Cogni-Sciences L’activité du groupe Cognisciences porte sur l’étude des processus du développement, d’acquisition et d’apprentissage du nourrisson à l’enfant. Notre approche s’appuie sur les neurosciences et la clinique du normal au pathologique (langage oral, motricité fine et globale, langage écrit, attention, calcul) Les différents travaux menés portent sur : 1) Le développement cognitif de l’enfant de 6 mois à l’adolescence 2) Le langage oral : acquisition, retards et troubles spécifiques du développement du langage (dysphasies...). 3) Le langage écrit : la lecture, le décodage, la fluence et la compréhension, les difficultés, les troubles spécifiques (les types de dyslexies). 4) Les autres troubles d’apprentissage : les troubles d’acquisition de la coordination motrice (dyspraxies), les troubles du calcul (dyscalculies), les troubles de l’attention avec ou sans hyperactivité : THADA... Trois axes directeurs orientent la majeur partie de nos activités :
Les avantages pédagogiques du schéma Découvrez en vidéo l’intérêt du schéma pour favoriser l’apprentissage : Comme l’explique cette vidéo, le schéma favorise l’attention, la compréhension et la mémorisation des apprenants, mais ce n’est pas tout ! En effet, l’utilisation du schéma présente d’autres avantages pédagogiques : Les schémas comme celui du corps humain ou du cycle de l’eau permettent d’expliciter des informations concrètes qui ne sont pas directement visibles à l’œil nu, en mettant en valeur les relations internes entre les objets, leur constitution, leur comportement…Ils peuvent également rendre compréhensibles des informations abstraites ou non perceptibles (des idées, des théories, des concepts) en permettant leur visualisation, et donc leur analyse.Les schémas qui utilisent l’image réconcilient l’hémisphère droit (qui traite les images) et l’hémisphère gauche (qui traite les textes) du cerveau grâce à l’utilisation conjointe du texte et de l’image qui, réunis, font sens.
Une idée pour la classe Connaître ses groupes d’élèves « J’ai fait passer le test des IM à mes différents groupes d’élèves, puis j’ai constitué un portrait de chaque groupe. Je me suis servi de l’affiche sur les IM pour illustrer le profil de chaque groupe. » Témoignages d’enseignants ayant recours aux IM Pour combattre l'ennui Proposer des activités variées et complexes afin de combattre l’ennui, ennemi de la curiosité intellectuelle. Les trois cerveaux de l’être humain (PDF) Respecter la bulle de chacun Attention à la bulle personnelle de chacun. Les trois cerveaux de l’être humain (PDF)Sentiment de sécurité Les règles de la classe doivent être claires et précises pour que les élèves se sentent en sécurité. Les trois cerveaux de l’être humain (PDF)La mémoire La mémoire est à son meilleur dans les situations contextuelles, épisodiques, liées aux événements. Principes clés d’un apprentissage basé sur le fonctionnement du cerveau (PDF)La couleur et le cerveau Le cerveau pense en couleurs. L’eau nourrit le cerveau
Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene L’enfant est doté d’intuitions profondes en matière de repérage sensoriel du nombre. Avant tout apprentissage formel de la numération, il évalue et anticipe les quantités. Apprendre à compter puis à calculer équivaudrait à tout simplement tirer parti de ces circuits préexistants, et, grâce à leur plasticité, à les recycler. L’apprentissage formel de l’arithmétique se « greffe » sur le « sens du nombre » présent chez l’enfant, et sollicite la même zone cérébrale. Le maître-mot, alors, est la plasticité cérébrale. Car c’est précisément ce qui nous permet d’apprendre. Les circuits cérébraux : des capacités disponibles dès l’origine Les circuits cérébraux qui sous-tendent les apprentissages ne sont d’ailleurs pas si variés. L’apprentissage de la lecture active une région spécifique, mais il mobilise et active aussi d’autres zones. Différentes zones du cerveau Mais ce recyclage n’est pas une simple réutilisation. Comment alors passe-t-on d’une lecture ânonnante à une lecture fluide ? 1. 2.
Théories de l'apprentissage - Idées ASH Apprendre, c'est comprendre. C'est construire un savoir que l'on va pouvoir réinvestir. Pour que l'élève apprenne, il est essentiel: Qu'il soit conscient de ce que l'on essaie de lui faire comprendre et pourquoi.Qu'il soit conscient de " comment " il apprend.Qu'il ait envie d'apprendre. Enseigner, c'est aider l'enfant à apprendre, à construire un savoir. Ce qui est essentiel avant / pendant / après l'enseignement : Connaître la façon dont l'enfant apprend.Vérifier qu'il ne construise pas une " fausse compréhension ". LE TRIANGLE PEDAGOGIQUE de HOUSSAYE : Dans son modèle de compréhension pédagogique, Jean Houssaye, aujourd'hui professeur de Sciences de l'Education à l'université de Rouen, définit tout acte pédagogique comme l'espace entre trois sommets d'un triangle : l'enseignant, l'apprenant et le savoir. Selon Houssaye, toute pédagogie est articulée sur la relation privilégiée entre deux des trois éléments (les sujets actifs) et l'exclusion du troisième (qui fait le fou, ou le mort)
Formation en ligne pour les enseignants | Dyslexia International Cette formation en ligne gratuite, présentée lors du Forum Mondial sur la Dyslexie au siège de l’UNESCO à Paris en 2010, est destinée tant aux enseignants qu’aux futurs enseignants. Elle a été élaborée par des experts dans les domaines de la lecture et de ses troubles, afin d’être adoptée et utilisée systématiquement comme module obligatoire dans les programmes de formation des enseignants fournis par les autorités éducationnelles nationales et locales. La formation fournit à tous les enseignants des outils concrets leur permettant d’élargir leurs connaissances concernant l’adaptation de leurs enseignements aux besoins éducationnels de tous les apprenants dans leurs classes, d’augmenter le taux d’apprentissage et de maîtrise du langage écrit, et de réduire les moqueries et brimades ainsi que le décrochage scolaire. La formation est optimisée pour les ordinateurs, les portables et la majorité des tablettes en format paysage. Accéder directement à la formation
Apprentissage : à chacun son style La recherche sur les styles d’apprentissage, dont les origines remontent aux années 1930, connait depuis plusieurs années un renouveau sans doute lié à l’engouement pour la psychologie cognitive et les neurosciences. Ce qui émane de ces recherches, c’est une multitude de points de vue disparates et fragmentés qui contribue à accentuer le flou conceptuel. Marie Gaussel, de l’Institut français de l’éducation (IFE), nous éclaircit l’horizon. Qu’entendez-vous par « style d’apprentissage » ? Ce serait une démarche privilégiée par chaque individu pour appréhender l’acte d’apprendre. 1 - les modèles centrés sur des facteurs génétiques et les préférences innées de l’apprenant comme les sens et la perception, visuels, tactiles, auditifs et kinesthésiques, ou basés sur l’opposition cerveau droit-cerveau gauche. On attend de la recherche d’obtenir des données probantes et fiables, issues d’enquêtes longitudinales et empiriques. Et jusqu’à présent, est-ce cela que l’on a obtenu ?
Donnez du sens à vos études » Comment s’exercer à apprendre ? Isabelle Le Brun est docteur en neurosciences et maître de conférence à l'Université Joseph Fourier de Grenoble. Elle a conçu et enseigne une UV portant sur les méthodes d'apprentissage, dans le cadre de laquelle elle s'appuie sur les dernières recherches validées dans son champ de recherche (mise en pratique de la diffusion et du développement des savoirs). Avec son collègue Pascal Lafourcade, ils ont eu l'idée d'écrire un livre pour partager ce qu'ils expérimentent avec leurs étudiants. Ils ont choisi de retenir quatre thématiques liées à l'apprentissage, dans le cadre desquelles les avancées en matière de recherche permettent des applications pratiques : – La mémorisation – L'attention – Les émotions – Les représentations mentales et la résolution de problèmes Le grand intérêt de ce livre réside dans le fait que les auteurs ne se sont pas contentés de faire une synthèse des avancées en matière de recherche pour en déduire quelques pistes à exploiter. Je dirais A lire ensuite
Animer un grand groupe : quels outils Les grands groupes nous contraignent-ils nécessairement à une approche "magistrale" et à une technique pédagogique basée sur les exposés et les diaporamas ? Cet article présente quelques techniques et des ressources qui montrent que des alternatives existent. Basées ou non sur des solutions numériques, elles créent d'autres formes d'interactions que celles qui prévalent dans les petits groupes et permettent un véritable apprentissage. Les classiques : les sous-groupes Le réflexe face à un grand groupe consiste à créer des groupes plus petits, et à leur confier soit la même tâche, soit des tâches différentes et complémentaires. Le succès réside dans la clarté des consignes, car si les groupes hésitent sur ce qui est attendu, le formateur ou professeur est condamné à passer de l'un à l'autre pour apporter des précisions... et la dynamique est rompue. Hotseat Déjà chroniquée sur Thot, Hotseat se propose de réunir quelques fonctions simples. Le Phillips 6/6 Le groupe peut créer un support.
5 principes issus des neurosciences pour favoriser l'apprentissage en formation Quels sont, à votre avis, les avantages et inconvénients des pédagogies actives, ludiques et participatives ? Si les entreprises semblent conscientes de la nécessité d’amorcer un virage pédagogique dans leurs formations, elles sont parfois réticentes à l’idée de passer à l’action : est-ce vraiment utile et pertinent ? De mon point de vue, la réponse est indéniablement : OUI ! Et les recherches scientifiques menées ces dernières années vont clairement dans ce sens. Découvrez 5 principes essentiels issus des recherches en neurosciences pour mieux favoriser l’apprentissage dans vos formations. 1. Tous les êtres humains disposent d’une mémoire de travail. Le problème de notre mémoire de travail, c’est qu’elle dispose d’une capacité très limitée : elle ne peut conserver simultanément que 7 éléments (+/- 2 en fonction des individus) pendant une période de 30 secondes. De plus, les recherches montrent que l’attention des apprenants chute naturellement au bout d’environ 10 minutes. 2. 3. 4. 5. J.
Metacognition : Qu'est-ce que la métacognition Décomposition du terme Pour commencer, voyons de quels termes le mot "métacognition" se compose. Cognition : faculté de connaître, acte mental par lequel on acquiert une connaissance, opération cognitive relative à la connaissance. Méta : du grec méta – au delà de – après – qui indique le changement – la postérité, la supériorité, le dépassement. Exemples de la vie quotidienne: Afin d'illustrer le terme de métacognition, et bien comprendre à quoi il se réfère, voici quelques exemples de la vie quotidienne impliquant la métacognition: Monter un meuble implique de regrouper les éléments à assembler, de planifier les tâches (s'occuper d'abord de mettre les vis sur chaque élement, respecter ou pas l'ordre de la notice de montage, mettre toutes les étagères ou juste un certain nombre (s'il y en a), etc). Pour améliorer ses performances, un sportif fait appel à la métacognition. Les domaines d'application sont donc très vastes. Quelques définitions: Un concept composite Pour résumer Bibliographie