Collaboratif ou coopératif ? Capital organisationnel for capital immatériel La dette expliquée aux nuls La gestion de la dette conditionnera les débats de la présidentielle, comme l'a montré l'Université d'été du PS. Un sujet complexe, pollué par les idées reçues et les croyances. Pour y voir plus clair, OWNI reprend les bases. Lorsque l’on parle de dette, il est de coutume de dire que « l’État vit au dessus de ses moyens », que le modèle social français n’est plus soutenable, et qu’il faut donc réduire les dépenses. Pourtant, la réalité est légèrement différente : sur 1 600 milliards de dette publique remboursée depuis 1974, environ 1 200 milliards d’euros ne sont constitués que des seuls intérêts. L’effet « boule de neige » explique en grande partie ce phénomène. En réalité, hors paiement des intérêts, les budgets sont globalement à l’équilibre comme le montre le graphique ci dessous (issu du travail de André-Jacques Holbecq) : Rembourser la dette, ce n’est donc pas payer en différé les dépenses d’éducation, de santé ou d’autres investissements. Photos FlickR yenna ;
Management de l'intelligence collective » Réseaux sociaux - Technologies 2.0 La visioconférence se démocratise en entreprise Sans oublier la baisse des prix et la simplification de l’offre. « Nous sommes passés d’un marché basé sur le matériel et l’offre à un marché où l’utilisateur final est en train de prendre la main, affirme José Jacques-Gustave, président et fondateur de G2J, fournisseur de service de visioconférence créé en 1994. Le cloud en est un bon exemple : les attentes sont clairement orientées sur des solutions simples, sécurisées et nomades. » Sur le marché, l’offre est large, embrassant solutions pour salles de réunion et groupes, terminaux indi- viduels dédiés, logiciels pour poste personnel (PC, tablette, smartphone) et pour plates-formes, sur site ou en mode cloud ou, service de Web conférence en mode SaaS, intégrant la vidéo. Arkadin a ajouté cette fonction en 2010. « Les clients estiment qu’elle fait partie de la collaboration à distance », confie Joseph de Villèle, responsable vidéoconférence pour la zone EMEA.
Immateriel André-Yves Portnoff Co-auteur avec Xavier Dalloz et Olivier Géradon de Vera de Consommer, produire et distribuer en 2010 (Gencod, novembre 2000, téléchargeable librement sur et sur www.dalloz.com ). Comment tenir compte de l’immatériel ? La mutation des réseaux accélère la Révolution de l'intelligence L’évidence (sauf pour quelques irréductibles gaulois…) de la révolution des réseaux numériques empêche de voir que nous vivons une mutation bien plus profonde, amplifiée et accélérée d’ailleurs par Internet, mais qui ne se réduit pas à l’impact de celui-ci. L’économie de l’immatériel est encore très souvent réduite à la société de l’information ou de la connaissance, à l’impact des NTIC, à l’économie en réseaux. L’expansion des connaissances fait que ce qui crée de la valeur n’est plus la partie physique du travail, désormais mécanisable, mais la composante créatrice, relationnelle de l’activité de chaque opérateur humain. andre-yves.portnoff@wanadoo.fr
Création monétaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La création monétaire, souvent appelée familièrement « la planche à billets », est le processus par lequel la masse monétaire d'un pays ou d'une région (comme la zone euro) est augmentée. Sous l'empire de la monnaie métallique (argent ou or), la masse monétaire était directement liée à la quantité de métal disponible, en fonction du destin des mines (découvertes, épuisement, « ruée vers l'or ») et des autres flux de métal (commerce, pillage, tribut et rançon, etc.). Dans le monde contemporain, l'essentiel de la monnaie est scripturale, créée par le crédit (émission de dette échangeable) dans les limites qui sont imposées aux établissements de crédits (réserves obligatoires etc.) et détruite par extinction des dettes sous-jacentes (par remboursement ou autre) ; la masse monétaire évolue constamment. Les monnaies non fiduciaires et fiduciaires[modifier | modifier le code] Monnaie non fiduciaire[modifier | modifier le code] La banque centrale.
Efficacité collective:Entreprise – Organisation – Management Comment réussir à mener deux types de cohésion pour réussir en mobilisation de l’intelligence collective ? Comment construire la cohésion sociale d’un groupe vecteur d’intelligence collective globale et comment construire la cohésion opérationnelle d’un groupe fondateur d’intelligence collective. Il y a 1001 façons d’aborder l’intelligence collective. Il semble impossible de mobiliser l’intelligence collective à partir d’un seul outil, d’une seule méthode ou d’un seul principe sans une approche globale et durable des process favorisants son épanouissement . L’intelligence collective est bien plus que ce que nous pensons vraiment à l’échelle d’un individu ou d’un collectif. En prendre conscience est déjà le premier pas vers l’humilité et la sagesse de comprendre, qu’elle est partout, dans tous les rouages de nos organisations, sous différentes formes. Les questions qui se posent à sa mise en place sont : De l’importance de la cohésion…. Chaque membre voyage entre deux types de cohésion.
Un nouveau concept : le Capital Relationnel Combien valent vos amis ? C'était le titre en couverture de Business Week le 1er Juin 2009, et analysé par Laurence Faguer.Question bizarre, un poil provocante, vous ne trouvez pas ? Eh bien, pas si provocante que cela. Les marketers commencent à modifier leurs techniques de segmentation et s’intéressent à vos amis numériques. Il y a une 15zaine d'années, les patrons d'Agence de Marketing Direct de l’AACC (je faisais partie du bureau de l'AACC) inventaient le Capital Client. réalisé le logo du Capital Client... Aujourd'hui, l'émergence des réseaux sociaux conduit à la naissance de ce que j'appelle le Capital Relationnel. - Sans compter l’effet « Personal Branding » : la maîtrise d’un réseau social étendu sur Twitter par exemple donne à son animateur des points supplémentaires dans la chasse aux idées, aux questions, aux demandes d’avis, aux jobs… Nous ne sommes vraiment pas au bout de nos surprises... - mesurer la valeur du Capital Relationnel d'un consommateur
Le Livre Absolu Durant l’année 2012 j’ai décidé de publier ici même chaque semaine un billet exprimant mon ressenti personnel sur la semaine précédente, dans la perspective, bien évidemment, des problématiques de la prospective du livre et de l’édition. Ce post est donc le 06/52. Pour la première fois de cette année c’est un fait dont j’ai modestement été l’acteur que je retiendrai comme marqueur de la semaine écoulée. Je veux parler du lancement, ce vendredi 10 février 2012, sur le web 3D, de l’incubateur MétaLectures, conçu comme un environnement immersif pour présenter, expérimenter et développer des solutions innovantes dans l'univers du livre et de la lecture francophones. Cette soirée a réuni pendant presque deux heures une trentaine d’internautes avatarisés de toute la France, et l’événement a pu également être suivi en vidéo live streaming par des dizaines d’autres. Ce type d’expérience (autour de la lecture), vécue et partagée à distance, pose pour moi une question cruciale : que se passe-t-il ?
L’émergence du coaching collectif à travers le management de l’intelligence collective 1Le coaching est aujourd’hui l’outil le plus performant pour accompagner le changement des organisations et des comportements de chaque individu. Le coaching est en fait bien plus qu’une modalité d’intervention, c’est aussi une nouvelle façon de travailler. Si les interactions entre un coach et un coaché portent plus leurs fruits qu’avec d’autres méthodes, alors pourquoi ne pas mettre en œuvre le même type d’interactions entre un manager et ses collaborateurs ? 2On pourrait définir l’application des principes et règles du coaching au management comme le management de l’intelligence collective. Ce nouveau mode de management implique un nouveau manager : le manager coach ! 3Pour comprendre l’interconnexion du coaching avec le management de l’intelligence collective, voici deux définitions possibles parmi d’autres : Le management de l’intelligence collective est un mode de gouvernance fondée principalement sur l’organisation de la réflexion collective dans les processus opérationnels.