Taxonomie de Bloom La taxonomie de Bloom est un modèle de la pédagogie proposant une classification des niveaux d'acquisition des compétences[1]. Benjamin Bloom, bien qu'il n'en soit pas le seul créateur (34 universitaires américains participent aux conférences de 1949 à 1953), est souvent reconnu comme le « père » de cet outil[2],[3]. Elle peut être résumée en six niveaux hiérarchiques[5]. À chaque niveau correspondent des opérations typiques. Depuis sa formulation en 1956, les critiques de la taxonomie de Bloom ont généralement porté, non pas sur l'existence des six catégories, mais sur la réalité d'un lien hiérarchique séquentiel entre elles[7]. Certains considèrent les trois niveaux les plus bas (connaissance, compréhension, application) comme étant hiérarchiquement ordonnés, mais les trois niveaux supérieurs (analyse, évaluation et synthèse) comme égaux. Ainsi, en 2001, une taxonomie révisée de Bloom a été proposée par plusieurs auteurs dont Lorin W. Chaque niveau englobe les précédents.
Pédagogie et Formation professionnelle continue Pourquoi le Mindmapping est-il si efficace pour étudier ? Pourquoi dit-on que le Mindmapping peut aider les étudiants ? Est-ce vraiment si efficace ? Et si oui, pourquoi ? A ces questions, on peut répondre sans hésitation : OUI, le Mindmapping est une méthode efficace pour étudier. La vue : le sens dominant d’une majorité de personnes Une étude de Linda Kreger Silverman, Docteur en psychologie de l’Université du Colorado, menée sur 750 élèves, a démontré qu’environ 30% d’entre eux utilisaient fortement le canal visuel-spatial, 25 % d’entre eux utilisaient principalement le canal auditif-séquentiel, et 45% utilisent les deux ensemble. Ce qui veut dire que l’enseignement actuel, basé principalement sur les mots, répond vraiment aux besoins de 25% de la population scolaire! Répartition des canaux sensoriels dominants Une méthode qui sollicite tous nos sens ! Par son utilisation de mots-clés, d’associations et de relations entre les concepts stimule également l’utilisation du canal auditif et de l’intelligence verbale. Vous avez aimé cet article ?
Le groupe de réflexion, un espace entre pratique et savoirs Suivant Le « Groupe de réflexion » ou groupe d’analyse des pratiques valorise l’expérience vécue par l’étudiant praticien comme auteur de choix et de décisions dans l’agir professionnel. Il repose sur l’analyse de situations professionnelles réelles, étudiées au sein d’un groupe de pairs animé par un formateur de l’IFSI et un tuteur de stage ou un infirmier participant à l’encadrement. L’objectif est de faire émerger et d’analyser l’écart entre le travail prescrit et le travail réel. Plan DéfinitionNouveau référentiel et formation par alternances 2.1. 1. Au cours de son activité professionnelle, le praticien rencontre en permanence des situations singulières pour lesquelles il doit construire des réponses adaptées qui ne correspondent pas entièrement à un travail prescrit. Dans le cadre du nouveau programme de formation, l’étudiant en soins infirmiers participe à des séquences d'analyse des pratiques, que nous appellerons ici « Groupes de réflexion ». Elles lui permettent de : 2. 2.1. 2.2.
Avez-vous dit compétence? 28 avril 2010 Henri Boudreault Didactique professionnelle, La compétence, Le contexte, Le savoir, Le savoir-être, Le savoir-faire Un commentaire About these ads WordPress: J'aime chargement… La carte conceptuelle : Un outil de développement de la métacognition Introduction En tant que formateur chargé d’une part d’organiser l’enseignement et d’autre part de dispenser des cours, et face à la masse de connaissances qu’un étudiant se doit d’apprendre et de retenir lors de ses études, vous êtes-vous posé les questions suivantes : Comment fonctionne le cerveau ?Comment fonctionne la mémoire ? Cet article présente une technique pédagogique appelée « Carte conceptuelle » qui peut être utilisée par le formateur, quelles que soient les connaissances à enseigner et qui permet de développer les performances d’apprentissage des étudiants. La carte conceptuelle fait partie des outils qui servent à représenter les informations de façon visuelle. La carte conceptuelle en dehors de ses aspects pratiques, procure des sensations et des sentiments chez l’étudiant.Elle permet de : Son intérêt est donc multiple pour l’étudiant comme pour le formateur. Le cerveau assume ainsi cinq fonctions : RepérerRelierRangerRetrouver En pré-test En post-test
Styles d’apprentissage : la typologie de Kolb Beaucoup d’encre a coulé au sujet des styles d’apprentissage. Vous aurez sûrement l’occasion de constater que votre apprenant a de la difficulté à saisir des concepts qui paraissent fort simples. Il est fort probable qu’il ait un style d’apprentissage différent du vôtre et que vos stratégies d’apprentissage s’avèrent inefficaces pour lui. Le style d’apprentissage dominant, c’est la manière préférentielle de résoudre un problème. Nous utilisons les quatre styles de base, mais 75% des gens ont un style dominant. On ne peut pas hiérarchiser les styles d’apprentissage : leur efficacité spécifique varie en fonction des circonstances … Il n’y a donc pas UNE bonne façon d’apprendre ou de résoudre un problème … En conséquence, nous sommes différents, mais complémentaires. Le cycle de Kolb et ses dérivés Le cycle de KOLB David Kolb a étudié l’apprentissage et a remarqué que toute personne qui se trouve en situation d’apprentissage passe par un cycle de quatre phases. Le cycle de McCarthy 1. 2. 3. 4.
Mémorisation : trouver sa stratégie Dans tous les cas : lire, relire, et réviser plusieurs fois Il faut souvent apprendre plusieurs fois pour mémoriser vraiment Il n'y a pas de secret : pour bien mémoriser, il faut relire et réviser plusieurs fois le même cours et la même leçon. C'est la règle de base indispensable à tous, quelle que soit votre forme d'apprentissage. Vous le savez sans doute déjà : il est conseillé de relire une première fois un cours ou une leçon, le jour ou le soir même. Pour apprendre, il faut se représenter mentalement ce qu'on découvre Comment se représenter ce que l'on étudie ? Mais comment apprendre ? Les différentes stratégies pour évoquer et retenir les connaissances Certains retiennent grâce aux images ou aux représentions visuelles. Relisez votre cours lentement. Si vous êtes auditif et verbal, récitez vos cours à haute voix. Il se peut que ce qui vous revienne soit plutôt la voix de l'enseignant, un son, une musique, le récit d'une histoire, d'une anecdote citée dans le cours.
Créer de bonnes habitudes de mémorisation | Mémoire & Concentration ©stockxpert_orla Vous savez quoi ? Le principal problème avec les techniques de mémorisation, c’est de s’en rappeler ! Sérieusement, il existe quantité de méthodes et d’exercices pour stimuler la mémoire, mais si vous ne prenez pas l’habitude de les utiliser, vous allez les oublier… Quelle que soit la mnémotechnique, vous devez faire un effort conscient pour l’appliquer jusqu’à ce qu’elle devienne automatique. Nous sommes tous conscients du fait qu’il est possible de développer nos mémoires avec des exercices quotidiens prévus pour une augmentation graduelle de la difficulté; Comme la pratique régulière d’un sport augmente nos capacités physiques. Nous pouvons donc stimuler notre mémoire grâce à de simples activités quotidiennes du cerveau. Donnez-vous l’ordre d’enregistrer. 2 Exercices simples pour stimuler la mémoire à long terme 1° Vous souvenez-vous de 15 détails de votre vie au moment de la mort de la princesse Diana ? Le stress et les techniques d’amélioration de la mémoire
10 méthodes pour réviser, mémoriser et apprendre Dans les situations d’apprentissage, le bachotage est décrié et tous les enseignants conseillent à leurs élèves de relire leur leçon le soir-même pour mieux mémoriser. Mais, pour les élèves, les questions demeurent les mêmes : comment faire pour relire efficacement ?comment éviter de bachoter ?comment mémoriser durablement ? Les élèves disent parfois : « Les profs, ils nous disent de relire nos leçons le soir mais moi, ça me sert à rien. Comment trouver des moyens de dire au cerveau que l’information lue, écrite, consultée et apprise est importante, qu’elle a de la valeur, de l’intérêt pour le long-terme… et qu’elle mérite donc d’être retenue ? 1. Une manière de signaler une information importante au cerveau est d’en parler, de jouer soi-même au professeur. J’ai rédigé un article consacré à l’art de (se) poser des questions pour apprendre : Apprenons aux enfants à se poser des questions. 2. 3. Le fait d’associer un mot ou une phrase à une image permet de mieux s’en rappeler. 4. Le lapbook
Comment rendre la méthodologie du travail amusante ? Pour plusieurs élèves, la méthodologie de travail peut s'avérer un défi de taille. Enseigner les méthodes de travail efficaces peut aussi être une tâche ardue pour vous. Ce guide vous fournit des ressources pour outiller vos élèves et vous aide à mieux gérer vos attentes pédagogiques. Vous y trouverez : Des pistes de motivationpour développer de bonnes habitudes de travail Des outils à imprimerpour fournir des références à vos élèves Des sites à consulterpour bien apprendre et bien travailler Des profils d'apprenantspour comprendre comment on apprend Développer la méthodologie de travail des élèves… Pourquoi? Travailler avec méthode et efficacité n’est pas une habileté innée chez la plupart des élèves. Pourquoi ne pas organiser le grand défi de méthodologue? Ciblez des stratégies méthodologiques et graduez-les selon un ordre de difficulté. Notez la réussite des objectifs choisis sur un tableau. La créativité doit être au rendez-vous! De temps à autre, organisez des concours surprises.