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Télétravail : «un boom dans deux ou trois ans» - Toulouse

Télétravail : «un boom dans deux ou trois ans» - Toulouse
Travailler un jour ou deux par semaine à son domicile et non au bureau, c'est ce que permet le télétravail. Une pratique qui devrait connaître un fort développement. Le télétravail n'est pas ce qu'on croit. Ce n'est pas la délocalisation à l'étranger des pans entiers d'une entreprise. Ni la multiplication des plateformes téléphoniques. Selon LBMG, qui organisait hier une journée d'information à la Cantine, un lieu d'échanges sur le numérique, rue d'Aubuisson, à Toulouse, 4,3 millions de Français pratiquent le télétravail, «de façon informelle la plupart du temps». Hier, des représentants de deux grandes entreprises françaises, implantées à Toulouse, Steria et Thales Alenia Space, ont expliqué comment, petit à petit, le télétravail s'implantait. Autre avantage du télétravail : «un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle», indique Nathanaël Mathieu, si bien que les salariés seraient les premiers demandeurs.

Télétravail : les entreprises françaises doivent apprendre le management par objectifs Le télétravail impose de nouvelles règles aux collaborateurs, mais aussi aux managers1. Nicole Turbé-Suetens2, qui a participé à différentes missions gouvernementales sur le télétravail et à de nombreux projets de recherche européens sur les nouvelles formes d'organisation du travail, nous délivre quelques rappels et conseils... Qu'est-ce qui caractérise la relation managériale en France ? Premier constat : la confiance n'est pas au coeur de la relation managériale en France, nous en sommes loin. Second constat : le management par objectifs n'est pas véritablement implanté dans la culture d'entreprise de notre pays. Les règles étant mal établies, la subjectivité intervient trop lourdement dans le jugement. comment un collaborateur a rempli ses objectifs, quels efforts il a fait pour les atteindre, quelle est sa manière d'être loyal, en quoi on peut lui faire confiance. Règle n° 1 : le manager doit réellement adhérer à l'option « télétravail »

Tiers-lieux, télécentres, «coworking spaces»... quels lieux pour le travail du futur ? Alors que de plus en plus de métiers peuvent être pratiqués avec un simple ordinateur portable et une connexion internet, pourquoi continue-t-on à converger en masse, cinq à six jours par semaine, vers des bureaux d’entreprises souvent très éloignés de notre domicile ? Et si l'on restait parfois chez soi, ou dans un autre lieu pour travailler, quelles en seraient les conséquences pour les salariés, pour les entreprises ? Et pour l’aménagement du territoire ? En profitant d'un atelier organisé par le Groupe Chronos sur la question, nous vous avons parlé récemment des bienfaits du télétravail. > Des « troisièmes lieux » entre domicile et travail Une gare, une bibliothèque, une terrasse de café : de nombreux lieux dans la ville accueillent de manière informelle les travailleurs agiles qui aiment varier les ambiances – ou apprécient simplement de passer moins de temps dans les transports. > Au télécentre, mon (télé)travail de proximité Il y a ainsi deux sortes de télécentres.

Francis Bergeron (SGS) : « Le télétravail engendre une baisse du stress et de la fatigue » - Les Echos Business Crédits photo : SGS Francis Bergeron, DRH de SGS-France Liberté d'organisation « Sous l’impulsion des lois Aubry (raréfiant le temps de travail) et de l’optimisation des outils technologiques (permettant un travail connecté), nous avons développé une approche empirique du télétravail. Nous avons laissé à nos directeurs de filiales et managers de proximité la liberté de s’organiser. Peu à peu, sur le terrain, les équipes se sont approprié le sujet. 25 % de gain de productivité « Nous avons favorisé la culture du télétravail en convainquant nos managers que le système ne crée pas de baisse de la productivité. Besoin d'un pré carré « C’est une idée fausse que de penser que l’on va réduire considérablement ses coûts, notamment en réalisant des économies de loyer. Réponse aux handicaps « L’une de nos collaboratrices est tombée malade : atteinte de sclérose en plaque, elle ne peut plus se déplacer jusqu’à nos locaux.

Télétravail : les 4 piliers de la réussite - Les Echos Business Crédits photo : Shutterstock.com 1 à 2 jours par semaine « Le télétravail doit être partiel : une à deux journées par semaine. À temps plein, on risque l’isolement, des échanges professionnels insuffisants, voire le mal-être du salarié. Faire un avenant « Le télétravail doit respecter la Loi 2012-347 votée en février 2012 et définissant un cadre légal. Crédits photo : Droits réservés Franz Gault, associé du cabinet LBMG-Worklabs. Droits identiques « Le télétravailleur doit bénéficier des mêmes droits et avantages que les autres salariés : RTT, congés payés, comité d’entreprise... Evolution du modèle managérial « Le télétravail suppose une évolution du modèle managérial : à la culture infantilisante du présentéisme, il faut préférer une relation basée sur la confiance et l’autonomie, et adopter un management par objectif.

Bouchons de Lyon : une addition salée ! trafic routier Une étude comparative menée par un cabinet britannique entre la France, le Royaume-Uni et l'Allemage a chiffré le coût des embouteillages. 5,5 milliards d'euros par an pour la France. DM (avec AFP) Publié le 12/12/2012 | 11:27, mis à jour le 12/12/2012 | 13:28 © France 3 RA Traditionnels bouchons à l'entrée de Lyon ... Les coûts directs liés aux embouteillages (carburant et temps de travail) s'élèvent à 3,88 milliards d'euros chaque année en France contre 3,62 milliards au Royaume-Uni et 5,64 en Allemagne, selon l'étude du cabinet Centre for economics and business research (Cebr) réalisée pour le compte d'Inrix, une société d'info-trafic américaine. A cela s'ajoutent des coûts indirects liés à la hausse des prix de fourniture de produits et de services pratiqués par les entreprises et occasionnée par les encombrements routiers. Coûteux embouteillages à Lyon

La France compte 17 % de télétravailleurs dans sa population active Le nombre de télétravailleurs en France est un indicateur qui résume facilement l’état du télétravail dans notre pays. Il permet de situer la France dans des comparaisons internationales et de témoigner du retard français, si l’on en juge par les chiffres couramment avancés. La Fance serait en retard pour le télétravail ? Pas vraiment avec une réalité cachée de 17% de télétravailleurs. Les études sur le télétravail ne manquent pas ni les comparatifs internationaux. De quoi parle-t-on ? Les études sur le télétravail sont nombreuses : SIBIS en 2002, la DARES en 2004 et 2008, Gartner en 2005 et 2007, Eurofund en 2005, CAS en 2009, CGIET en 2010. La méthode de recueil des données est importante à connaître pour comparer des choses comparables dans toutes ces études et enquêtes. Pour analyser efficacement les données disponibles, il convient aussi de préciser une définition commune du télétravail. Sont inclus dans cette dernière catégorie des « sans bureaux fixes » : De la méthode

Saint-Etienne : Lancement du premier « Tour de France du télétravail et des tiers-lieux »… | Presse Alpes Maritimes Dans le cadre du lancement du premier Tour de France du télétravail et des tiers-lieux*, LBMG Worklabs, Neo-Nomade, ZeVillage et Openscop, en collaboration avec Numélink et Zoomacom, ont le plaisir de vous convier à l’occasion de la 3e étape de ce Tour, à St Etienne, le 15 novembre 2012 à 12H15 au Bâtiment des Hautes Technologies Université Jean Monnet, 42 000 St Etienne Tramway (T1 / T2), arrêt Chaléassière En présence d’un élu de St Etienne Métropole, et de Georges ZIEGLER, Vice-Président du Conseil Général de la Loire, ils vous présenteront les chiffres clés du télétravail en France, ainsi que les initiatives régionales mises en œuvre pour favoriser son développement. Plusieurs experts et DRH seront également présents pour répondre à vos questions sur le télétravail. Des représentants de coworking et télécentres animeront aussi l’espace de tiers-lieu éphémère qui se déplacera sur chaque étape du Tour de France. 3e ETAPE DU TOUR DE FRANCE DU TÉLÉTRAVAIL A ST ETIENNE Inscription en ligne :

Evolution: La solution contre les bouchons? Le télétravail! - Suisse Evolution Pour répondre à la surcharge des transports, les Vert’libéraux demandent au Conseil fédéral d’augmenter de 20% le travail à la maison de son administration. Image: Laurent Crottet/Le Matin Aimeriez-vous travailler à la maison? Signaler une erreur Vous avez vu une erreur? Veuillez SVP entrez une adresse e-mail valide Partager & Commenter Votre email a été envoyé. Les Vert’libéraux estiment que la Suisse n’en fait pas assez pour mettre en avant le télétravail. Pour sa représentante romande Isabelle Chevalley (Vert’libéral/VD), il faut vraiment aller de l’avant: «Nous bougeons tout le temps, de plus en plus de gens doivent travailler loin de leur domicile. Selon le rapport d’EconomieSuisse d’avril dernier: «Le potentiel de télétravail est encore utilisé de manière très insuffisante en Suisse et ne fait pas l’objet d’une évaluation systématique.» Isabelle Chevalley admet qu’il convient de garder de la souplesse: «Il faut explorer différentes pistes.

Télétravail : la Ville y réfléchit « Côté Quimper Lentement mais sûrement. La part des télétravailleurs français a franchi la barre symbolique des 10 % cette année, selon une étude réalisée en mai dernier par le cabinet Greenworking pour le compte du ministère de l’Industrie, de l’énergie et de l’économie numérique. Chez nos voisins européens, la moyenne dépasse les 20 %. En Finistère, une poignée d’agents du Conseil général ont déjà adopté cette organisation de travail. La municipalité de Quimper et la communauté d’agglomération comptent s’en inspirer en vue d’expérimenter à leur tour le télétravail. ExpérimentationUne étude de faisabilité a été lancée, il y a un peu plus d’un mois. « Pour l’heure, nous n’en sommes encore qu’au stade des prémices », indique Franck Pichon, le vice-président de Quimper communauté en charge de l’administration générale. et à reprendre à leur compte. Matthieu Gain

Pourquoi les entreprises ont encore peur du télétravail Travailler ponctuellement depuis son domicile? Plus de 75% des salariés franciliens en rêvent. Mais les entreprises elles sont souvent plus réticentes. La preuve : si 40% des groupes du CAC 40 ont aujourd’hui signé un accord de télétravail, ceux-ci restent le plus souvent à l’état d’expérimentation, souligne Nathanaël Mathieu, consultant associé du cabinet LBMG Worklabs, expert du télétravail, et coorganisateur de ce « tour de France». Et globalement cette pratique reste largement marginale dans les PME, seulement 12,4% des salariés français bénéficiant d’au moins 8h mensuelles de télétravail contractuel, selon une étude réalisée en mai 2012 par le cabinet spécialisé Greenworking . >> Le télétravail: Un ami qui veut du bien aux entreprises? La peur des responsables Prudence avant de se lancer Un succès qui n’a toutefois rien laissé au hasard: responsables RH, formateurs, juristes, responsables informatiques, etc.. >> Télétravail: Paradis du salarié ou enfer pavé de bonnes intentions?

Et pourtant les employés préfèrent retourner au bureau Des chercheurs des Universités de Stanford Economics et de la Beijing University Guanghua School of Management ont mis sous surveillance pendant 9 mois plusieurs centaines d’employés du tour-opérateur chinois Ctrip, ayant accepté de travailler chez eux. Les résultats sont positifs (à découvrir en détails dans l’article (PDF, à télécharger) »Does working from home work? Evidence from a Chinese experiment« ), tant pour l’entreprise que pour les employés : Une fois l’expérience lancée, les chercheurs ont noté quatre facteurs importants : une augmentation de la productivité de l’ordre de 13 % (après 9 mois d’observation), pas de baisse de régime pour les employés exclus de l’expérience, la fatigue ou le relâchement observé chez les employés « normaux » a chuté de 50 % par rapport au groupe de contrôle, les employés manifestant leur satisfaction d’effectuer leur travail chez eux, et enfin, une économie relative mesurée par l’entreprise. (lalibre.be)

Le tour de France du télétravail débute le 30 octobre à Paris Ceci n’est pas une course de vélo, mais une course à la reconnaissance. Le « Tour de France du télétravail et du tiers lieu », qui démarre le 30 octobre pour s’achever le 18 décembre, veut enfoncer le clou de cette tendance de fond, qui renvoie chez eux de plus en plus de salariés, leur permettant de travailler à domicile. Mais si cette pratique n’est plus totalement marginale, elle ne concernait l’an passé que 12,4% des salariés français, selon une étude réalisée par le cabinet Greenworking pour le compte d’Eric Besson, ministre de l’industrie de l’époque. « Cette étude ne comptabilisait que le télétravail contractuel, précise Nathanaël Mathieu, fondateur de LBMG Worklabs, un cabinet spécialisé dans le coworking (les espaces de travail partagés). Mais si l’on prend en compte les pratiques plus informelles, on arrive à 17% de gens qui travaillent chez eux au moins un jour par semaine, selon une enquête que nous avons mené. Michel Holtz @ Cadremploi.fr

CyberCantal Télécentres - Brèves d ici - Venez rencontrer la communauté ! Le Conseil Général du Cantal conduit depuis 2006, une politique en faveur du développement du télétravail dans le Cantal. S’appuyant sur un réseau de 10 télécentres (espaces équipés à disposition des télétravailleurs), le programme Cybercantal Télécentres vise à contribuer au dynamisme du territoire du Cantal et à son attractivité pour les nouvelles populations. Soucieux de poursuivre la politique de développement du télétravail aux premiers résultats encourageants, le Conseil Général du Cantal, souhaite consolider un véritable programme d’animation du réseau, mais aussi d’accompagnement des télétravailleurs et des entreprises : le Pass Actifs Mobiles. Aussi, j’ai le plaisir de vous inviter au prochain séminaire du réseau Cybercantal Télécentres qui aura lieu le jeudi 8 novembre 2012 de 9h30 à 12h30 dans les locaux du Télécentre d’Aurillac : 44 Boulevard du Pont Rouge, avec pour ordre du jour : Présentation du Pass Actif Mobiles.

Télétravail en zone rurale: «Les entreprises sont très réceptives» Bernard Delcros, président de la communauté de communes du pays de Murat, répond à 20 Minutes sur la manière dont le télétravail devient un outil de relance de l’activité dans une région rurale en perte de vitesse comme il y en a beaucoup en France. En quoi le télétravail permet-il la relance de l’activité en zone rurale? La communauté de communes, composée de treize communes, est peuplée de 6.000 habitants à peine [-50% au cours du XXe siècle]. La population est vieillissante et l’objectif est de partir en reconquête démographique grâce à l’économie numérique, qui connaît un contexte favorable actuellement. Le Cantal représente pour ceux qui y viennent une qualité de vie [fuite du stress, environnement…]. Nous formons pour l’heure essentiellement des télétravailleurs indépendants. Comment les entreprises, souvent réticentes, appréhendent-elles votre initiative? Les entreprises sont très réceptives. Aucune entreprise qui s’y est mise n’est revenue en arrière.

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