background preloader

Mettre en ligne des cours, ils s’en mordront les doigts

Mettre en ligne des cours, ils s’en mordront les doigts
Le développement médiatisé de la mise en ligne des cours, en particulier dans le monde universitaire, (cf. Les universités d’élite s’ouvrent au web, de Tamar Lewin dans le supplément du NY Times livré avec le Figaro en date du vendredi 30 Novembre) est un phénomène qui mérite d’être examiné sous plusieurs angles. Dans ce même article est évoquée la notion de MOOC ( Massive Online Open Courseware). Ce type de dispositif semble à « la mode » comme le confirment la présentation de M Dillenbourg lors du dernier séminaire de l’IFE sur les sciences de l’Apprendre ou encore sur le MOOC Itypa ( Ce qui est caractéristique de cette évolution est le mélange de plusieurs éléments qu’il faut préciser. Malheureusement on s’aperçoit que dans l’esprit de nombre de personnes, tout s’arrête à la mise en ligne du cours filmé. Que se passe-t-il dans ces situations. En regardant une vidéo du collège de France, de canal U de l’Ehess ou autre université, j’écoute.

Apprendre en MOOC, questions préalables Le billet qui suit s’appuie sur deux articles que je viens de lire autour des MOOC, acronyme pour cours en ligne massivement ouverts à tous (massive open on line course) . Ces dispositifs renouvellent des questions fondamentales : - sur l’apprendre, de la transformation de l’information en connaissance à la mise à distance de cet apprentissage pour en déduire un apprendre particulier, - sur l’apprendre en groupe (et là en grand groupe) et sur l’importance de l’autre dans son apprentissage individuel - sur ce continuum de l’apprendre, et sur le besoin militant d’apprendre. Le premier billet est signé de Manpower, Demain, tous des élites grâce aux MOOC ? Dans ce billet, les auteurs présentent les MOOC comme l’avenir de l’université : une échelle mondiale, des ressources validées, des individus en besoin de formation, interagissant en groupe. L’autre billet est signé par Bruno Devauchelle et s’intitule mettre en ligne ds cours, ils s’en mordront les doigts.

Research publications on Massive Open Online Courses and Personal Learning Environments People interested in Massive Open Online Courses will probably be aware of the research by Helene Fournier and me on Personal Learning Environments and MOOCs. We carried out research in the MOOC PLENK2010 (The MOOC Personal Learning Environments Networks and Knowledge that was held in the fall of 2010). The data collected on this distributed course with 1641 participants has been massive as well. Its analysis has kept us and some fellow researchers busy over the past year. The research has resulted in a number of publications and I thought it might be useful to post links to all of our journal articles, conference papers and presentations that were published in relation to PLEs and MOOCs in one space. Fournier, H., Kop, R., and Durand, G. (2014), Challenges to research in Massive Open Online Courses, Merlot Journal of Online Learning and Teaching, Vol. 10, No.1, March 2014 Kop, R. (2012) The Unexpected Connection: Serendipity and Human Mediation in Networked Learning.

Revue sticef.org Matthieu Cisel (STEF, Cachan), Éric Bruillard (STEF, Cachan) 1. Introduction Le succès des MOOC, ou Massive Online Open Courses, est probablement l’évènement le plus marquant de l’année 2012 dans le monde de l'enseignement supérieur en ligne, le New York Times allant jusqu'à qualifier l'année 2012 "The Year of the MOOC"1. De nombreuses universités, menées par les prestigieux établissements de la Ivy League comme Stanford, Harvard et le MIT organisent gratuitement en ligne depuis le début de l’année 2012 des cours sur des thèmes aussi variés que la cryptographie, la biologie ou la philosophie. La question de la définition du terme MOOC est un sujet épineux : le terme est souvent employé pour désigner les plates-formes, c'est à dire les sites qui accueillent les cours2, mais il est surtout employé pour désigner les cours eux-mêmes. 2. 2.1. 2.1.1. 2.2. Plusieurs tentatives infructueuses présentant des similitudes avec le mouvement actuel ont été lancées dans le courant des années 2000. 3.

Les droits du participant à un MOOC | ActionsFLE – Posted on 19 September 2012Posted in: #ITyPA A la manière de Daniel Pennac, Comme un roman le droit de ne pas participerle droit de sauter des semainesle droit de ne pas finir le coursle droit de creuser un thème, même si la semaine est finiele droit d’utiliser n’importe quel outil pour participer au MOOCle droit de vous regrouper autour de domaines d’intérêts communsle droit de participer au MOOC de n’importe où“le droit de grapiller”le droit de publier abondamment sur son blog, Twitter, Facebook, diigo,…le droit de participer silencieusement Like this: Like Loading... MOOCs : moins de communication et + de pédago, SVP L'insolent succès des Moocs (Massive open online course) doit sembler bien amer à tous ceux qui s'évertuent depuis des dizaines d'années à produire des cours à distance de grande qualité. D'un seul coup d'un seul, les plus prestigieuses des universités nord-américaine ouvrent l'accès à des milliers de cours en ligne, gratuitement, sur des plateformes dédiées, et annoncent triomphalement qu'elles visent le milliard d'apprenants. Ces universités ne se préoccupent pas de la rétention des participants; peu leur importe que 5 à 10 % d'entre eux seulement parviennent à la fin du cours. Elles ne se préoccupent pas non plus de reconnaître l'effort d'apprentissage réalisé au travers du cours, puisqu'elles ne délivrent pas de crédits universitaires en échange d'un succès à l'examen final, mais seulement un certificat que les plus chanceux ou les plus fortunés pourront échanger contre de vrais crédits dans les universités qui acceptent les certificats délivrés par EdX ou Coursera.

MOOC, une vision Européenne - TICE - Confluence Yves Epelboin, professeur à l’UPMC-Sorbonne Universités Directeur du Service Général des TICE, UPMC-Sorbonne Universités Yves.epelboin@upmc.fr English version De retour des Etats-Unis, après avoir visité University of Pennsylvania et University of Drexel à Philadelphie, et participé au congrès Educause à Denver, ce mémo vise à donner une vision d’une initiative lancée par quelques consortiums auxquels appartiennent les plus grandes universités américaines. La question centrale est de comprendre la raison de cet enthousiasme MOOC : un peu d’histoire Les universités américaines se sont intéressées aux nouvelles technologies pour l’enseignement depuis qu’elles ont été popularisées au début des années 2000 et même avant. Dès 2002 l’ambition d’un enseignement tout à distance se faisait jour. Le concept de formation à distance est déjà ancien. Le contexte économique des universités américaines L’université américaine est en crise. Les initiatives Le coût de préparation d’un MOOC est important.

Des cours massivement multi-apprenants On connaît les jeux massivement multijoueurs, qui voient des milliers de joueurs interagir autour de tâches complexes, se lier en guildes, se combattre et tenter de réaliser les quêtes qui les feront progresser en puissance et en connaissance. On connaît moins en revanche les cours en ligne massivement multi-apprenants, qui voient se retrouver des centaines d'apprenants sur les réseaux sociaux, sur une plateforme de conférence où se déroulent les webinaires et sur le site du cours, pour échanger et laisser croître la connaissance sur un sujet donné, qu'ils apprennent à maîtriser par le biais de l'expérience. Ces cours s'appellent MOOC (Massive open online course) en anglais, c'est à dire dans la langue de leurs créateurs. Un dispositif libre et ouvert, chacun y trouve sa place Le principe de participation à un MOOC est fort simple : il suffit de s'inscrire sur la page du cours et vous pouvez immédiatement commencer. Les apprenants ont différents matériels à leur disposition :

La course au MOOC  Après mon précédent billet sur les MOOC (pour Massive Open Online Course), ces formations ouvertes et à distance, certains m’ont orienté vers quelques exemples francophones et j’en ai trouvé quelques autres par la suite: HEC Montréal a offert son premier cours l’automne dernier : Introduction au marketing (avec 40000 participants). Et, le 12 mars prochain, débutera Comprendre les états financiers (45000 personnes y sont déjà inscrites).ITYPA: acronyme pour « Internet : tout y est pour apprendre », le premier cours portant sur le thème Comment fonctionne un MOOC a eu lieu en 2012.L’École centrale de Lille : Gestion de projet.L’École Polytechnique fédérale de Lausanne : Introduction à la programmation orientée objet (en Java), sur Coursera Ces initiatives sont encore isolées, et l’offre est peu diversifiée, mais c’est un début pour les francophones. xMOOC et cMOOC D’ores et déjà, les MOOC sont offertes en deux parfums. Formation gratuite Bâtir un cours n’est pas gratuit.

Le Mooc pour la qualité de l’éducation en Afrique? Le concept de MOOC Le MOOC, acronyme de Massive Online Open Course est un cours gratuit de l’enseignement supérieur sur Internet qui est accessible par un grand nombre de participants. Selon Andrew Ng l’un des pionniers, le MOOC répond à une problématique simple « La demande dans le monde est bien trop grande et notre société est incapable de construire assez d’universités pour y répondre ». S’il est né en 2008, c’est réellement en 2011 que le concept de MOOC a été mis en œuvre; aux USA avec une approche pédagogique essentiellement portée sur le contenu de l’enseignement diffusé et, au Canada dans le cadre d’une approche connectiviste avec le développement d’échanges, de forums, de séances synchrones pour encourager l’interactivité. Dans cette formation à grande échelle, l’apprenant placé au centre du dispositif est le le seul responsable de sa formation. Pour la qualité de l’éducation en Afrique… Ainsi, le MOOC pourrait présenter des avantages: A court et moyen terme A long terme,

Communautés d'apprentissage, e-learning et MOOCs Sur son blog Pédagogie universitaire - Enseigner et Apprendre en Enseignement Supérieur, Amaury Daele propose un billet consacré aux communautés de pratique et d'apprentissage, qui contient principalement un diaporama intitulé "Développer des communautés d'apprentissage pour soutenir le e-learning". Ce diaporama est une ressource de formation; on y trouvera donc des adresses directes aux étudiants de M. Daele, qui ne nous intéressent pas nécessairement ici. Précisions toutefois que ces étudiants sont en réalité des enseignants et des formateurs qui se trouvent donc à la fois dans la posture de l'enseignant et dans celle de l'apprenant. Mais le diaporama comprend également de nombreux éléments utiles à tous ceux qui souhaitent mettre en place ou faciliter la mise en place de communautés de pratique ou d'apprentissage en soutien à un cours distribué à distance ou même en blended learning. Communauté de pratique ou d'apprentissage ? - La communauté est animée. Références : Daele, Amaury.

Les MOOCs vont-ils tuer la formation à distance ? La question qui sert de titre à cet article peut sembler absurde : les MOOCs sont des produits de formation à distance et ne pourraient exister sans les moyens numériques de diffusion de contenu et de communication. Mais si nous posons cette question, c'est qu'entre les MOOCs et la formation à distance telle que nous la connaissons, la pratiquons et la défendons depuis près de 20 ans, il y a des différences importantes. Et l'engouement actuel pour les MOOCs étouffe la voix de ceux qui ont patiemment construit la formation en ligne et n'ont jamais cessé de répondre aux critiques dont elle faisait l'objet. Les MOOCs, de la formation en ligne au rabais ? Les plus enthousiastes défenseurs des MOOCs ne sont pas les acteurs aguerris de la formation à distance. Dans la première enquête sur les concepteurs de MOOCs, réalisée par The Chronicle of Higher Education , on constate que les enseignants qui se sont lancés les premiers dans les MOOCs n'étaient auparavant pas favorables au e-learning.

Related: