Les 5 caractéristiques des entreprises qui créent un retour sur investissement durable Une nouvelle recherche révèle que les entreprises qui intègrent le développement durable dans leur stratégie opérationnelle de base réalisent une performance financière supérieure aux autres – et que cette performance financière accrue est attribuable à cinq caractéristiques essentielles. Dans cette étude, Robert Eccles et George Serafeim (Université Harvard) et Ioannis Ioannou (London Business School) ont identifié des entreprises qui ont adopté des politiques de développement durable dès le milieu des années 90. Ces politiques comprennent des initiatives de réduction des déchets et de formation des employés ainsi que des méthodes de sélection des fournisseurs fondées sur des critères environnementaux. Les chercheurs ont jumelé 90 entreprises qu’ils ont qualifiées de « hautement durables » avec 90 entreprises qualifiées de « faiblement durables ». Les principaux clients sont les consommateurs (par opposition aux entreprises). Une gouvernance solide. Source Résumé par
Qu’est-ce-que la responsabilité sociétale des entreprises ? Lexique de la responsabilité sociétale des entreprises (source INSEE - octobre 2012) La charte de la diversité en entreprise : depuis son lancement en octobre 2004, elle incite les entreprises à garantir la promotion et le respect de la diversité dans leurs effectifs. En la signant, ces entreprises s’engagent à lutter contre toute forme de discrimination et à mettre en place une démarche en faveur de la diversité. L’écoconception correspond à l’intégration des aspects environnementaux dans la conception ou la re-conception de produits. Il s’agit de prendre en compte les exigences environnementales sur le produit : réglementation, image de marque… ainsi que les conséquences environnementales du produit : consommations de ressources, émissions atmosphériques, production de déchets, valorisation du produit en fin de vie… Les exigences et les conséquences doivent être envisagées sur tout le cycle de vie du produit.
Danone vainqueur du Grand Prix ESSEC des... Lors de la cérémonie du Grand Prix ESSEC des Industries de consommation Responsable qui a réuni plus de 200 personnes mardi 5 Février au ministère du Redressement productif, les meilleures initiatives menées par les industriels producteurs de biens de grande consommation ont été récompensées pour leur engagement en France dans le domaine de la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE). « Pour le Ministère du Redressement Productif, explique Arnaud Montebourg, Ministre du Redressement productif, la référence à la RSE constitue pour nos industries un élément fort de compétitivité prix et hors prix. La France doit avoir un leadership sur le sujet. " Depuis des années, souligne Rémy Gerin, directeur exécutif de la Chaire PGC de l’ESSEC, de nombreuses initiatives ont été engagées par un grand nombre d’industriels fabricants de PGC sur le plan de la RSE. PRIX Gestion des ressources naturelles: Lesieur, pour « Fleur de Colza »
La performance environnementale de Danone passe par la compétition Le rapport Développement Durable 2010 de Danone publié ces derniers jours annonce les avancées du groupe en la matière. Parmi ce rapport, la clé du changement pour Danone : Danone Way. Cette initiative est une auto-évaluation menée en interne dans de nombreuses filiales du groupe Danone depuis 2001 pour mesurer et assurer le respect des critères fondamentaux du développement durable. Pour garantir l’objectivité des réponses auprès de l’ensemble des parties prenantes du groupe, Danone Way fait l’objet d’audits réalisés depuis 2002 par un organisme externe (KPMG depuis 2007). Mis à jour en 2007 puis en 2010, 112 filiales sont désormais intégrées, représentant 94% du chiffre d’affaires du groupe. Quel bénéfice pour l’entreprise ? Le succès de l’auto-évaluation semble reposer en grande partie sur une culture fondamentale de Danone : la compétition. Seule la synthèse est proposée dans le rapport de développement durable. A voir aussi :
Danone vainqueur du Grand Prix ESSEC des... Lors de la cérémonie du Grand Prix ESSEC des Industries de consommation Responsable qui a réuni plus de 200 personnes mardi 5 Février au ministère du Redressement productif, les meilleures initiatives menées par les industriels producteurs de biens de grande consommation ont été récompensées pour leur engagement en France dans le domaine de la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE). « Pour le Ministère du Redressement Productif, explique Arnaud Montebourg, Ministre du Redressement productif, la référence à la RSE constitue pour nos industries un élément fort de compétitivité prix et hors prix. La France doit avoir un leadership sur le sujet. " Depuis des années, souligne Rémy Gerin, directeur exécutif de la Chaire PGC de l’ESSEC, de nombreuses initiatives ont été engagées par un grand nombre d’industriels fabricants de PGC sur le plan de la RSE. PRIX Gestion des ressources naturelles: Lesieur, pour « Fleur de Colza »
Les motivations des individus et des entreprises dans la protection de l'environnement Devant l'échec de l'approche économique classique en matière de régulation environnementale, l'intérêt pour des solutions plus soft regagne du terrain. L'idée que les individus puissent agir autant en réponse à des mécanismes psychologiques que réglementaires, notamment en matière de comportements liés à l'environnement, n'est pas exactement nouvelle. En 2008, l'économiste Richard Thaler et le juriste Cass Sunstein publiaient «Nudge», un best seller aux Etats-Unis, et pas seulement parce que le premier est un proche de Barak Obama. Le nudge, ou coup de coude, consiste à guider les gens pour leur bien (que ce soit à des fins environnementales, de santé ou d'éducation) tout en limitant les contraintes, obligations et interdictions gouvernementales. Une doctrine dont les origines remontent à 1955 Plus près de nous, le Conseil d'analyse stratégique (CAS) a consacré en mars 2011 un rapport à ce sujet mal connu en Europe continentale. Un sujet qui divise psychologues et économistes
Entreprise Danone, présentation Danone Danone en Bref en vidéo Nous sommes une entreprise agroalimentaire mondiale tournée vers une alimentation santé, bien-être & plaisir. Nous sommes spécialisés dans les produits laitiers frais, la nutrition médicale, l'eau et la nutrition infantile. Danone c'est 21 milliards d'euros de chiffre d'affaires (dont 60% réalisés hors Europe), 900 millions de consommateurs, 100 000 Hommes & femmes, une réductions de 42% des émissions de C02 entre 2008 & 2014. Nous sommes présent dans plus de 140 pays et réalisons plus de 21 milliards d'euros de chiffres d'affaires dont 60% hors Europe. Top 10 des pourcentages des ventes dans les pays : 10% france, 9% Russie, 9% États-Unis, 7% Chine, 5% Indonésie, 5% Royaume-Uni, 5% Espagne, 5% Mexique, 5% Brésil, 4% Argentine. Nous sommes nés en Europe mais déjà plus de la moitié de nos ventes se font dans les pays dits émergents. Une entreprise portée par près de 100 000 hommes & femmes. Une entreprise connectée à 900 millions de consommateurs.
Danone, l’exemple d’une analyse RSE : présentation et contexte | The Green Lab L’agro-alimentaire, un secteur particulièrement concerné par la RSE Un secteur qui a du poids dans l’économie mondiale L’industrie agro-alimentaire (IAA), le secteur dans lequel notre agence a choisi de se spécialiser, se définit comme l’ensemble des activités industrielles qui transforment des matières premières issues de l’agriculture, de l’élevage ou de la pêche en produits alimentaires essentiellement destinés à la consommation humaine. Les enjeux de l’IAA Chez The Green Lab, nous considérons que le secteur agro-alimentaire est par essence engagé dans une démarche RSE et c’est pour cela qu’il nous intéresse tant. Le développement durable : une solution à tous les niveaux Nous considérons que le développement durable est une véritable opportunité pour toutes les entreprises de l’IAA : pourquoi cela ? Ils sont nombreux à nous avoir fait confiance pour les conseiller en matière de développement durable et de RSE (voir Nos références) : pourquoi pas vous ? La démarche Danone Way WordPress:
Danone continue d'ouvrir des voies "responsables" - institut RSE La transmission du pouvoir de Franck Riboud à Emmanuel Faber a un sens : Danone continue de montrer la voie de l’entreprise responsable. De fait, comme son parcours, ses initiatives et ses propos (cf. son livre « chemin de traverses ») l’ont démontré jusqu’ici, Emmanuel Faber fait avancer un modèle d’entreprise responsable, qui ne fuit pas la gestion de ses impacts, qui invente un nouveau modèle alimentaire et qui tient l’équilibre entre toutes ses parties prenantes. Ce n’est pas si mal de nos jours, sachant qu’il n’existe pas de modèle idéal entre « l’entreprise opportuniste » dans l’économie de marché globalisée et « l’entreprise à l’abri » qui n’est pas confrontée aux exigences de la nouvelle demande mondiale… Cette ligne mérite d’être soulignée sur trois points. Il est essentiel pour l’avenir des démarches de développement durable que « le modèle Danone » réussisse et aille loin face aux défis que les groupes émergents nous posent.
DANONE, quelle responsabilité sociale ? - Social Advisor L’article 225 de la loi Grenelle II impose aux entreprises du CAC 40 de faire preuve de transparence en matière sociale, environnementale et sociétale. Remplissent-elles leur obligation ? Le cabinet Mozart Consulting a évalué la transparence des entreprises du CAC 40 sur les 19 critères sociaux, les 14 critères environnementaux et les 9 critères sociétaux mentionnés par la loi. Le Social Advisor© Index (SAI) global donne la proportion des critères présents de manière conforme (on en parle) et de manière qualitative (on mesure) dans le document de référence. DANONE se classe 27ème avec un SAI global de 0,69. Rappel des indicateurs pris en compte dans le SAI global : -Les critères sociaux : -Les critères environnementaux : -Les critères sociétaux : Pour en savoir plus, contactez-nous
Erika / Total condamné : la victoire totale du droit de l'environnement ! La catastrophe de l'Erika avait souillé les côtes bretonnes et vendéennes. (MARINE NATIONALE/AP/SIPA) Nous, Corinne Lepage, Christian Huglo et Alexandre Moustardier, qui nous sommes consacrés pendant plus de 12 ans à ce dossier dans lequel nous avons défendu les intérêts des collectivités publiques de la Bretagne, nous félicitons de la décision rendue par la chambre criminelle de la Cour de cassation ce mardi. 30 ans de ténacité remerciés Les avocats qui ont assuré cette défense voient ainsi consacrés 30 ans d’expérience et de ténacité, depuis l’affaire de la Corse contre la Montedison en passant par l’affaire de l'Amoco Cadiz ou l’affaire du Tanio. Ce résultat a pu être atteint grâce à une ténacité des collectivités de la Bretagne et de leurs élus sans laquelle aucun résultat dans une bataille, longue, difficile et inégale, ne peut être atteint. La responsabilité totale du pollueur est consacrée Sur le fond, la Cour de Cassation consacre deux principes fondamentaux :
Greenwashing - Définition et enjeux Le greenwashing (éco-blanchiment) est une méthode de marketing consistant à communiquer auprès du public en utilisant l'argument écologique. Le but du greenwashing étant de se donner une image éco-responsable, assez éloignée de la réalité... La pratique du greenwashing est trompeuse et peut-être assimilé à de la publicité mensongère. Le terme "greenwashing" est souvent utilisé par des ONG pour stigmatiser les entreprises qui tentent d'afficher des préoccupations environnementales qu'elles sont loin d'avoir dans leurs pratiques. Cette pratique dessert les actions de sensibilisation réalisées par les associations et les pouvoirs publiques pour encourager la consommation de produits plus respectueux de l'environnement. Le secteur de l'automobile est notamment touché par le greenwashing avec le concept de la "voiture propre".
Production, usine Danone la gestion de l’eau L’eau est une ressource précieuse, et parfois rare, qu’il faut utiliser en harmonie avec les écosystèmes et les communautés locales. C’est pourquoi Danone s’engage à préserver la qualité de cette indispensable ressource et à en adopter, au niveau local, un usage responsable afin de respecter son cycle naturel. En 2012, Danone a poursuivi ses recherches en matière de mesure de l’empreinte en eau, notamment avec son partenaire Quantis, mais également en contribuant au développement des standards internationaux (ISO) et européens (Envifood protocol). Cet outil permettra d’identifier les zones de risques et les leviers de réduction des impacts de l'entreprise sur l’ensemble de sa chaîne de valeur. protéger les sources et respecter les cycles de la nature Pour y parvenir, SPRING (Sustainable Protection and Resources managing) est un outil destiné à maîtriser la gestion de l’eau et déployé sur 100% des sites du pôle Eaux depuis 2008. Réduire la consommation et les rejets