"La croissance mondiale va s'arrêter" Quarante ans après son rapport au Club de Rome, Dennis Meadows réaffirme les limites de l’expansion économique. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Stéphane Foucart et Hervé Kempf En mars 1972, répondant à une commande d'un think tank basé à Zurich (Suisse) – le Club de Rome –, des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT) publiaient The Limits to Growth, un rapport modélisant les conséquences possibles du maintien de la croissance économique sur le long terme. De passage à Paris , mercredi 23 mai, à l'occasion de la publication en français de la dernière édition de ce texte qui fait date (Les Limites à la croissance, Rue de l'Echiquier, coll. Quel bilan tirez-vous, quarante ans après la publication du rapport de 1972 ? D'abord, le titre n'était pas bon. Pourtant, l'idée commune est, aujourd'hui encore, qu'il n'y a pas de limites. Qu'entendez-vous par effondrement ? Voit-on des signes tangibles de cet effondrement ? La croissance mondiale va donc inéluctablement s'arrêter ?
Propagande US pour le choc des civilisations Ce qui est rageant c’est que les millions de musulmans ou assimilé comme tels (selon les propos même de notre illustre ex president, je cite, "musulman d’apparence" au moment où il pensait "tête d’Arabe") qui n’ont cure de ce choc des civilisations savamment entretenu se retrouvent sous des étendards qui ne sont pas les leurs. Nous sommes des millions à vaquer à nos occupations, sans aucune autre forme d’espoir que de mener une vie normale dans ce pays qui est le notre, et chaque jour on nous renvoi l’image de la victime Palestinienne, les fantômes d’Algérie, le féodalisme saoudien, l’exubérance des pays du Golf, les islamo-racailles des banlieues et autres terroristes tous plus sanglants les uns que les autres. J’ignore comment la France a décidé d’importer une population importante d’Afrique. Nous n’avons pas besoin d’étoile jaune. Nous sommes marqués au fer rouge. Je n’ai jamais vu les Corses prendre pour les crimes atroces perpétrés sur l’île.
Discrimination dans le monde du travail - Ndema idriss, Laurent Ries, Renaud Heckmann Mémoire en Ressources humaines La discrimination dans le monde du travail Sommaire I. Introduction 1 1. II. 1. a) Le CV et la première sélection 5b) L'entretien 6c) La discrimination positive 10d) Les politiques actuelles de discrimination positive 13 2. a) Par l'employeur ou d'autres supérieurs 16b) Par les collègues 18 III. 1. a) Les stéréotypes 19b) Les préjugés 19c) Le racisme 20d) Le sexisme 20e) L'homophobie 21 2. a) La situation économique d'un Etat 21 b) En entreprise 21c) Chez l'employé et l'employeur 21d) Chez les clients 23 3. IV. 1. V. 1. a) Le harcèlement moral et sexuel 28b) L'égalité professionnelle et les quotas 32 2. 3. VI. VII. 1. La discrimination au sens large est définie comme étant un traitement inégal et défavorable à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes en raison de différences par rapport à d'autres individus placés dans des situations comparables. Le Code pénal définit la discrimination (article 225-1) comme suit : 2. 4.
L'Islande est le seul pays qui a tourné le dos aux banques et qui a ga Le FMI a émis un communiqué de presse cette semaine pour indiquer que l'Islande lui avait remboursé en avance 443,4 millions de dollars, soit un cinquième de la somme que le pays lui avait emprunté (2,15 milliards de dollars). L’échéance initiale de cette somme était en 2013, selon les termes de l’accord de prêt. Il y a deux précédents, désormais, écrit le blog américain financier Zéro Hedge, l’Islande qui a s’est déconnectée du système international, et la Grèce, "contente d’elle-même et qui se condamne à l’esclavage de la dette, en continuant de remettre volontairement chacun de ses biens aux vampires de l'oligarchie bancaire en échange de la seule adhésion à un club voué à l’échec, sous la menace constante du feu et du soufre si elle ose se séparer de ses parasites monétaires (et où le taux de chômage gagne 3% en un trimestre) ». L'Islande est le seul pays à avoir laissé ses banques faire défaut. « Félicitations, Islande.
Conférence de Nicolas Dupont-Aignant à Nancy L’est bien ce petit NDA. Il me rappelle pas mal le Mr Smith de Frank Capra, le gars qui a des principes et des convictions, qui garde sa candeur et n’aime pas se trouver des ennemis mortels, qui n’est pas trop sûr de lui et ne trompe pas les gens, mais dont l’intégrité convainc quand même, et qui préfère "perdre" que de se compromettre, quitte à se retrouver seul et raillé par les collègues, ce qui au contraire lui attire la sympathie du peuple. Moi qui n’ai plus voté depuis des années, parce que je n’attends rien de la politique, il me donne presque envie de retourner aux urnes, ne serait-ce que pour dire que j’emmerde tous les cancrelats de la politique, leurs mensonges, leurs tournures, leur carnaval grotesque de fausse grandeur, et qu’un "petit", jeune, simple et franc, a mon soutien face à cette cour des miracles.
Ottawa comprend mal le monde du travail québécois, dit Agnès Maltais | Martin Croteau | Politique canadienne «Il y a peut-être une reconnaissance de la nation québécoise, mais il y a une méconnaissance des relations du travail au Québec», a dénoncé Mme Maltais dans une entrevue accordée à La Presse. Mme Maltais a écrit à son homologue fédérale, Lisa Raitt, cette semaine, pour lui demander de surseoir à la mise en oeuvre de cette initiative, parrainée par le député conservateur Russ Hiebert. Le projet de loi, adopté par la Chambre des communes mercredi soir, obligera les syndicats à déclarer les salaires de leurs employés ainsi que toute dépense de plus de 5000$. Dans chaque cas, ils devront déclarer le nom du bénéficiaire. La ministre Maltais fait valoir que la mesure va créer un «déséquilibre sérieux» entre syndicats et employeurs. Les constitutionnalistes qu'a consultés la ministre estiment que le projet de loi empiète sur le champ de compétence des provinces. Ottawa dans son droit, dit Bernier M. Le ministre Bernier s'est trouvé des alliés à Québec. Tribunaux
Après son refus de payer sa dette, l’Islande fera le triple de la croissance de l’UE en 2012 23 janvier 2012 Posté par benji sous Argent et politique 12 commentaires Je ne cesserai jamais de répéter que l’Islande est LE pays à prendre en exemple,même s’il est complètement ignoré des médias, s’il est loin ou quelle qu’en soit la raison pour ne pas en parler, c’est le pays à suivre! Payer pour les banques? Même pas en rêve, là bas ils ont été emprisonnés! Sauver les banques? Elles ont été nationalisées. Islande a terminé l’année 2011 avec une croissance économique de 2,1% et selon les prévisions de la Commission européenne, elle va faire le triple du taux de croissance attendu pour l’UE en 2012 (La croissance de l’UE est prévue à 0,5% en 2012 contre 1,5% en Islande). Glitnir, Landsbankinn et Kaupthing furent les banques nationalisées en 2008 pour éviter leur faillite et qui furent placées sous contrôle démocratique, plutôt que de profiter d’injections inconditionnelles de capitaux publics, comme en Espagne ou dans les autres pays européens. * Journaliste.
Roskomnadzor : le Big Brother du Web russe Roskomnadzor : le Big Brother du Web russe Roskomnadzor. Derrière ce nom se cache le service fédéral de surveillance d’Internet et des médias traditionnels, qui dépend du Ministère russe des Télécommunications. Fondé en 2008, son objectif est notamment de "garantir et protéger la confidentialité des données privées, personnelles et familiales de citoyens". En pratique, Roskomnadzor surveille les médias et menace de faire fermer les sites Internet qui ne supprimeraient pas assez rapidement des contenus jugés "illégaux". Une activité qui prend de l’ampleur, avec la mise en place d’un programme étendu de surveillance. Officiellement destiné à “garantir et protéger la confidentialité des données privées, personnelles et familiales de citoyens”, il ambitionne de dresser une liste noire des sites jugés nuisibles. “Nous pouvons réagir de manière adéquate et efficace, sans bloquer les ressources principales. Sources : Euronews / Atlantico / Le Journal du Siècle Like this: J'aime chargement…