MémorialGenWeb C'est une question qui revient quotidiennement, mais ou est donc passé Mémorial, comment je fais pour accéder à ceci ou cela, mais qu'est-ce qui se passe, Mémorial n'est plus en ligne ? Mémorial n'est plus en ligne ? Et bien si, le site Mémorial est toujours en ligne, il a juste changé d'adresse. Mini rappel historique Le projet Memorial-FranceGenWeb est né en mai 2000 sous l'impulsion d'Éric Blanchais et a grandi au sein de l'association FranceGenWeb jusqu'en 2015. Ben alors qu'est-ce qu'il se passe ? Une majorité de l'équipe du projet Mémorial ne reconnaît plus l'orientation généalogique du projet et a estimé que son avantage était de prendre son indépendance dans une structure associative propre. Et ? Le Conseil d'Administration de l'association FranceGenWeb ne peut que constater que le projet Mémorial est devenu de facto une structure autonome sans lien direct avec l'association dans laquelle il est né. En pratique La suite ?
Mémoire de la déportation La Fondation pour la Mémoire de la Déportation, créée en 1990, est la toute première Fondation de mémoire issue de la Seconde guerre mondiale. Comme le souhaitaient ses fondateurs, elle s’est voulue, dès sa création, représentative des différents courants historiques de la déportation et porteuse de mémoires plurielles. La composition de son Conseil d’administration traduit cette volonté puisqu’il est constitué de déportés par mesure de répression (résistants, otages, communistes, syndicalistes, militaires, otages, etc.) et de déportés destinés à l’extermination, parce que juifs, selon les critères établis par le régime de l’Etat français de Vichy et le régime nazi. En outre le dosage équilibré des sensibilités politiques de ses administrateurs favorise l’expression des différents courants de pensée qui ont animé la résistance et l’opposition au nazisme et à l’Etat français de Vichy, puis alimenté la mémoire de l’après guerre. *** Télécharger la nouvelle brochure du CNRD ici
Les signataires du serment du Jeu de paume Contexte historique Un acte de courage politique accompli dans des conditions de fortune 17 juin 1789, face à l’inertie générale, les députés du Tiers Etat aux Etats généraux se constituent, en Assemblée nationale. La majorité du clergé vote, le 19, sa réunion au Tiers. Le roi qui ne veut pas reconnaître ces mesures prescrit la fermeture de la salle où le Tiers se rassemble. Les députés se rendent, le 20 juin, à la Salle du jeu de paume et décident de prêter serment de ne se séparer qu’après avoir donné une constitution à la France. La situation n’est pas alors sans danger pour les députés qui bravent la volonté royale à quelques pas du fastueux palais de Versailles. La réunion suivante de l’Assemblée nationale qui se tient deux jours plus tard dans l’église Saint-Louis de Versailles voit l’amorce du rassemblement des trois ordres : une députation de la majorité du Clergé et deux nobles viennent se joindre au Tiers. Analyse des images Au centre, trois personnages s’étreignent.
Les Guillotinés