir plus et paramétrer les cookies... bien ensoleillé Vent : 5km/h - UV : 1 Clôture veille : 4859.69 Ouverture : 4874.31 Newsletter BFM Business | Les + vues Replay Emissions FrédéricBIANCHI Journaliste Newsletter BFM Business Après le foie gras et les grands crus, l'enseigne de hard-discount continue de défricher le terrain du luxe avec le caviar. Et maintenant du caviar. Mais alors que les grands crus de la foire aux vins de septembre n'étaient pas accessibles à toutes les bourses (199 euros la bouteille d'Yquem), le caviar lui le sera davantage. Car le caviar est peut-être le dernier vrai produit de luxe. Première astuce: la quantité. Pas de vente en ligne pour le caviar
Consommer sans limite, une nouvelle attente des clients 79 € par mois pour consommer le TGV comme un forfait de téléphone illimité Netflix pour les séries, la carte UGC pour le cinéma, Deezer, Spotify et bien d’autres pour la musique, des forfaits illimités pour la téléphonie mobile et les box Internet… Une nouvelle culture a émergé dans les modes de consommation : l’abonnement pour un usage illimité. Ces derniers mois, les offres se sont multipliées, gagnant de nouveaux secteurs. Dernier exemple en date : le lancement par la SNCF, le 25 janvier dernier, d’une carte TGV Max permettant aux 16-27 ans de voyager de façon illimitée dans les TGV et Intercités moyennant 79 € d’abonnement mensuel. Plus d’infos : Les Échos Challenges 89 $ par mois pour partager un Uber à volonté à Manhattan Depuis 2015, New York compte plus de voitures Uber que de taxis jaunes. Ce forfait permettant de se déplacer à volonté affiche un tarif vraiment très bas : 59 $ pour un abonnement de deux semaines, 89 $ pour quatre semaines. Uber New York Time Out BFM Business Maddyness
L'élasticité, la demande, le prix, les marges Lorsque l’on parle d’ élasticité, il faut comprendre que c’est la demande qui est élastique : les volumes de ventes varient en fonction du prix fixé. Il y a trois cas à analyser pour interpréter le coefficient d’élasticité : 1) L’élasticité est négative : Vous vendez moins à un prix plus élevé ==> c’est le cas classique, les prospects se heurtent à un prix trop important qui les dissuade d’acheter. Un exemple : Vous vendez plus à un prix moins élevé ==> c’est le cas des promotions par exemple, une diminution du prix incite le marché à consommer plus. Un exemple : 2) L’élasticité est nulle (ou presque) : Vous vendez autant, quand bien même votre prix augmente. Vous vendez autant alors que votre prix est en baisse ==> Assez rare comme cas de figure. 3) L’élasticité est positive : Magique : vous augmentez vos prix et vous vendez plus ! Reprenons les concepts de la première partie de ce dossier : Maintenant ajoutons l’analyse des coûts et de la marge : Quelques exemples :