État des lieux 2018 : l’usage d’Internet, des réseaux sociaux et du mobile en France La toujours très attendue étude menée par Hootsuite et We Are Social sur les tendances du digital et des réseaux sociaux vient de sortir. Comme d’habitude, cette septième édition est riche d’enseignements et décrypte les principaux chiffres d’usages en France et dans le monde. Voici un tour d’horizon de ses principaux enseignements. 4 milliards d’internautes dans le monde, 3,2 milliards sur les réseaux sociaux On savait que les réseaux sociaux avaient dépassé le simple phénomène pour s’installer dans un usage durable. 88% des Français utilisent Internet Si on regarde les chiffres français, 88% utilisent Internet. 500 000 nouveaux internautes ont été comptabilisés en 2017. L’ordinateur fixe devant le mobile L’ordinateur fixe reste le device le plus utilisé pour accéder au web en France, avec 59% du trafic enregistré. Un usage des réseaux sociaux en hausse, YouTube et Facebook en tête Facebook : des utilisateurs âgés de 18 à 44 ans La vidéo obtient le meilleur reach
Comment nous voient nos voisins espagnols ? - Le Globe Trotteur La France et l’Espagne partagent une frontière. Et dans le sud de l’Hexagone, la culture peut parfois être assez proche. Parfois seulement car les Espagnols ont un avis souvent bien tranché sur nous. Un point de vue plutôt drôle et loin d’être totalement à côté de la plaque. Comment nous voient nos voisins espagnols ? Les Français ? Prétentieux, sûr de lui-même, très orgueilleux et tout aussi arrogant… le Français est vu comme tel par nos voisins espagnols. Des bons vivants ces Français ! Les Espagnols connaissent bien nos travers. via GIPHY Nous sommes des râleurs invétérés pour les Espagnols Jamais contents, les Français râlent tout le temps. via GIPHY Les Français ont un esprit “nordique” Alors que les Espagnols ont le sang chaud, les Français sont plutôt perçus comme un peuple froid, distant. via GIPHY Le bon goût à la Française Il n’y a pas que du négatif dans la perception des Espagnols à notre encontre. via GIPHY
Make.org ∙ En avant toute(s) En avant toute(s) est une association de lutte pour l’égalité femmes-hommes et la fin des violences faites aux femmes. Elle agit principalement auprès des jeunes, pour une sensibilisation et un changement des comportements sexistes, ainsi qu’un accompagnement des jeunes femmes victimes de violences au sein du couple. L’association En avant toute(s) questionne les relations femmes-hommes, les inégalités, et les violences au sein du couple et de la famille. Elle est faite par des jeunes et pour les jeunes. Elle veut un monde plus égalitaire et sait que nous sommes toutes acteurs et actrices du changement ! En avant toute(s) a créé le premier tchat pour toutes les personnes qui se posent des questions sur leur couple et les violences qu'elles peuvent y vivre.
En avant toute(s) ! A la rencontre d’une association féministe de terrain – Les Ourses à plumes Les Ourses à plumes : Bonjour et merci de répondre à nos questions ! Pour commencer, pouvez-vous nous dire comment est née En avant toute(s) ! et ce que ce projet a de particulier ? En avant toute(s) ! : En avant toute(s) ! « La Fédération Nationale Solidarité Femmes (FNSF), réseau regroupant les associations dédiées à la lutte contre les violences faites aux femmes, ne compte à ce jour aucune association dédiée dans le département » Après un travail de terrain conséquent visant à cibler les manques sur le territoire des Yvelines, nous avons choisi la thématique des violences faites aux femmes, qui nous tenait déjà à cœur en raison de nos engagements féministes. Les OàP : Pourquoi ce choix de se centrer sur les 16-25 ans ? Les jeunes femmes sont particulièrement touchées par les violences au sein du couple, comme le démontre notamment l’enquête ENVEFF, où 17% des 18-25 ans interrogées ont subi des violences au sein du couple dans les 12 derniers mois. Les trois axes sont les suivants : 1.
Les Suisses jugent les Français paresseux et arrogants Les Suisses jugent les Français paresseux, arrogants, revendicateurs, râleurs. Rien que ça. En tout cas, c'est ce que semble vouloir dire le journal suisse Le Matin Dimanche en publiant un article expliquant que les recruteurs suisses écartent de plus en plus les candidatures de « personnes de nationalité française ». Ces recruteurs affirment alors répondre aux souhaits et exigences des employeurs qui ont déjà eu de mauvaises expériences avec des Français. La mention « Suisse et résidence suisse » apparaît ainsi de plus en plus souvent sur les annonces dans les critères de sélection. >> Lire aussi : Paresseux, les salariés français? Des Français ont donné une mauvaise image En février 2013, dans une lettre au vitriol adressée à Arnaud Montebourg, le PDG de Titan accusait déjà les Français d'être fainéant, de travailler seulement trois heures par jours. Une discrimination à l'encontre de la libre circulation dans l'UE
Histoire de la Suisse sous domination française Confédération des XIX cantons Carte de la Confédération des XIX cantons. L'histoire de la Suisse sous domination française est l'étape de la formation de la Confédération suisse qui suit la Confédération des XIII cantons. Elle est comprise entre le début des manifestations provoquées par la Révolution française de 1789 et la création de la Confédération des XXII cantons le 7 août 1815. Avant la Révolution helvétique[modifier | modifier le code] Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1793. Prise de la Bastille vue de Suisse[modifier | modifier le code] Les évènements de juillet 1789, en particulier la prise de la Bastille le 14 juillet, bien que connus quasiment immédiatement en Suisse par le biais de la presse[bouquet 1], n'ont que peu de répercussions. Émigrés français en Suisse et communauté suisse en France[modifier | modifier le code] Portrait de Jacques Necker. Divisions internes et premières agitations[modifier | modifier le code] Portrait de Johannes Künzle. Autres références
Stéréotypes et clichés. Langue, discours, société Le mot de « stéréotype » est utilisé par plusieurs disciplines, où il renvoie à des notions diverses. En psychologie sociale, le stéréotype est une représentation partagée (vraie ou fausse) qui détermine pour partie notre perception du monde et les comportements que nous pouvons adopter à l'égard d'autrui. L'idée que les Allemands sont disciplinés, ou celle selon laquelle les femmes ont plus d'intuition que les hommes, sont des stéréotypes. En stylistique, le stéréotype est une formulation peu originale, faiblement créative (le « tapis de feuilles mortes» à l'automne, la ville comme « fourmilière humaine »...). En linguistique, le stéréotype renvoie à l'idée de figement, comme on le trouve dans les expressions « à tort et à travers » ou « être sous les drapeaux ». On voit que le stéréotype, malgré ses différentes acceptions, présente un trait commun : il n'est pas une production singulière.
Catégorisation, stéréotypes et préjugès Pour mieux connaître le monde et les choses, on passe par une activité de Catégorisation et de comparaison. La catégorisation est donc un processus automatique de base bien connu des chercheurs. Dans le contexte humain, la catégorisation tend à légitimer les catégories en leur conférant plus qu’une existence, une essence.On catégorise les gens et les objets en fonction de l’idée qu’ils possèderaient la même nature.C’est le processus de catégorisation qui préside aux Stéréotypes. Cependant, la catégorisation est un processus majeur de la construction de l'Identité sociale. "Les stéréotypes sont des croyances partagées concernant les caractéristiques personnelles d'un groupe de personnes" LEYENS La formation du stéréotype correspondrait à une logique essentialiste. Le préjugé est, quand à lui, une attitude défavorable envers une ou plusieurs personnes en raison de leur appartenance à un groupe particulier.On l’a souvent décrit comme manifestant une forte charge affective et de l’hostilité.
L’homme est un être pensant sans pour autant qu’il... « Une image d’Epinal » - La Croix NOS EXPRESSIONS ONT UNE HISTOIRE (3/5) La formule renvoie à l’imagerie populaire du XIXe siècle. Les médias en sont friands. L’expression « image d’Épinal » désigne parfaitement le cliché excessivement positif, la représentation simplifiée, enjolivée, naïve d’une réalité. Il est difficile de savoir quand l’expression a pris son sens figuré, mais le Trésor de la langue française, dictionnaire du CNRS, relève une occurrence en 1947, chez l’écrivain Paul Vialar : « La guerre était encore pour moi, à cette époque, une image d’Épinal. » Support d'éducation et de morale Historiquement, elle renvoie à ces dessins sur feuilles volantes, souvent de couleurs vives, que l’on imprimait et vendait à bon marché, essentiellement au XIXe siècle, par centaines, pour les faire voyager par des colporteurs et servir de support d’éducation, voire de morale. Une seconde vie L’imagerie Pellerin, à Épinal, occupa cependant une place dominante en France. 40 000 images commandées par des marques
Le béret et la baguette: stéréotype ou identité ? Maintenant que le débat sur l’identité nationale est clos, il devient plus facile d’évoquer l’image du « Français » typique sans immédiatement déchaîner les passions. Ce Français archétypal n’existe naturellement pas, mais il suffit d’avoir – je me reporte ici à une expérience personnelle – longtemps voyagé de par le monde pour savoir que persiste une série de stéréotypes d’un supposé Français qui résiste à tout examen objectif. Sans doute cette image universelle et, il faut bien l’avouer, peu gratifiante, doit-elle beaucoup au monde anglo-saxon et particulièrement aux clichés longtemps colportés par les Britanniques et les Américains, clichés qui ont laissé des traces jusqu’en Asie. Il serait toutefois vain de jeter la pierre à nos voisins d’outre-Manche ou d’outre-Atlantique. Le cinéma anglo-saxon, du Port de l’angoisse à Marathon man, en passant par Moulin Rouge n’est sans doute pas étranger à cette image.