Jean-Pierre Pernaut — Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Pernaud. Jean-Pierre Alfred Xavier Pernaut, dit Jean-Pierre Pernaut, (né le à Amiens) est un présentateur de télévision français. De 1975 à 1988, sur TF1, il présente notamment le journal de 13 heures. Toujours sur TF1, il remplace Yves Mourousi et Marie-Laure Augry le 22 février 1988 au journal de 13 heures. 25 ans après, directeur adjoint de l'information et administrateur de TF1 S.A., il en est toujours le présentateur et responsable. Il a créé et présenté en 1991 l'émission Combien ça coûte ? Biographie[modifier | modifier le code] Jean-Pierre Pernaut passe son enfance près d'Amiens à Quevauvillers, où sa mère était pharmacien, et son père, ingénieur centralien, était directeur d'une usine de machines outils à Amiens. Diplômé de l'École supérieure de journalisme de Lille en 1975, il fait son premier stage en journalisme dans le quotidien régional Le Courrier picard[1]. L'émission Combien ça coûte ?
Un enseignant piège ses élèves (Loys Bonod 2) Loys Bonod, enseignant de lettres dans un lycée parisien, a tendu un piège à ses élèves afin de prouver qu'ils recopiaient des informations trouvées sur Internet dans leurs devoirs à la maison. Loys Bonod, prof de lettres au lycée Chaptal de Paris, a piégé ses élèves adeptes du copier-coller de sites Internet dans les devoirs maison. Il a distillé de fausses informations sur de nombreux sites pour constater qu'il les retrouvait telles quelles dans la majorité des dissertations rendues par sa classe. L'enseignant détaille toute l'opération sur son blog La vie moderne : régulièrement confronté à des "copier-coller" de sites Internet ou de corrigés trouvés sur Google, il leur a tendu un piège en diffusant de fausses informations à propos d'un poème méconnu du XVIIe siècle. L'expérience a été concluante : sur 65 élèves, 51 avaient triché en recopiant les informations absurdes distillées par l'enseignant sur les différents sites Internet.
L'art et la manière d'ignorer la question des médias, par Serge Halimi n 1985, à l’apogée de l’ère Reagan, John Galbraith publia un texte titré « Comment avoir la conscience tranquille face à la présence des pauvres ? » (1). Dans cet article, l’économiste recensait les techniques permettant, face à la question des inégalités sociales, de ne rien entreprendre, mais sans se sentir coupable : invocation de l’« effet pervers » des solutions de redistribution proposées, obligation de recourir à un État qui démotive ceux qu’il aide, etc. Essayons d’entreprendre un exercice du même genre, mais sur le sujet qui nous réunit. « On ne connaît pas bien ces sujets-là. » En 2002, lors de l’université d’été d’Attac, nous avons été quelques-uns à analyser les rapports entre des contestataires et des médias dominants que ces contestataires auraient eu beaucoup de raisons de contester. « Tout ce que vous dites, on le sait déjà. » « Tout ça, on le sait déjà » est la plaidoirie habituelle de qui, ne souhaitant pas diffuser un savoir, prétexte qu’il est répandu.
Wikipedia: un article-canular sur un conflit en Inde découvert et effacé après cinq ans Le conflit Bicholim de 1640-1641 a vu s'opposer les dirigeants portugais de Goa et l'Empire Maratha dans les régions du nord de Goa, et particulièrement dans la région de Bicholim. Ça ne vous dit rien? Ne vous ruez pas sur vos livres d'Histoire, ne désespérez pas de votre manque de culture générale, c'est normal. Depuis 2007, la page Wikipedia du «Bicholim Conflict» racontait donc ce conflit armé, qui se terminait en traité de paix et avait encore des effets sur la politique régionale et la culture populaire actuelle. Comme ShelfSkewed l'explique sur la page discussion de «Bicholim Conflict», «une recherche en ligne pour "conflit Bicholim" ou pour de nombreuses sources de l'article a produit des résultats qui ne remontent que jusqu'à l'article lui-même». L'auteur de l'article est allé jusqu'à nommé son oeuvre à la catégorie «articles de qualité» (qui ne récompense que 3.772 des 4 millions d'article en anglais sur Wikipedia), rapporte the Daily Dot, se justifiant ainsi:
Notre pote Christophe de Margerie (de Total) Christophe de Margerie, le 4 mars 2014 à Houston (Texas) (Pat Sullivan/AP/SIPA) Le savait-on ? La France entière a brutalement perdu un copain, un bon pote, atypique, fraternel, truculent, pas chichiteux, toujours prêt pour une bonne partie de rigolade jusqu’au bout de la nuit. Sacré Christophe ! Parler de Christophe à des oligarques russes ou chinois, ou à des émirs du Golfe, et c’était la franche marrade assurée, la fraternisation immédiate, à l’évocation de la moustache, la fameuse moustache, la big moustache, une moustache taillée sur mesure pour le Barthes des mythologies, icône à elle toute seule de tous les atypismes, de toutes les transgressions. Dans le civil, PDG de Total, c’est dire s’il en avait, des bonnes histoires à raconter, sur les patrons et les ministres, surtout les ministres, ces culs serrés qui ne veulent pas entendre parler de gaz de schiste. première occurrence : il était sympa.
Wikipédia:Canulars Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Des canulars ont été placés sur les différentes versions linguistiques de Wikipédia. Il y a canular lorsque des éléments faux sont volontairement insérés dans l'espace encyclopédique et mis en forme pour être présumés vrais. Ces derniers sont une forme de vandalisme sournois et se distinguent des pages contenant de fausses informations qui ne prétendent pas être vraies. Ces dernières sont créées pour diverses raisons (souvent humoristiques) et sont situées en dehors de l'espace encyclopédique. La plupart sont recensées sur la page Wikipédia:Pastiches. Voici une liste des canulars recensés selon les différentes versions linguistiques de Wikipédia. Wikipédia en français[modifier | modifier le code] Wikipédia en anglais[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Notes[modifier | modifier le code] ↑ Commentaire de ZeBlueTwilight le 07 Janv. 13 à 17h59. Traductions[modifier | modifier le code]
Jaloux, sous-doués, gagneurs : la société française vue par Le Point Les unes du Point dressent le portrait d’une France un chouïa caricaturée, partagée entre les « utiles » et les « boulets », les « gagneurs » et les « assistés ». On a regroupé les familles sociologiques de l’hebdo. La une du Point du 6 novembre 2014 Cette semaine, le magazine Le Point tape à cœur joie sur les « vaches à lait », qui « paient toujours pour les autres ». A force de couvertures à l’emporte-pièce, Le Point s’est forgé une petite réputation sur Internet. La lecture des unes de ces deux dernières années dessine une France un chouïa caricaturée, une société partagée entre les « utiles » et les « boulets », le « petit peuple » et les « élites ». Les familles « sociologiques » du Point sont regroupées dans l’application ci-dessus. Les persécutés Classes moyennes, contribuables, entrepreneurs Les couvertures du Point : septembre 2013, novembre 2014, décembre 2012 Les « vaches à lait » sont de bons Français, pas méchants tant qu’on les respecte, partageux mais pas jusqu’à l’absurde.
Wikipédia copié-collé dans un rapport parlementaire Gérard Voisin, député UMP, a déposé le 9 décembre à l'Assemblée un rapport «sur le déploiement de systèmes de transport intelligents dans le domaine du transport routier et d’interfaces avec d’autres modes de transport (E 4200)». Avec un intitulé aussi technique, le travail du député de Saône-et-Loire — qui est pourtant allé au Japon pour réaliser ses auditions — est passé relativement inaperçu. Il comporte toutefois une singularité: une partie de l'introduction du rapport est copié-collée sur la définition des systèmes de transport intelligents de Wikipédia. Slate a relevé ces similitudes. Extrait du rapport: Les systèmes de transport intelligents (STI) (en anglais : Intelligent Transportation Systems-ITS) désignent les applications des nouvelles technologies de l’information et de la communication au domaine des transports. Extrait de Wikipédia: Pour le député, «Wikipédia s'inspire parfois très étroitement de textes officiels. On peut pomper Wikipédia mais il faut l'indiquer Vincent Glad
The Colbert Report The program was created by Colbert, Jon Stewart, Ben Karlin, and Joe Antonetti. The show's writing was grounded in improvisation, and often lampooned current events stories. The show's structure also included a guest interview, in which the Colbert character attempts to deconstruct his opponent's argument. The show was taped in New York City's Hell's Kitchen neighborhood, and the program's set is "hyper-American," epitomizing the character's ego. The Colbert Report saw immediate critical and ratings successes, leading to various awards, including two prestigious Peabody Awards. Background[edit] Colbert became a fixture on The Daily Show, occasionally hosting in Stewart's absence.[5] In 2003, the program began running advertisements for a fictional program titled The Colbert Réport, starring Colbert as a parody of cable news pundits.[1] When fellow Daily Show star Steve Carell left to pursue a film and television career, Comedy Central made attempts to keep Colbert at the network.
Wikipedia contributors debate whether it's okay to pay for posts A contentious debate has erupted on Wikipedia over questions about whether two high-profile contributors have been paid to promote articles on the site. Some contributors have questioned whether Roger Bamkin, a director at Wikimedia UK, is being paid by the government of Gibraltar to write or edit articles about the British territory. Bamkin has a contract with the government of Gibraltar, apparently to promote the territory and the Wikipedia subsite Gibraltarpedia. Bamkin, in his role as a Wikipedia editor, approved an article about a yacht club in Gibraltar, and nominated and reviewed another Gibraltar-related article, one contributor noted in a lengthy debate, beginning last week, on a Wikipedia discussion page. The debate has raised the concerns of Jimmy Wales, Wikipedia's cofounder, who wrote Monday that he was unfamiliar with Bamkin's situation. Other contributors downplayed the issue, saying Bamkin has disclosed his consulting gigs on his contributor page.