Recettes Vegan de biffe steak
Accueil L’écologieL’économieL’éthiquePour collaborerQui nous sommesSantéVeg-chefsVeg-règles©Copyright biffe steak < Profile de Chef Nom Jean-Baptiste Site web Détails Bonjour les amis végétariens, Une petite présentation s'impose. Beignets de fleurs d’acacia Tout d’abord il y a le plaisir de mettre son nez dans les fleurs au moment de la cueillette, puis le plaisir... data: 29.05.10 Salade de pommes de terre à la Bulgar J’aime beaucoup cette recette de salade de pommes de terre. Limonade de pissenlit La limonade de pissenlit c’est un peu le vin nouveau du printemps… Il faut la goûter pour le... data: 28.04.10 Poireautage et gingembre Ce potage tient chaud au cœur et au corps. data: 20.04.10 Dolmail des ours chanvré Une réinterprétation printanière des fameux dolmas. data: 19.04.10 Tiens-toi à carottes Ingrédients : pour 4 personnes 300g de carottes râpées, 50g de raisins secs, 1 CS de sirop d’agave, 1/2l lait de... data: 15.04.10 Recherche Derniers commentaires Recettes Meta
Expérimentation animale : il est temps d'accepter que le vent tourne !
Une réglementation obsolète et des responsables peu formés aux méthodes modernes sont le principal obstacle à la mise en oeuvre de tests fiables pour l’homme, sans recours à l’expérimentation animale. Les connaissances scientifiques et la technologie existent déjà. Pour nous aider à les promouvoir, faites passer l’information autour de vous. Par André Ménache Nous vivons à l’ère des traitements médicaux basés sur des preuves (de l’expression anglaise « evidence-based »). Selon les normes actuelles, les expériences sur des animaux ne remplissent pas l’exigence d’être basées sur des preuves (2). Le problème ne vient pas d’un manque de technologie pour remplacer les tests sur des animaux. Une autre approche est d’informer les scientifiques, en particulier ceux qui travaillent dans la recherche et les tests. Ici, nous nous heurtons à un nouvel obstacle : le « personnel en charge ». Mais nous ne pouvons pas nous permettre d’attendre.
Végétarien, je revendique le statut de minorité opprimée
Tribune Le droit international définit une minorité comme un groupement de personnes liées entre elles par des affinités religieuses, linguistiques, culturelles, ethniques, politiques, englobées dans une population plus importante. Le droit des minorités est reconnu et décrit dans diverses chartes ou déclarations internationales selon les recommandations d’instances comme l’ONU et l’Unesco. Les végétariens, isolés et marginalisés Making of Les deux auteurs de cette tribune sont les fondateurs de All apologies, « mouvement global libre pour unir au niveau international tous les défenseurs des animaux et du vivant ». Sous la dénomination de minorité culturelle, on peut distinguer celle alimentaire des citoyens « qui ne mangent pas comme tout le monde... », et ce, pour des raisons de convictions de tous ordres, religieuses ou par empathie pour les animaux, voire aussi de santé. « Alors vous prendrez du poulet, du poisson ? « Ah bon ! Empreinte écologique, santé publique
La cuisine végétarienne facile et gaie « Le Coin Bibliothèque
Bien plus qu’un simple livre de cuisine, cet ouvrage d’Agnès Florian est plutôt un guide pour les “consom’acteurs” modernes que nous sommes. Première partie : informations et conseils Les 160 premières pages de ce livre ne sont pas consacrées à des recettes de cuisine, mais à une véritable enquête alimentaire. L’auteur s’intéresse tout d’abord aux substances diverses que contiennent nos plats et boissons favoris ; glutamate, aspartame, arômes, aliments raffinés, ionisés, OGM… On y apprend ainsi que l’aspartame se cache derrière les noms de NutraSweet, Equal ou Spoonful ; que l’arôme de noix de coco est en fait obtenu avec le champignon trichoderm ; que le beurre est désacidifié à la chaux, à la soude ou au chlore… Dès lors, Agnès Florian propose deux solutions : subir notre alimentation… Ou agir ! Dans un deuxième temps, l’auteur s’intéresse au végétarisme, répondant succinctement mais clairement à deux questions clefs : “manger végétarien, est-ce bien raisonnable ?” Share and Enjoy
Végéphobie, oppression réelle ou victimisation?
La végéphobie, oppression réelle ou victimisation outrancière? Les vegans eux-même forment deux camps opposés. D’un côté: Oui, je suis opprimé. De l’autre: Arrêtez de vous victimiser, c’est indécent de comparer quelques remarques désagréable à une véritable oppression. J’ai longtemps louvoyé entre ces deux positions. La végéphobie est-elle une oppression? Là, comme ça, j’ai envie de dire non. Au lendemain de la Veggie Pride 2013, je suis allé faire un tour sur les sites d’actualité. Y a un truc que j’adore, c’est qu’on m’explique si je suis discriminée ou non. Pour me faire l’avocat du diable, ou plutôt des gens qui parlent bêtement avant de réfléchir, ce ne sont pas les articles en ligne qui vont les instruire beaucoup sur ce qu’est la végéphobie. Pourtant, je pense que le parallèle n’est pas complètement idiot. Je ne sais pas si la végéphobie est une oppression, mais ce dont je suis sure, c’est que les végétariens, et surtout les véganes, sont victimes de discrimination.
Végémiam | La référence des recettes végétariennes et végétaliennes
animaux
Du welfarisme a l’abolitionnisme, ou comment la cohérence éloigne des normes
J’ai exposé dans la précédente note, les raisons pour lesquelles, si on devient réaliste, on se rend compte qu’une certaine dose de souffrance est nécessaire si l’on veut élever des animaux, l’abus étant inhérent à la notion de propriété d’un être sensible. C’est donc en particulier vrai pour la viande, mais aussi pour toute forme d’élevage. J’insiste sur la viande, car en toute objectivité, si l’on se débarrasse de ses a priori culturels, il est difficile de considérer que l’abattage d’un animal en parfaite santé pour utiliser sa chair n’est pas un abus. Le welfarisme se définit comme une défense du bien-être des animaux d’élevage qui ne remet pas en cause l’élevage. De deux choses l’une. Soit le welfariste est quelqu’un qui défend le droit des animaux à ne pas souffrir, tout en acceptant qu’ils souffrent pour que l’on puisse les utiliser pour leur lait, leur viande, leur laine, ou quoi que ce soit. En réalité, je pense que c’est ni l’un ni l’autre, voire un peu les deux.
L'Europe envisage d'interdire la liberté de déplacement de certains militants
La presse allemande vient de révéler une étude commandée par l'Union Européenne : celle-ci voudrait dans les années à venir interdire le déplacement sur le territoire européen des militants et activistes de la cause animale. L'Europe est donc en train de préparer une loi qui interdira le déplacement sur le sol européen des militants de la cause animale et ce dans le but d'empêcher le développement d'une internationale européenne de la cause animale. Cette étude, dont certains extraits viennent d'être publiés dans la presse allemande, exprime parfaitement bien ce que les militants de la cause animale représentent pour les institutions européennes : des activistes qualifiés de " criminels itinérants" ! Défendre les droits des animaux est donc perçu par l'UE comme une action criminelle que la loi doit punir pour éviter sa prolifération. L'UE prend donc partie clairement pour ceux qui se servent des animaux comme biens économiques et donc se range du côté du capitalisme le plus violent.