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Prêt d'ebooks : Dilicom amorce le Projet Numérique en Bibliothèque

Prêt d'ebooks : Dilicom amorce le Projet Numérique en Bibliothèque
Le Projet Numérique en Bibliothèque, impulsé par Dilicom, et évoqué durant les Asisses du livre numérique, n'a pas manqué d'attirer l'attention. Alors que les établissements sont demandeurs d'une solution complètement unifiée, les moyens manquent et l'offre disposant d'un catalogue global est encore à construire. Or, Vincent Marty, directeur général de Dilicom, au cours des Assises, avait justement esquissé le PNB, parlant d'un « prototype de hub mis en place pour l'accès au livre numérique en bibliothèque, avec un investissement de départ assuré par Dilicom, puis assumé par le même système que pour le livre papier ». Projet numérique en Bibliothèque : nom de Code Rhino Les Robots rêvent-ils de prêts d'ebooks ? ActuaLitté (CC BY-NC-SA 2.0) En revanche, un titre disposera d'une période de prêt maximale, avec probablement un DRM chronodégradable à la clef, pour rendre la lecture impossible. De son côté, Dilicom servira bien d'intermédiaire pour l'ensemble de l'opération. Pour approfondir

MP3, ebooks... on a vérifié, ils ne vous appartiennent pas | Rue89 Culture Rue89 a mis son nez dans les conditions d’utilisation des grandes plateformes de vente de culture numérisée. Prêter un ebook ou un album à un ami ? N’y pensez pas. Un livre en papier ou un CD en plastique, c’est pratique. On peut le prêter, le brûler, le donner, le vendre, le lire en France ou à l’étranger. Quand vous achetez des livres et de la musique numérique (mais également des films, des jeux vidéo ou des séries), que ce soit sur Google Play, Amazon ou l’iTunes Store d’Apple (et sur bien d’autres sites), vous avez simplement le droit de lire le livre ou de regarder votre vidéo. Nous avons épluché les conditions générales de vente et d’utilisation (le texte qui définit les conditions auxquelles vous pouvez utiliser une plateforme ou un service) des grandes plateformes de vente de biens culturels numériques (l’iTunes Store d’Apple, Google Play, Amazon, la Fnac...) pour en dénicher les dispositions surprenantes. Les contenus ne vous appartiennent pas Chez Google, par exemple :

L'offre numérique en bibliothèque, un nouveau terrain pour la librairie Tandis que les conditions de prêt déchirent un peu moins en France qu'outre-Atlantique, le livre numérique peine à faire son entrée en bibliothèque. Il pourrait pourtant faire profiter les établissements d'un regain d'attractivité, tout en permettant aux librairies de capter une nouvelle source de revenus via les marchés publics. Encore faudrait-il que tout le monde soit d'accord... Nicolas Georges, directeur du cabinet Livre et Lecture au ministère de la Culture, s'est lui-même chargé de l'introduction au débat sur l'offre numérique en bibliothèque : 16.000 établissements pour 200 millions de prêts effectués chaque année en France, et beaucoup de choses à dire. D'abord, « Quel est le droit réel des bibliothèques sur le contenu qu'elles acquièrent ? » : numérique, s'entend, par rapport à la souplesse de l'objet livre (transferts entre bibliothèques, reventes... « Les lecteurs de BD sont très éclectiques : avoir une offre commune semblait légitime ». Pour approfondir

Recommandations pour le livre numérique en bibliothèque publique L’association Réseau Carel œuvre en faveur de la Coopération pour l’Accès aux Ressources Electroniques en Bibliothèques. Elle représente les intérêts des collectivités territoriales et des établissements publics dans le cadre des négociations pour le développement des offres numériques de leurs bibliothèques. En matière de livre numérique, son objectif est d'assurer les conditions d'un usage collectif. Les bibliothèques publiques évoluent dans un cadre juridique et institutionnel défini. Pour la lecture numerique La mise en place d'offres de livres numériques dans les bibliothèques publiques a un effet positif sur le développement des pratiques de lecture. Accéder à l'ensemble de l’édition numérique disponible dès sa parution Constituer une offre de livres numériques issue de catalogues de tous les éditeurs nationaux Sélectionner les livres titre par titre (y compris dans le cadre d'un bouquet) et pouvoir consulter les ouvrages avant de les ajouter à la collection

Ebook : la clause de territorialité, protection plus légale que commerciale Alors que les différents pays de l'Union Européenne sont partagés entre les spécificités nationales (loi PULN la France, l'Allemagne est en cours de discussions) et décisions judiciaires de la Commission Européenne (fin du prix fixé par l'éditeur), les libraires se doivent d'intégrer des clauses de territorialité, à la demande des éditeurs. Une situation qui tend à se généraliser, au grand dam des expatriés. Daquella manera, CC BY 2.0 Nous avions évoqué la possibilité d'un contournement des politiques tarifaires, qui permettrait aux consommateurs d'obtenir des livres numériques moins chers en achetant sur des sites polonais, belges, hongrois... qui ne seraient donc pas soumis au Prix Unique du Livre Numérique (PULN). Alors ça c'est nouveau! C'est avec ce tweet véhément qu'un consommateur a manifesté son étonnement : sa carte de crédit étrangère a été refusée par la librairie en ligne. « Certains éditeurs nous imposent des clauses de territorialité, pour des questions de droits.

Livre électronique : les retards français persistent Voici déjà plus de quatre ans, je m'étonnais, au Salon du Livre de Paris et sur mon blog, de l'absence de regard porté sur l'évolution du support littéraire, le papier devait être relayé par l'électronique et il me semblait que des marges de croissance énormes existaient dans ce domaine du livre électronique, alors même que l'édition française (hors BD) traversait une crise profonde. Cette crise n'a jamais fini, elle connaît parfois des rémissions, mais elle est permanente. Pourtant, les efforts des éditeurs pour explorer la piste électronique demeurent faibles. Au contraire, le vote de la loi sur le prix unique du livre électronique, en mai dernier, semble avoir été fait pour protéger les acteurs actuels du marché littéraire, au détriment à la fois de l'innovation et surtout de l'émergence de nouvelles pratiques de diffusion, plus favorables aux auteurs comme aux lecteurs. Avec cela sans doute, on craint moins le développement d'une jungle "amazonienne" dans les lettres françaises.

Premier chapitre : le numérique au service des bibliothèques Avec Premier chapitre, la lecture en streaming devient l’alliée des bibliothécaires. Le tout nouveau service propose en effet un ensemble de services innovants pour faciliter leur travail. Difficile de parler de livre aujourd'hui sans opposer automatiquement numérique et papier. Pourtant, Premier Chapitre est un de ces exemples qui montre que numérique peut aussi être un outil au service du papier. Premier Chapitre, qui se présente comme "Le premier service de lecture en streaming réservé aux bibliothécaires" propose en effet d’utiliser la lecture en streaming comme un outil pour accéder aux nouveautés à paraître, mais aussi pour partager ses coups de coeur tout en offrant un premier chapitre à lire en numérique aux lecteurs. L'intérêt pour les bibliothécaires Le bibliothécaire peut ainsi lire ces ouvrages beaucoup plus facilement dans un lecteur dédié, très basique. Quels avantages pour l'utilisateur ?

Livres pratiques et littérature jeunesse : secteurs d'avenir pour le livre numérique Si la France reste toujours en retard dans le développement du livre numérique, les secteurs du livre pratique et de la littérature jeunesse pourraient être de nouveaux relais de croissance. C'est du moins ce que conclut la dernière étude du cabinet de conseil Bain & Company présentée au Forum d'Avignon, rapporte l'AFP. Le roman semble encore trop figé pour impulser la révolution numérique. A contrario, les livres pratiques, l'édition jeunesse ou encore le secteur scolaire sont potentiellement les clefs « d'une réelle évolution générationnelle dans les usages du livre numérique », précise l'étude. Ces secteurs recèlent en plus de nombreuses possibilités d'innovation quant à l'élaboration de contenus enrichis, où le numérique apporte une réelle valeur ajoutée par rapport au livre papier. Le livre numérique pourrait être ainsi rendu accessible à un très large public, qui plus est à un public moins conservateur en termes de pratiques de lecture. Pour approfondir

Prêt de livres numériques : l’absence de loi et certains gros éditeurs empêchent les bibliothèques de remplir leur mission ! Les assises du livre numérique, récemment organisées à Paris par le SNE (syndicat français des éditeurs) et la SOFIA (société d’auteurs française) ont confirmé ce que relèvent les études sur le livre numérique en bibliothèques publiques menées par le Service général des lettres et du livre de la Fédération Wallonie-Bruxelles : un blocage juridique et commercial du prêt numérique que seuls la Commission européenne et les éditeurs eux-mêmes ont les moyens de lever. En effet, comme le rappelait, lors de cette journée du 8 novembre, Nicolas Georges du Ministère de la Culture français, seuls la norme (une loi) ou des accords juridiques globaux avec les éditeurs pourront permettre aux bibliothèques de mener à bien leur mission d’offrir au plus grand nombre un accès à la culture et à la connaissance. Pour le troisième de ces desiderata, la notion d’authentification unique ou, en anglais, de Single Sign On (SSO) est centrale. Alexandre Lemaire,

ProtectionLivres : outil de lutte anti-piratage du SNE ou anti-DRM ? Ce matin même, le Syndicat national de l'édition réunissait la presse pour faire un petit point avant que ne débutent les festivités du Salon du livre. Entre autres documents fournis dans le dossier de presse, un document présentant les Solutions collectives de lutte contre le piratage. Vincent Montagne, président du SNE, expliquait ainsi que l'un des outils avait été calqué sur le Copyright Infringement Portal, mis en place par le syndicat des éditeurs anglais. Eh bien ça risque de ricaner doucement, outre-Manche, en pointant du doigt les petits froggies... Le site du SNE, ainsi que ActuaLitté a pu le dévoiler, se nomme ProtectionLivres.com. Mais tout porte à croire que la communication du SNE a été prise non seulement de vitesse, mais surtout qu'elle va devoir être amplement repensée. Pour l'heure, le SNE semble avoir un peu perdu pied : nous attendons une réaction suite à ce petit couac. La croissance des DRM sur les livres numériques est également forte... Mise à Jour : Mise à jour 2 :

Codage d'ebook : différents formats à bien utiliser Si ce qui défile sur l'écran des ereaders reste du texte aux yeux des lecteurs, les ebooks ne sont pas que langue de Molière, et utilisent un tout autre mode de communication : le code. Aux éditeurs désireux d'expérimenter le numérique s'offrent pour le moment deux solutions, pour des usages bien différents. Et des possibilités impressionnantes, offrant aux auteurs de nouveaux modes de narration. Luc Audrain (responsable support à la numérisation, Hachette Livre), Pierre Danet (directeur innovation et technologie numérique, Hachette Livre) À l'IDPF, on sent que l'on vient soudain de basculer dans la journée professionnelle du Salon du Livre : la place sur la Scéne numérique est devenue payante, à plus de 200 €. Désormais, tout le monde est au courant, grâce à ReLIRE Bay, mais les éditeurs ont des énormes fonds à numériser, et visiblement pas assez d'argent pour le faire eux-mêmes. Pour approfondir

Après Big Brother, les livres de cours qui dénoncent les élèves qui ne les lisent pas Un récent article du New York Times rapporte l’air de rien une avancée technologique qui risque de paniquer tous les étudiants du monde: les e-books de cours qui vous dénoncent quand vous ne les lisez pas. «C’est un peu comme Big Brother, mais avec de bonnes intentions», a expliqué joyeusement au Times la directrice de l’école de commerce de Texas A&M, Tracy Hurley, qui a adopté le système. publicité Elle n’est pas la première à faire la comparaison avec Big Brother. Mais pour Tracy Hurley, cela n’a rien d’angoissant. Si j’étais un professeur et que j’utilisais CourseSmart avec mon hypothétique élève Hurley, je saurais la réponse. Ce que CourseSmart ne me dirait pas, en revanche, c’est si Hurley a réellement lu le livre (excusez-moi si je ne comprends pas la novlangue). En réalité, la seule manière dont je pourrais savoir cela, c’est en parlant à Hurley, en lui posant des questions –ou, peut-être en lisant son interview du Times. Will Oremus Traduit par Daphnée Denis

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