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Pédagogie + Numérique = Apprentissages 2.0 (dossier)

Pédagogie + Numérique = Apprentissages 2.0 (dossier)
L’Institut Français de l’Éducation publie un dossier complet d’actualité veille et analyses (n°79, novembre 2012) intitulé Pédagogie + Numérique = Apprentissages 2.0 (21 pages, en pdf). Questions centrales de ce document : quelle est l’efficacité du numérique en terme d’impact pour les apprentissages ? Y a-t-il une motivation renouvelée chez les apprenants ? Quelles solutions technologiques peuvent soutenir efficacement les apprentissages, et quelle pédagogie doit être mise en place pour profiter pleinement des possibilités offertes par le numérique ? Le dossier a été coordonné par Rémi Thibert (chargé d’études et de recherche à l’IFé). Numérique et apprentissage : analyse Le dossier Pédagogie + Numérique = Apprentissages 2.0 met en avant une sélection de travaux sur les usages du numérique dans les établissements scolaires du secondaire pour établir une analyse distanciée du rapport des technologies de l’information et de la communication à l’apprendre. Introduction Bibliographie Licence :

Cloud computing Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le cloud computing[1], ou l’informatique en nuage ou nuagique ou encore l’infonuagique (au Québec), est l'exploitation de la puissance de calcul ou de stockage de serveurs informatiques distants par l'intermédiaire d'un réseau, généralement Internet. Ces serveurs sont loués à la demande, le plus souvent par tranche d'utilisation selon des critères techniques (puissance, bande passante, etc.) mais également au forfait. Le cloud computing se caractérise par sa grande souplesse : selon le niveau de compétence de l'utilisateur client, il est possible de gérer soi-même son serveur ou de se contenter d'utiliser des applicatifs distants en mode SaaS[2],[3],[4]. Terminologie[modifier | modifier le code] Les francisations « informatique en nuage »[7], « informatique dématérialisée »[9], ou plus rarement « infonuagique »[10] sont également utilisées. Principes - le Nuage[modifier | modifier le code] Services[modifier | modifier le code] Distribution :

Communiquer en MST, idées d’utilisations du Web 2.0 Vous voulez intégrer les TIC dans l’apprentissage de vos élèves mais ne savez pas trop comment faire ? Vous ne voulez pas tout changer dans votre préparation de cours et vous croyez que les TIC pourraient apporter un plus dans votre classe ? Voici un texte pouvant vous donner des idées pour une intégration de TIC puissantes mais relativement simples d’appropriation. Le but du présent texte : Donner des idées d’intégration des TIC (Web 2.0) pour la classe de science et technologie en lien avec la communication. Note : Le présent texte est une suite/complément de ce texte et de celui-ci. Contexte [sommaire]Les outils du Web 2.0 foisonnent, tellement qu’il est impossible de tous les connaître et encore moins de les essayer/évaluer tous [1]. Voici un schéma synthèse pouvant aider à la compréhension du texte : Avantages des applications Web 2.0 Voici quelques points intéressants en lien avec le but de notre texte : Suite Google Mind42 Delicious Twitter Site Web et/ou blogue de classe Scribd Des idées ?

La cyberappréciation pour contrer l'intimidation à l'école | Annie Mathieu Plutôt que des bêtises, Florent Montminy, 12 ans, a été l'objet d'un «doux tweet» l'an dernier : «Florent est vraiment drôle, très gentil et il aide les autres». Diffusés sur le réseau social, ces mots lui ont fait beaucoup de bien, raconte l'élève de l'école du Parc-Orléans. Depuis un an, il n'est pas le seul de son établissement à recevoir des fleurs sur Internet. «On dirait que plus ça va, plus ils se déprécient», constate la professeure de cinquième année Cathy Giasson. L'idée a fait boule de neige après que Jasmin Roy, qui lutte contre l'intimidation, eut visité l'école de Charlesbourg à l'automne 2012. Outils pédagogiques Entre le 30 septembre et le 4 octobre, toutes les écoles de la province sont invitées à suivre l'exemple de celle du Parc-Orléans pour promouvoir chez les jeunes «une utilisation responsable et positive des médias sociaux».

Cloud computing - Informatique dans les nuages Le cloud computing ou informatique en nuage est une infrastructure dans laquelle la puissance de calcul et le stockage sont gérés par des serveurs distants auxquels les usagers se connectent via une liaison Internet sécurisée. L’ordinateur de bureau ou portable, le téléphone mobile, la tablette tactile et autres objets connectés deviennent des points d’accès pour exécuter des applications ou consulter des données qui sont hébergées sur les serveurs. Le cloud se caractérise également par sa souplesse qui permet aux fournisseurs d’adapter automatiquement la capacité de stockage et la puissance de calcul aux besoins des utilisateurs. On distingue plusieurs types de services cloud : Le cloud computing utilise la métaphore des nuages pour symboliser la dématérialisation de l’informatique. © George Thomas, Flickr, CC by-sa 2.0 Cloud computing - 1 Photo À voir aussi sur Internet connexes

Favoriser un comportement éthique en ligne chez les jeunes En ce Mois de la sensibilisation à la cybersécurité, HabiloMédias lance son programme Sur le droit chemin : Enseigner aux enfants un comportement éthique et sécuritaire en ligne. Cette trousse outillera autant les éducateurs et les parents que les jeunes eux-mêmes. Octobre souligne le Mois de la sensibilisation à la cybersécurité, mais également la Semaine contre l’intimidation et la violence. À cette occasion, l’organisme HabiloMédias, centre canadien pour la littératie numérique et l’éducation aux médias, met de l’avant un programme novateur centré sur la citoyenneté numérique, pour les élèves du 3e cycle du primaire. Maintenant en ligne, le programme Sur le droit chemin : Enseigner aux enfants un comportement éthique et sécuritaire en ligne se veut une ressource éducative à l’usage des parents, des enseignants et des éducateurs. Rigoureux, le programme se divise en quatre leçons dont les dénominateurs communs sont les compétences en recherche et la pensée critique.

Les 18-24 ans, «génération numérique» de mutants Joignabilité permanente, immédiateté des échanges et choix constants des modes de communication sont les caractéristiques du digital native. - Photothèque La Presse Les 18-24 ans, première génération ayant totalement vécu dans l'ère numérique, sont les acteurs d'un changement profond qui les voit réinventer leur rapport aux autres, au travail, à la consommation, selon une étude menée pendant trois mois auprès d'une centaine d'entre eux. Le digital native (Jeune issu de la première génération numérique) - expression apparue en 2001 aux États-Unis - a grandi dans un environnement de jeux vidéo, d'ordinateurs, de téléphones mobiles et de virtualité induisant un rapport au temps et à l'espace «qui casse toutes les règles des générations précédentes», résume l'institut BVA qui a mené cette étude. Il zappe en permanence et «conforte cette habitude dans la vraie vie» en évitant au maximum l'affrontement au profit d'un contournement des problèmes érigé en système, note BVA.

Une vidéothèque (presque) idéale de conférences sur le numérique en éducation Les captations vidéos en ligne de conférences relatives à l'usage du numérique en éducation permettent d'allonger la durée de vie de ces événements et d'élargir leur public au-delà des quelques privilégiés qui ont participé en présence aux évènements. Le problème avec ces vidéos, c'est évidemment de les trouver, tant les sites qui les mettent à disposition sont éparpillés et volumineux. Pour cette raison, l'effort réalisé par Jeff Tavernier sur son blog doit être salué : il a regroupé sur une même page une trentaine de captations vidéos de grande qualité, réalisées entre 2011 et 2013, classées en 6 rubriques : Cultures numériques Société numérique Education et numérique Pédagogie et réseaux numériques Pédagogie et numérique à l'université Sciences cognitives et numérique Un manque criant toutefois : on ne trouvera là aucune intervention sur la formation à distance. Niveau : Professionnel

Cloud Computing Computers used to work alone, inside a home or business. But thanks to the Internet, we can now use the power of computers at a completely different location - what we call "in the cloud". To start, meet Lucy from Lucy's Lilies, a new florist. She is concerned about how to manage flower deliveries. Right now she's responsible for hiring drivers and keeping the vans running. She's a florist, not a mechanic - delivery is a distraction. Then she learned about a new kind of delivery company that has an unlimited fleet of drivers and vans that she can use on an as-needed basis - and she only pay for what she uses. A few years later, her business savvy paid off. Then she learned about cloud computing, which works a lot like her deliveries. They have all the computing power she needs and it's all secure, backed up at another location and accessible through the Web - what people call "in the cloud." But that's not all. But what she really loves is only paying for what she uses.

The Constructivist Theory – Yeah so, what’s that? The Theory Explained! | Nina's Arena-Teaching & Learning in the Australian primary classroom I’m often asked about the Constructivist Theory and to be honest, I’ve had to research this myself to really embed it into my practice. I’ve taken Kevin Blissett’s post about the Constructivist Theory from his blog, as I found his summary excellent. His last paragraph states his beliefs and I have to agree with him. Kevin Blissett writes a fantastic blog of which I am a regular reader. He is the principal of an international school in China. The overwhelming trend in schools of education and “best practices” within many schools is founded in a philosophy known as constructivism. His last paragraph states his beliefs and I have to agree i.e ‘novice learners need substantial guidance but also a decent dose of inquiry.’ Sometimes someone else just writes it better.

Génération C Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La génération C désigne, selon le Centre francophone d'informatisation des organisations (CEFRIO)[1], l'ensemble des personnes nées entre 1984 et 1996. Elle se caractérise par le fait qu'elle a grandi avec les technologies de l'information et Internet, dont elle se sert pour communiquer, collaborer et créer. Au Québec, la génération C regroupe un million et demi de personnes[1]. Notes et références[modifier | modifier le code] Annexe[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] | Après la Génération Y... la Génération C (redaction.blog.regionsjob.com) Portail de la sociologie

Sens et fonction des avatars Par Serge TISSERON, psychiatre On appelle « avatars » les marionnettes de pixels qui permettent d’entrer dans les espaces virtuels et d’y interagir. Ils permettent à un joueur, pour la première fois dans l’histoire, de devenir en temps réel le spectateur de ses propres actions. 1. L’avatar permet à volonté au joueur de voir le monde « avec ses yeux » – en vision subjective – ou bien de le voir détaché de soi, comme on se voit parfois soi-même dans un rêve. 2. De nombreux jeux commencent par la construction de son avatar : ce moment est une sorted’épreuve projective où le joueur choisit le sexe, la taille, l’apparence et les caractéristiques psychologiques de son personnage. Ces choix vont notamment déterminer les formes de sa participation aux combats. 3. Parfois, l’avatar est fabriqué sur mesure pour redonner vie à ce que nous avons été. 4. Le personnage auquel le joueur donne vie est aussi parfois une figure parentale à laquelle il cherche à rester attaché. 5.

» La « curation », un nouveau métier du Web? Très bientôt, le contenu accessible sur Internet doublera toutes les 72 heures. Trouver une information pertinente deviendra une tâche encore plus ardue! En réponse à cette préoccupation, une pratique est en vogue depuis plusieurs mois sur le Web: la curation. Qu’est-ce que la curation? Le terme anglais curator se traduit par conservateur dans le domaine de l’art. Source: prezi.com L’organisateur de contenu recherche l’information sur les réseaux sociaux ou dans les médias traditionnels, la sélectionne, la classe pour ensuite la partager à l’interne (site de l’entreprise, bulletin électronique) ou à l’externe (médias sociaux, blogue). Tout le monde fait de l’organisation de contenu sans le savoir, que ce soit en publiant un lien sur Facebook ou Twitter et en y intégrant un commentaire ou encore en émettant un avis sur TripAdvisor. Enfin, la raison de cette «agitation» autour de cette pratique réside dans la nouveauté des outils et des modes de visualisation. Source: Scoop.it Sources:

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