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La Dialectique éristique

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Définition[modifier | modifier le code] « La dialectique éristique est l'art de la controverse. » Cet art repose sur la distinction entre la vérité objective d'une proposition et l'apparence de vérité que cette proposition peut prendre aux yeux des disputeurs et des auditeurs. Causes et fonctions de la dialectique[modifier | modifier le code] Si les hommes étaient honnêtes, il n'y aurait pas de dialectique. la malhonnêteté ;la vanité ;le fait de parler avant de réfléchir ;l'obstination dans l'erreur. Une autre cause est que l'expérience enseigne que lorsque nos arguments en faveur d'une thèse sont réfutés, il pourra toujours se trouver un nouvel argument qui nous donnera finalement raison. Le résultat de cet ensemble est que tout homme veut que sa thèse paraisse vraie, même (et surtout) quand il sait qu'elle est fausse. En conséquence, les moyens de cet art relèvent de la ruse et de l'adresse ; chacun en est pourvu, quoique de manière inégale. Related:  gregoryleroi

The Art of Being Right The Art of Being Right: 38 Ways to Win an Argument (1831) (Eristische Dialektik: Die Kunst, Recht zu Behalten) is an acidulous and sarcastic treatise written by the German philosopher Arthur Schopenhauer in sarcastic deadpan.[1] In it, Schopenhauer examines a total of thirty-eight methods of showing up one's opponent in a debate. He introduces his essay with the idea that philosophers have concentrated in ample measure on the rules of logic, but have not (especially since the time of Immanuel Kant) engaged with the darker art of the dialectic, of controversy. Whereas the purpose of logic is classically said to be a method of arriving at the truth, dialectic, says Schopenhauer, "...on the other hand, would treat of the intercourse between two rational beings who, because they are rational, ought to think in common, but who, as soon as they cease to agree like two clocks keeping exactly the same time, create a disputation, or intellectual contest." Publication[edit] A. Synopsis[edit]

Ménon Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Ménon est un dialogue de Platon, dans lequel Ménon et Socrate essaient de trouver la définition de la vertu, sa nature, afin de savoir si la vertu s'enseigne ou, sinon, de quelle façon elle est obtenue. Dans un premier temps, la question examinée est donc celle de l'essence de la vertu. Néanmoins, après plusieurs vaines tentatives de réponse, Socrate et Ménon examinent la question plus générale encore : la connaissance est-elle seulement possible ? Et comment ? Personnages[modifier | modifier le code] Résumé[modifier | modifier le code] Qu'est-ce que la vertu ? « Pourrais-tu me dire, Socrate, si la vertu peut être enseignée, ou si, ne pouvant l'être, elle s'acquiert par la pratique, ou enfin si elle ne résulte ni de la pratique ni de l'enseignement, mais vient aux hommes naturellement ou de quelque autre façon? Ménon affirme qu'il « existe une multitude [de] vertus » et qu'on est donc « pas embarrassé pour définir la vertu » (72a) .

Guide de méthodes participatives : 63 méthodes présentées! Comment animer, manager, former, contribuer en mode réel à plusieurs et de façon créative. Pour éviter la « réunionite », les conférences traditionnelles et ateliers formels avec orateurs ne donnant pas la parole à l’audience, pour refonder la formation… Pour rompre les habitudes, la Fondation Roi Baudouin propose une publication librement téléchargeable qui fait dans la différence : Méthodes participatives. Un guide pour l’utilisateur (204 pages, en pdf). Ce guide pratique « boite à outils » présente 13 méthodes participatives éprouvées pour que les individus « jouent un rôle plus actif dans la gouvernance de leur société » ; pour des projets favorisant dans leur construction et élaboration un exercice démocratique, un recul critique. Participer et apprendre à collaborer! Une introduction très fournie permet d’établir un cadre général de ces méthodes avec critères de réussir et de dresser un tableau comparatif de 13 méthodes participatives. Les 13 méthodes du guide Licence :

Rhetoric Painting depicting a lecture in a knight academy, painted by Pieter Isaacsz or Reinhold Timm for Rosenborg Castle as part of a series of seven paintings depicting the seven independent arts. This painting illustrates rhetorics. From Ancient Greece to the late 19th century, it was a central part of Western education, filling the need to train public speakers and writers to move audiences to action with arguments.[4] The word is derived from the Greek ῥητορικός (rhētorikós), "oratorical",[5] from ῥήτωρ (rhḗtōr), "public speaker",[6] related to ῥῆμα (rhêma), "that which is said or spoken, word, saying",[7] and ultimately derived from the verb ἐρῶ (erō), "say, speak".[8] Uses of rhetoric[edit] Scope of rhetoric[edit] Scholars have debated the scope of rhetoric since ancient times. Because the ancient Greeks highly valued public political participation, rhetoric emerged as a crucial tool to influence politics. However, since the time of Aristotle, logic has changed.

Gorgones Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Gorgones (en grec ancien Γοργόνες / Gorgónes ou Γοργοῖ / Gorgoĩ), au singulier Gorgone ou Gorgo (Γοργώ / Gorgố) sont, dans la mythologie grecque, des créatures fantastiques malfaisantes et d'une telle laideur que quiconque ose regarder leur visage meurt pétrifié. Les Gorgones dans l'Antiquité[modifier | modifier le code] Mythe antique[modifier | modifier le code] Plus tard, Euripide ne mentionna qu'une Gorgone, un monstre conçu par Gaïa (la Terre) pour aider ses fils, les Géants, dans leur bataille contre les dieux, et qui fut tué par Athéna. Eschyle écrit qu'elles n'avaient qu'un seul œil et une seule dent à elles trois, comme leurs sœurs Grées. Selon certaines versions du mythe[réf. nécessaire], du sang pris sur le côté droit d'une Gorgone pouvait ramener un mort à la vie, tandis que celui pris sur son côté gauche devenait un poison fatal et instantané. Les Gorgones dans les arts visuels antiques[modifier | modifier le code]

L’Art d’avoir toujours raison La bibliothèque libre. Traduction Wikisource - Texte entier: HTML PDF Note : le manuscrit original ne comportait pas le titre et fut probablement écrit vers 1830. Il fut publié sous différents titres tels Dialectique ou Dialectique éristique ou L'Art d'avoir toujours raison. Introduction Stratagèmes Rhétorique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Au-delà de cette définition générale, la rhétorique a connu au cours de son histoire une tension entre deux conceptions antagonistes, la rhétorique comme art de la persuasion et la rhétorique comme art de l'éloquence. La rhétorique grecque, telle qu'elle fut pratiquée par les sophistes et codifiée par Aristote, se préoccupait principalement de persuader. Problématiques de la rhétorique[modifier | modifier le code] Polémiques autour d'une définition[modifier | modifier le code] Marc Fumaroli comme Joëlle Gardes-Tamine ont étudié les conceptions de la rhétorique au cours des siècles et relèvent que celles-ci peuvent se rattacher à deux traditions philosophiques[4] : la définition d'origine sophistique, selon laquelle la rhétorique doit persuader. Les recherches contemporaines ont disséqué la rhétorique et les interprétations se sont multipliées. Trois notions centrales : le logos, le pathos et l'êthos[modifier | modifier le code] Pour J.

Caïn Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Caïn (prononciation : [kaɛ̃; le mot hébreu peut signifier « forger » ou encore, à l'aide de la racine « j'ai acquis »[1]) est un personnage de la Bible et du Coran. Dans ces textes qui fondent les croyances judéo-chrétiennes et musulmanes, il est le fils aîné du premier couple Adam et Ève, et tue son frère cadet Abel, devenant ainsi le tout premier meurtrier de l'humanité[2]. Caïn est le fils aîné d'Adam et Ève. Il est paysan, et a un frère Abel qui est berger. La symbolique chrétienne de l'histoire de Caïn, Abel et Seth dans la Bible[modifier | modifier le code] Caïn fuyant avec sa famille. Abel est une victime de haute valeur symbolique ; il est le type du juste persécuté, et une figure du Christ. Caïn, par son meurtre, révèle la haine qui habite le cœur de l'homme ; il est le type du mauvais, qui hait le juste. Caïn dans le Coran[modifier | modifier le code] Le Coran[12] raconte aussi l'histoire des deux fils d'Adam sans les nommer.

L'Art d'avoir toujours raison Passages choisis 000815 [et de se faire détester de tous] par Schopenhauer Éditions mille et une nuits © 1983 Présentation Base De Toute Dialectique Base de toute dialectique Tout d'abord, l'essentiel de toute controverse est le fait qu'une thèse soit posée par l'adversaire (ou nous-mêmes, peu importe). 1)Les modes : a) ad rem b) ad hominem ou ex concessis c'est-à-dire que nous démontrons soit a) que cette thèse n'est pas en accord avec la nature des choses, la vérité objective absolue b) soit qu'elle contredit d'autres affirmations ou concessions de l'adversaire, c'est-à-dire la vérité subjective relative. 2) Les méthodes : a) réfutation directe b) et indirecte. a) La réfutation directe attaque la thèse dans ses fondements, b) l'indirecte dans ses conséquences. a) La directe démontre que la thèse n'est pas vraie, b) l'indirecte, qu'elle ne peut pas être vraie. Voilà la base de toute controverse. 1. Ex : Les Chinois... Les femmes... , les hommes... Les jeunes... Les homosexuels... 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.

Figurez-vous que vous avez du style! On pourrait croire que les figures de style sont l’apanage des grands auteurs et des professeurs de français qui prennent plaisir à tourmenter leurs étudiants... Pourtant, chacun de nous emploie quotidiennement plusieurs procédés stylistiques. Sans même y penser, nous agrémentons notre discours de métaphores, de métonymies ou d’ellipses. La plupart du temps, cependant, nous serions incapables de nommer ces figures. Difficile alors de différencier l’antiphrase de l’ironie, l’euphémisme de la litote, l’anacyclique du palindrome, ou la périphrase de la circonlocution. C’est pourquoi nous vous invitons à découvrir quelques procédés stylistiques... que vous connaissez peut-être déjà, sans le savoir. Lorsque vous connaîtrez mieux les figures de style, pourquoi ne pas tester vos connaissances et faire une grille de mots croisés sur le sujet?

Éris Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans la mythologie grecque, Éris (en grec ancien Ἔρις / Éris) est la déesse de la Discorde. Mythe[modifier | modifier le code] Selon Hésiode, elle est fille de Nyx (la Nuit) et donne naissance seule, comme sa mère, à de nombreux enfants, tous méchants et malfaisants : Ponos (la Peine), Léthé (l'Oubli), Limos (la Faim), Phonoi et Makhai (les Meurtres et les Combats), Dysnomie et Até (l'Anarchie et le Désastre), Algea (les Douleurs), Hysminai (les Mêlées), Androktasiai (les Tueries), Neikea (les Querelles), Amphilogiai (les Disputes), Pseudoi Logoi (les Mots Menteurs) et Horkos (le Serment) qui veille sans cesse sur les serments qu'il sanctionne, comme il punit sans pitié le parjure volontaire. Dans l'Iliade, elle est la sœur d'Arès, dieu de la Guerre ; elle l'accompagne dans ses combats et tient en main l'emblème de la guerre. Homère la décrit ainsi (IV, 440-443) : Postérité[modifier | modifier le code] Sources[modifier | modifier le code]

Entrainement Mental

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