Equitation handisport Public concerné Contrairement aux idées reçues, beaucoup de personnes handicapées peuvent pratiquer l’équitation : – Paraplégiques et assimilés. – Amputés et assimilés. – Non voyants et mal voyants. – Infirmes Moteurs Cérébraux (IMC) et assimilés. – Personnes atteintes d¹un grand handicap (en équimobile). Organisation de l’activité En loisir et sous forme rééducative, cette activité est très prisée par les structures spécialisées dans l’accueil des personnes handicapées. De nombreux centres de rééducation participent à des rencontres sportives (Coupe de France) où sont incluses des épreuves de loisir (concours de déguisement à cheval, slalom au pas). Individuellement, beaucoup de cavaliers pratiquent l’équitation dite traditionnelle, menant à des compétitions de dressage ou de saut d’obstacles. En compétition sur le plan national : Championnat national, Coupe de France des clubs, Critérium des Jeunes
DYSPRAXIE DIAGNOSTIC et TROUBLES PRAXIQUES SASEP - Sport Adapté du Sud-Est de Paris Le cheval, outil de rééducation en orthopédagogie Audrey Miller, publié le 8 janvier 2013 La motivation : un facteur clé de la rééducation d’un enfant aux prises avec un trouble ou une difficulté d’apprentissage. Voici une façon fort originale et efficace de la stimuler : la zoothérapie, plus particulièrement avec le cheval. Lysanne Rioux est orthopédagogue et enseignante en adaptation scolaire à Québec. D’abord, l’orthopédagogue évalue les besoins et établit des objectifs avec les parents et l’enfant. Il y a trois volets principaux : le cours théorique sur le cheval, qui permet de mieux connaître l’animal, ses habitudes, les soins à lui apporter et les consignes de sécurité. Le deuxième volet est le contact avec le cheval, l’apprentissage du pansage, du sellage, du bridage, et la première monte. Enfin, lorsque l’enfant est bien en selle, différents jeux pédagogiques sont organisés avec le cheval, afin d’atteindre les objectifs pédagogiques tout en gardant la motivation. À propos de l'auteur Audrey Miller Pour suivre l'auteur :
Soins palliatifs : ils ont choisi d’être passeurs © Jupiter De plus en plus de soignants et de bénévoles s’investissent dans l’accompagnement des mourants. En quoi consiste leur travail, quelles sont leurs motivations ? Danièle Luc Annette, d’une brassée de marguerites, compose deux bouquets. Soins palliatifs De la salle des bénévoles de la maison Jeanne-Garnier (Paris XVe) unité pionnière en matière de soins palliatifs, on aperçoit le parc et les allées lisses qui contournent les pelouses. Ici, pourtant, quatre-vingt chambres accueillent des malades incurables, atteints du cancer, du sida ou de maladies neurologiques, le plus souvent en phase terminale. Vouloir travailler ici ne suffit pas La sélection est rigoureuse, notamment pour les bénévoles. Pas d’organisation pyramidale mais des équipes soudées, ouvertes au dialogue et en constante interaction.
Pas à pas : Handi Cheval IDF Une écurie peu banale à voir en streaming, film de Jean Vercoutère diffusé sur Equidia Situé en Charente-Maritime, à mi-chemin entre La Rochelle et Rochefort, le Centre d'Aide par le Travail du Marouillet a pour vocation première de procurer des emplois de palefrenier à des personnes adultes handicapées mentales. Dans ce lieu entièrement voué au cheval, un instructeur, deux moniteurs d'équitation et un moniteur d'atelier travaillent sous la direction d'Yves Rivet, le directeur du centre. Le cheval a un apport thérapeutique incontestable, par le biais du contact, de la caresse et du toucher. C'est aussi pour la plupart des travailleurs du centre, l'activité qu'il y a autour du cheval qui procure ce coté bénéfique. Les employés peuvent être chefs de reprise, c'est-à-dire qu'ils guident des cavaliers débutants. Plusieurs fois dans l'année, un concours interne de sauts d'obstacles est organisé pour la clientèle du club équestre.
Tourisme et handicap : "Libre accès", une nouvelle collection de guides spécialisés Voici la dernière venue en matière de guides touristiques pour personnes à mobilité réduite, la collection "Libre accès". Ses quatre premiers opus -Bretagne Nord, Bretagne Sud, Côte d'Azur et Provence, sortis mi-novembre, proposent ainsi quelque 125 adresses accessibles. Musées, lieux culturels, hébergements (hôtels, gîtes, campings), restaurants, bars et lieux de loisirs y sont passés en revue avec, chaque fois, un degré d'accessibilité partiel ou total indiqué. S'y ajoutent de nombreuses informations sur les moyens de transport, des plans, ou encore des renseignements d'ordre historique et culinaire sur chaque région. Très agréables : la mise en page, les "coups de cœur", les itinéraires pour visiter facilement les grandes villes et cette idée d'avoir dédié une rubrique aux activités à faire avec les enfants.
Réseau Musique & Handicap L'équithérapie ou la rééducation par le plaisir «Quentin pratique l'équitation depuis quatre ans. Au début, il se mettait en retrait. Mais je n'ai pas le souvenir qu'il l'ait vécue comme une galère. A présent, quand on lui dit qu'on va au centre équestre, il est toujours partant. Le foyer à double tarification de l'hôpital de Lannemezan accueille une quarantaine de résidants issus des services de psychiatrie, âgés de 20 à 50 ans. Animé par une équipe composée d'éducateurs, d'infirmiers et de médecins, « ce foyer d'accueil médicalisé est un lieu de vie chaleureux et sécurisant, d'activités occupationnelles et de soins psychiatriques légers, dont l'objectif est une prise en charge plus éducative et sociale qu'en service de soins psychiatriques. Pour permettre cette prise en charge éducative et sociale, l'hôpital de Lannemezan a fait l'acquisition, depuis deux ans, d'une ferme qui est intégrée dans l'établissement hospitalier. La pratique de l'équithérapie n'est pas une nouveauté. « Il n'est pas question de performances.