Can’t think? Maybe it’s too quiet Ever wonder why it can be more pleasant to think or study around other people? At a coffee shop, for instance? It turns out that a moderate level of background noise enhances creativity better than a quiet room, says Juliet Zhu, an associate professor at the University of B.C.’s Sauder School of Business. Zhu is co-chair of the 43rd annual Association for Consumer Research conference, billed as the largest consumer behaviour conference in the world. More than 1,000 university professors and market researchers from around the world are converging on Vancouver today to attend this year’s event, which features more than 500 presentations at 15 concurrent sessions over four days and is open to the public at the Sheraton Wall Centre. Background noise such as that found at a coffee shop (70 decibels) distracts people from “focusing too much on focal issues,” Zhu said. Zhu’s students will be presenting this research at the conference. Other topics and ideas researchers will be presenting:
Un projet décroissant : « Faire payer le prix réel de ce qu’on consomme » Vincent Liegey est l’un des co-auteurs du livre « Un projet de décroissance – Manifeste pour une dotation Inconditionnelle d’Autonomie », préfacé par Paul Ariès (Editions Utopia). Il est l’un des visages de ce qui s’appelle un « parti » pour la décroissance (PPLD) mais s’apparente plutôt à une mouvance informelle, dont le combat contre Notre-Dame-des-Landes est l’une des formes concrètes. Nous l’avons rencontré dans un café parisien, à deux pas de chez Denis Vicherat, éditeur altermondialiste et écologiste, qui lance une collection de livres déclinant le projet de décroissance. Un « slogan provocateur », un mot « repoussoir » assumé. Vincent Liegey vit à Budapest avec une députée hongroise de « Une autre politique est possible » (« dont le parti vient d’exploser, ce qui prouve qu’une autre politique n’est peut-être pas possible », sourit-il). Vincent Liegey : Oui et non, il y a deux sources intellectuelles pour les décroissants : Comment le mouvement s’est-il ensuite installé ?
A Stupidity-Based Theory of Organizations - Alvesson - 2012 - Journal of Management Studies In this paper we question the one-sided thesis that contemporary organizations rely on the mobilization of cognitive capacities. We suggest that severe restrictions on these capacities in the form of what we call functional stupidity are an equally important if under-recognized part of organizational life. Functional stupidity refers to an absence of reflexivity, a refusal to use intellectual capacities in other than myopic ways, and avoidance of justifications. We argue that functional stupidity is prevalent in contexts dominated by economy in persuasion which emphasizes image and symbolic manipulation. L'être humain serait condamné à devenir de plus en plus bête Selon un chercheur américain, le niveau d'intelligence de l'humanité aurait tendance à décroître depuis le développement de l'agriculture. Selon le généticien Gerald Crabtree qui officie à l'Université de Stanford aux États-Unis, le niveau intellectuel de la race humaine aurait tendance à décroître au fil des siècles depuis que la population s'est sédentarisée. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter La sédentarisation nous rendrait moins malin Pour les chercheurs, nos ancêtres préhistoriques devaient leur survie à leur intelligence. Des transformations génétiques qui feraient baisser le niveau intellectuel Nos capacités cognitives et émotionnelles sont déterminées par la combinaison de milliers de gènes. Une alimentation qui attaque le cerveau Des chercheurs de l'Université d'Harvard ont trouvé que le fluorure, substance trouvée dans l'eau, pouvait faire baisser le QI. Les pesticides eux aussi pourraient nous faire avoir un grain.
Présentéisme : l'autre visage (inquiétant) de l'absentéisme Présent mais...totalement absent. Voilà le paradoxe que traduit le présentéisme. Envers de l'absentéisme, il illustre à bas bruit souvent une situation de « burn out » ou de démission intérieure. Le salarié est présent physiquement mais psychiquement absent. Certains s'efforcent même de donner l'impression qu'ils travaillent alors qu'en réalité ils en font le moins possible. Facteur de risque pour la santé au travail D'où la sonnette d'alarme tirée par les médecins du travail qui voient dans le présentéisme un facteur de risque pour la santé des salariés. Mal typiquement français La France reste encore la championne toute catégorie de ce phénomène.
Et si on ouvrait des magasins où tout est gratuit ? Eviter le gaspillage et les déchets en redonnant une seconde vie à des objets encore en bon état, telle est l’idée qui a pris corps au Magasin pour rien, à Mulhouse, en Alsace. « Ali Baba et les quarante voleurs », de Jacques Becker, avec Fernandel, 1954 Dans cette caverne d’Ali Baba, n’importe quel citoyen, pauvre ou riche, peut prendre trois articles de son choix et repartir… sans rien payer ! La gratuité, une idée neuve en Europe, mise en pratique dans ce lieu unique en France. L’idée C’est en visitant le quartier alternatif allemand de Fribourg que Roger Winterhalter, ancien maire écolo de Lutterbach (Haut-Rhin), a découvert ce concept de Magasin pour rien, « Umsonstladen », dans la langue de Goethe : « L’idée de faire profiter des objets que l’on stocke dans nos caves ou greniers ceux qui en ont besoin, plutôt que de jeter, me semblait vraiment pertinente dans notre société de surconsommation. Iman, en service civique, et Mireille, dans le Magasin pour rien à Mulhouse (Simone Sonntag)
Comment la propriété intellectuelle a transformé les Jeux olympiques en cauchemar cyberpunk A première vue, il y a assez peu de rapports entre les Jeux olympiques de Londres et les univers dystopiques du cyberpunk, tel qu’ils ont été imaginés à partir des années 80 dans les romans de William Gibson ou de Bruce Sterling, à partir des premières intuitions de Philip K. Dick ou de John Brunner. A bien y réfléchir cependant, le dopage – dont le spectre rôde sans surprise toujours sur ces jeux 2012 – est déjà un élément qui fait penser au cyberpunk, où les humains cherchent à s’améliorer artificiellement par le biais d’implants bioniques ou l’absorption de substances chimiques. Mais c’est plutôt à travers la gestion des droits de propriété intellectuelle par le CIO que l’analogie avec le cyberpunk me semble la plus pertinente et à mesure que se dévoile l’arsenal effrayant mis en place pour protéger les copyrights et les marques liés à ces jeux olympiques, on commence à entrevoir jusqu’où pourrait nous entraîner les dérives les plus graves de la propriété intellectuelle. Like this:
Petite Poucette, la génération mutante Michel Serres, diplômé de l’Ecole navale et de Normale Sup, a visité le monde avant de l’expliquer à des générations d’étudiants. Historien des sciences et agrégé de philosophie, ancien compagnon de Michel Foucault, avec qui il a créé le Centre universitaire expérimental de Vincennes en 1968, il a suivi René Girard aux Etats-Unis, où il enseigne toujours, à plus de 80 ans. Ce prof baroudeur, académicien pas tout à fait comme les autres, scrute les transformations du monde et des hommes de son œil bleu et bienveillant. Son sujet de prédilection : la jeune génération, qui grandit dans un monde bouleversé, en proie à des changements comparables à ceux de la fin de l’Antiquité. La planète change, ils changent aussi, ont tout à réinventer. «Soyons indulgents avec eux, ce sont des mutants», implore Michel Serres, par ailleurs sévère sur sa génération et la suivante, qui laisseront les sociétés occidentales en friche. Vous annoncez qu’un «nouvel humain» est né. Pascale Nivelle
Au Bhoutan, les jeunes ne connaissent pas "le royaume du bonheur" Yahoo fait partie de la famille de marques Yahoo. En cliquant sur Accepter tout, vous consentez à ce que Yahoo et nos partenaires stockent et/ou utilisent des informations sur votre appareil par l’intermédiaire de cookies et de technologies similaires, et traitent vos données personnelles afin d’afficher des annonces et des contenus personnalisés, d’analyser les publicités et les contenus, d’obtenir des informations sur les audiences et à des fins de développement de produit. Données personnelles qui peuvent être utilisées Informations sur votre compte, votre appareil et votre connexion Internet, y compris votre adresse IP Navigation et recherche lors de l’utilisation des sites Web et applications Yahoo Position précise En cliquant sur Refuser tout, vous refusez tous les cookies non essentiels et technologies similaires, mais Yahoo continuera à utiliser les cookies essentiels et des technologies similaires. Sélectionnez Gérer les paramètres pour gérer vos préférences.
Burn-out 2.0 : du plaisir au rejet des médias sociaux 113inShare ♫♪Je vous parle d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître♪♫. Ah, en fait si. Il existe un mal qui frappe certains web-addict et autres travailleurs du net. Fatigue intense, rupture des connaissances, le burn-out se caractérise par un état d’épuisement général, à la fois psychique, émotionnel et mental. les «batteries sont vides» et le sujet n’est plus capable de récupérer sur de courtes durées. J’ose penser avoir échappé à l’épidémie mais j’ai bien conscience d’avoir déjà contracté le virus. Les médias sociaux peuvent nous handicaper. Pourquoi notre engouement fini-t-il par se consumer à trop vouloir consommer ? L’idylle Les années 2008 et 2009 ont marqué une phase d’euphorie générale envers les médias sociaux. Lorsque les internautes découvrent le potentiel des réseaux sociaux, ils voient en eux le présent et l’avenir de leur communication personnelle et professionnelle. Durant cette période d’idylle, on a tous les avantages sans les inconvénients. La rupture