Passives, mais pas dangereuses Société Les constructions peu énergivores sont pointées du doigt, mais ne présentent pas davantage de risques d’incendie BRUXELLES L’avantage d’une maison passive, c’est d’alléger considérablement la consommation énergétique. Outre le débat sur le prix d’une construction de ce type par rapport au traditionnel, une nouvelle polémique a fait son apparition. Constatant l’étanchéité à l’air quasi parfaite qui fait la réputation de ces maisons, les pompiers se demandent s’il n’existerait pas un risque qu’un feu couvant par défaut d’oxygène à l’intérieur du bâtiment ne puisse déclencher une explosion lors d’un apport brutal d’oxygène, par exemple au moment où des pompiers en intervention entreraient en brisant une vitre ou la porte d’entrée. Ce phénomène, connu des services de pompiers, porte le nom de backdraft . La Plateforme Maison Passive (PMP) a interrogé Hervé Breulet, de la Direction des risques accidentels de l’ISSeP, dont les conclusions devraient être livrées pour la fin de l’année.
Vers les bâtiments à énergie positive (BEPOS) Les étapes à franchir d’ici 2020 Du bâtiment ancien, patrimoine de la France qu’il faut sauvegarder au bâtiment à énergie positive- bâtiment qui, sur une période donnée, produit plus d’énergie (électricité, chaleur) qu’il n’en consomme pour son fonctionnement, il n’y a qu’un pas ou deux.... Retour en quelques mots sur les étapes nécessaires à la création d’un bâtiment exemplaire, standard bientôt obligatoire pour tous les bâtiments neufs. 1ère étape : la réduction de la consommation énergétique des bâtiments Le bâtiment est dans l’Union européenne un gouffre d’énergie primaire (40 % de l’énergie totale consommée) devant les transports (30 %) et l’industrie (30 %). La réduction de la consommation d’énergie des bâtiments de 22% d’ici 2020 est rendue obligatoire par la Directive européenne sur la performance énergétique des bâtiments . 2ème étape : la maison passive, passivhaus ou BEPAS 3ème étape : le bâtiment à énergie positive ou le BEPOS
ARENE Idf Tableau de bord de l'énergie en Île-de-France : Consommations finales 2009 et production d'énergies renouvelables 2012 Cette édition 2014 du Tableau de bord de l'énergie en Île-de-France dresse un bilan ré-actualisé et synthétique des consommations finales 2009 et des production d'énergies renouvelables 2012 (Évolution des productions et objectifs du Schéma régional Climat Air Énergie 2020). À noter la mise en place d'un nouvel indicateur, qui a vocation à servir de référence : La "facture énergétique régionale". "Les potentiels d’énergies renouvelables et de récupération mobilisables à l’horizon 2020 permettent de multiplier par deux la production actuelle. Guide Bio-tech : L'éclairage naturel Les enjeux liés à la lumière naturelle sont nombreux. Les filières franciliennes des matériaux et produits bio-sourcés pour la construction De plus, ils n¹ont que très rarement une origine francilienne. Aménagement et construction durables Îles ou territoires
Observatoire de la qualité de l'air intérieur Observatoire national Observatoire national de la précarité énergétique Présentation de l'Observatoire L'Observatoire officiellement lancé le 1er mars 2011 Les tâches de cet observatoire sont au nombre de quatre :- recueil, traitement statistique et suivi d'indicateurs disponibles ;- création et analyse de nouveaux indicateurs ;- traitement des données par l'élaboration d'outils de suivi : tableaux de bord, cartographie ;- réalisation périodique d'études thématiques quantitatives et qualitatives. Les partenaires de l'observatoire sont : Fiche de présentation (PDF - 144K - 27/05/2013)Dossier de presse de la réunion de lancement du 1er mars 2011 (PDF - 892K - 01/03/2011)Convention partenariale signée par l'ensemble des partenaires le 1er mars 2011 (PDF - 5M - 12/07/2011) Rapports de l'Observatoire et Etudes Etude particulière relative aux actions des fournisseurs d'énergie dans la lute contre la précarité énergétique (PDF - 3M - 10/02/2014)Rapport d'audit sur les tarifs sociaux de l'énergie (ADEME)
Bilan Carbone: L'opportunité de la baisse des émissions de CO2 Le mercredi 7 juillet, le Commissariat Général au développement durable (dépendant du ministère de l'Ecologie) a annoncé une diminution de la consommation totale d'énergie primaire en France en 2009 de 5.2%. Cette diminution, associée à la progression des énergies renouvelables dans notre pays, permet d'afficher une baisse de 5.7% de nos rejets de dioxyde de carbone (CO2) liés à la combustion d'énergie. C'est la plus importante baisse enregistrée depuis 1975, année qui avait suivi le premier choc pétrolier. Au-delà de nos efforts en faveur des économies d'énergies, c'est bien la récession que nous avons connu l'année dernière qui nous permet d'afficher ce résultat. Des objectifs croissants ! L'opportunité verte... Pourtant, la relance économique vers laquelle nous espérons nous diriger serait une opportunité à saisir pour que l'Europe se positionne dans ses marchés où la concurrence s'accroit. Green is a deal !
Des bâtiments qui produisent leur propre énergie Aujourd’hui, on sait construire et rénover des bâtiments pour qu’ils dépensent le moins possible d’énergie, en atteignant notamment le niveau Bâtiment Basse Consommation, c’est-à-dire une consommation ne dépassant pas 50kWh/m2/an. On peut aussi aller plus loin en concevant des bâtiments qui en plus de consommer très peu, autoproduisent l’énergie nécessaire à leur fonctionnement voire plus, des bâtiments à énergie positive (BEPOS). Pour leurs occupants, le bénéfice est double : ils économisent de l’argent : le bâtiment, très économe sur le plan énergétique est une source de réduction des dépenses;ils peuvent parfois gagner de l’argent : l’énergie produite peut même dépasser les besoins du bâtiment et être revendue sur le réseau. Au dépit du manque d’une définition réglementaire, déjà 180 bâtiments peuvent être aujourd'hui qualifiés à énergie positive en France. Et demain ?
Emploi: le bâtiment va moins mal que prévu Le secteur du bâtiment devrait perdre 20.000 emplois en 2010, contre 30.000 initialement prévus, en raison notamment d'une légère embellie dans le logement neuf, avance ce mardi la Fédération française du bâtiment (FFB). «Le recul de l'emploi, contenu en 2009, se modère encore. Nous devrions ainsi finir l'année avec une contraction de 20.000 emplois en équivalent temps plein, contre 30.000 initialement prévus», a déclaré Didier Ridoret, président de la FFB. Le secteur du bâtiment comptait en 2009 1,3 million d'emplois (dont 82.000 intérimaires). Le président de la FFB se réjouit que «les carnets de commandes se redressent un peu, à cinq mois de chiffre d'affaires, soit à un niveau comparable à celui de la mi-2008», avant la crise. Ce taux réduit de TVA, qui s'applique depuis septembre 1999 à l'entretien-rénovation, coûte environ 5,5 milliards d'euros par an de moins-value fiscale à l'Etat. (Source AFP)
ADEME - Observatoire des flux de fluides frigorigènes Energies Renouvelables