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Site de Philippe Meirieu

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La question de l'autonomie a le mérite de ne pas nous laisser indifférents. Elle suscite même chez les professeurs de vives polémiques : - Les uns invoquent l'autonomie "naturelle" des enfants, leur capacité spontanée à se prendre en charge, leur don d'initiative et leur sens des responsabilités... Cette foi justifie à leurs yeux la mise en place d'un enseignement moins directif : ils laissent chacun organiser leur travail et prennent le risque de la confiance... - Les autres, au contraire, se plaignent du fait que les élèves sont incapables du moindre travail autonome, qu'ils se dispersent, chahutent, en profitent pour ne rien faire dès qu'ils n'ont plus la bride sur le cou. Ceux-là justifient ainsi le recours à des méthodes autoritaires, l'exclusion définitive du travail de groupe - insurveillable ! - et du travail individualisé - incontrôlable ! Ce n'est pas un hasard si ce mouvement de balancier est si fréquent et, à la réflexion, il n'est pas si curieux. Alors l'enjeu est simple : Related:  `test 1017`test 1017

« L’Autonomie numérique de l’usager : de quoi parle-t-on ?  par Lionel Maurel (Atelier 9) | «Le Congrès de l'ABF 2012 Voici le texte intégral de l’intervention de Lionel Maurel, samedi 13 juin, lors de l’atelier : "L’autonomie numérique de l’usager versus la responsabilité du bibliothécaire" modéré par Dominique Lahary. Lionel Maurel est Conservateur à la Bibliothèque nationale de France et Membre de la Commission Droit de l’Information de l’ADBS. L’Autonomie numérique de l’usager : de quoi parle-t-on ? Paul Lafargue nous met en garde : « Il y a autant de conceptions de l’autonomie que de sortes d’omelettes » ! La définition du Petit Robert renvoie à la notion de règle, de norme : Autonomie, Autonome, du grec auto et nomos (règle) : Droit pour l’individu de déterminer librement les règles auxquelles il se soumet, Qui est indépendant des autres éléments d’un système. Cette acception philosophique du terme est trop radicale et absolue pour être applicable en bibliothèque, mais elle a le mérite de montrer que l’idée de règle, de droit, de loi est au centre de la notion d’autonomie. Lionel Maurel Like this:

Site de l'Institut Français de l'Education Technique d'apprentissage PNL : la carte mentale Technique d'apprentissage dans les écoles en Finlande Une technique à modéliser dans nos écoles partout dans le monde. C'est d'une simplicité, les enseignants démontrent aux étudiants à construire une carte mentale pour mieux apprendre et surtout ils axent sur l'individualité de chacun dans la compréhension. Un respect et une reconnaissance de l'être est préconisé dans cette approche. BRAVO chers Finlandais! La carte mentale permet de faire immerger le génie en nous, inventé par un psychologue anglais Tony Buzan. Un logiciel vous est offert gratuitement: Méthode d'apprentissage Finlandaise : la carte mentale ...envoyé par le-comite-invisible. - Les derniers test hi-tech en vidéo.

François Muller: Pédagogies de l'autonomie (de l'élève) Empowerment Au plan individuel, Eisen (1994) définit l'empowerment comme la façon par laquelle l'individu accroît ses habiletés favorisant l'estime de soi, la confiance en soi, l'initiative et le contrôle. Certains parlent de processus social de reconnaissance, de promotion et d'habilitation des personnes dans leur capacité à satisfaire leurs besoins, à régler leurs problèmes et à mobiliser les ressources nécessaires de façon à se sentir en contrôle de leur propre vie (Gibson, 1991 p. 359). Les notions de sentiment de compétence personnelle (Zimmerman, 1990), de prise de conscience (Kieffer, 1984) et de motivation à l'action sociale (Rappoport, 1987, Anderson, 1991) y sont de plus associées ACP (approche centrée sur la Personne) quelques principes de fonctionnement d’une approche centrée sur la Personne, ainsi qu’a pu la développer Carl Rogers, relayée en France par André de Peretti : · Les émotions sont constitutives de la Personne · La motivation est conçue comme autonome. Trois facteurs:

Google et la bibliothèque : quelle autonomie pour l'usager ? Dans les années 70, un des mots d’ordre des professionnels des bibliothèques était de promouvoir « l’autonomie du lecteur ». Beaucoup d’efforts ont été déployés pour favoriser cette autonomie : libre accès intégral aux collections, amélioration de la signalétique, et mise à disposition de catalogues informatisés plus conviviaux que les vieux catalogues sur fiches. Et puis sont arrivés l’Internet, le web, les moteurs de recherche. Et voilà les bibliothécaires perplexes, face à ces nouveaux outils qui, eux aussi, parient sur l’autonomie de l’usager... S’il y a bien au départ, dans les deux cas, une même volonté d’autonomiser l’usager, cette volonté se traduit sous des formes différentes, parce qu’elle s’appuie sur des logiques dissemblables. Dans les deux cas, il y a donc une prise en main de l’usager, plus ou moins explicite, plus ou moins assumée par l’utilisateur final. Au départ, les deux outils travaillent sur des contenus différents. Victoire du populisme ou de la démocratie ?

Techniques innovantes pour l'enseignement supérieur Sciences humaines - Histoire et géo video L'Homo Sapiens - Notre histoire Nous sommes dans une grotte habitée par des Homo Sapiens. Alors que Moussa et Josepha sont en train de dessiner sur... video L'Homo Erectus découvre le feu – Notre histoire Léo et ses amis arrivent à la Préhistoire, à la rencontre d'Homo Erectus et Homo Sapiens.... video Comment est né le premier homme ?

Cahiers pédagogiques : L’éducation à l’autonomie Les trois dispositifs impulsés par l’institution au détour de l’an 2000 (TPE en lycée général, PPCP en lycée professionnel et IDD en collège) font d’une certaine autonomie accordée aux élèves un levier pour (re) donner du sens aux activités scolaires et (re) mobiliser les élèves sur les apprentissages. A la marge du système scolaire, le pouvoir politique impose la généralisation et l’encadrement de pratiques pédagogiques qui ne sont pas nouvelles et qui sont caractérisées par la démarche de projet, une approche inter/pluri/transdisciplinaire et le travail en équipe des enseignants. Notre Groupe de Recherche-Formation a voulu aller voir de plus près ce que ces dispositifs qualifiés de "novateurs" produisent en terme d’éducation à l’autonomie des élèves. De quelle autonomie parlons-nous ? Bien souvent invoquée pour définir les finalités de l’enseignement, l’autonomie devient très vite mystérieuse dès qu’il s’agit de se poser la question des moyens mis au service de cette finalité.

Les nouveaux usages des générations internet : Au cours de la matinée d’étude « Accès aux produits culturels numériques en bibliothèque : économie, enjeux et perspectives », organisée le 15 mai par Bibliomédias avec le soutien de l’Association des bibliothécaires de France et du Bulletin des bibliothèques de France (voir l’article de Lionel Maurel dans ce dossier), Dominique Wolton, lors d’une présentation décapante et salutaire, nous a, une nouvelle fois, mis en garde contre les sirènes de la technologie. En simplifiant ses propos, nous retenons qu’il faut replacer l’humain au cœur des échanges, que la technique est un outil et non un objectif. Par ailleurs, il a rappelé que la numérisation en masse, puisque c’était le sujet de la matinée, et l’internet en général, qui permet à tout internaute d’accéder immédiatement à un volume considérable d’informations, constituent à la fois une utopie et une tyrannie. Journalistes et bibliothécaires doivent reprendre les rênes de l’information ! Enjeux, menaces, opportunités

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